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Devant , comme tous les bibliophages... faire , à un moment donné, de la place, vu mon rythme d'acquisitions et de lectures... je me mets donc, "contrainte et forcée"...à re-trier et à choisir comme je peux les
ouvrages à transmettre, offrir ou vendre...Choix toujours "déchirant"...
Comme cet ouvrage lu en 2011 avec beaucoup d'intérêt va aller rejoindre la bibliothèque lointaine d'un ami attentif , et grand lecteur, ...c'est là l'essentiel !!

En 2011, Je n'étais pas encore inscrite sur Babelio... je vais écrire mon ressenti avec mes souvenirs peut-être maladroits ou imprécis...
J'apprécie beaucoup cet auteur qu'une amie m'a fait découvrir, il y a déjà un très long moment. Elle m'avait choisi son texte "Ecrire"... qui m'avait enthousiasmée !

J'ai bien sûr lu "Le Chagrin"...et poursuivi ma lecture de cet écrivain...


"Car bien sûr je vais écrire, comme je l'ai toujours fait, pour ne pas succomber sous le poids des événements. J'ai toujours écrit pour ne pas mourir d'accablement. "(p. 116)

Et là, ce qui accable Lionel Duroy c'est la relation conflictuelle qu'il a avec son fils... en dépit de ses efforts...

Dans ce récit de l'urgence, Lionel Duroy redit le secours de l'écriture pour enrayer son impuissance et son inadaptation à vivre face à certains événements, surtout lorsqu'il touche les gens qui lui sont les plus intimes... Comme ce fils aimé et détesté alternativement , où les rapports ne parviennent pas à se pacifier...

"Colères" Oui... contre son fils qui ne correspond pas à ce qu'il voudrait, mais aussi et surtout Colères contre lui, qui n'a pas su être un père aimant, acceptant son "rejeton" tel qu'il est. On le sent surtout en colère contre ses propres incapacités à gérer ses émotions... et sa vie !

Le texte alterne entre la narration de ces liens et face-à-face douloureux, agressifs d'un fils et d'un père "dépassé" ... et des questionnements, réflexions intenses sur le travail d'ECRITURE....

"Nous passons des mois à écrire ce que nous avons compris, à sauver de l'oubli ceux que nous avons le plus aimés, à régler leurs comptes à ceux que nous haïssons, non pour eux-mêmes car ils sont morts la plupart du temps, mais pour les sentiments qu'ils ont incarnés que nous ne voulons plus voir, jamais, et tandis que nous ne voulons plus voir, jamais, et tandis que
nous menons à bien cette entreprise colossale, toute notre vie présente se fissure et puis s'effondre. Il faudrait être sans cesse au four et au moulin, me dis-je, écrivant inlassablement sur le passé tout en vivant intensément le présent, mais qui le peut ? "(p. 194)

[****Lu en avril 2011 - Soazic BOUCARD ]



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L'auteur dans ce récit son cheval de bataille à savoir son univers familial, de plus en plus complexe au gré des ruptures successives et des alliances nouvelles.

Le deuil à peine consommé de son premier mariage fait place à une nouvelle séparation qui ne se reconnait pas comme telle (Pourtant quand sa compagne prétend l'aimer toujours mais ne plus le désirer et se trouve un nouvel appartement : comment cela se nomme-t-il?)

Mais si «Le Chagrin» avait pour objet les relations avec ses parents, c'est ici la génération suivante qui est au coeur du récit. le fils ingrat, haineux, prenant le relais pour porter une ombre perpétuelle sur l'existence de son père, est l'objet de tous les questionnements sur la responsabilité respective de l'éducation, des blessures involontaires du destin, et de l'hérédité. Les filles, enjôleuses et séductrices envers ce papa gâteau, à la limite du chantage affectif avec pour rançon la rivalité qui les opposent. Tout cela pèse très lourd sur les épaules du narrateur qui somatise douloureusement ces conflits qui le cernent.

On y retrouve aussi le thème récurrent de l'influence de l'écriture sur les relations familiales qui l'alimente. L'auteur a payé le prix fort lors de la parution de son autobiographie, et n'a pas encore acquitté sa dette (les provocations du fils en sont peut-être une répercussion tardive, c'est du moins une des hypothèses évoquées.) Ecrire reste cependant son seul exutoire, une pratique vicariante voire salutaire.

L'écriture semble jetée impulsivement au fil des analyses introspectives de l'auteur : j'en veux pour preuve les redites, et l'absence apparente de fil chronologique ou thématique.
Cela ne nuit pas au plaisir de lecture et renforce même les sentiments de connivence sinon de compassion, que suscite l'exposé.

C'est donc sur une impression favorable que je clôturerai ces commentaires sur ce récit, dans la droite lignée de «Le Chagrin»


Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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j'ai découvert cet auteur avec " Priez pour nous" et souhaite vivement me plonger dans le reste de son oeuvre... Tout est dit sur les souffrances qui restent d'une enfance déçue, les difficultés d'être dans un couple qui voit partir ses enfants devenus grands, enfin des pages entières que je lis et relis en regrettant de ne pas les avoir écrites!
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Rien ne va plus. Malgré tous ses efforts, Marc ne maîtrise plus rien de sa vie. Et c'est bien là le problème ! Manifestement, il ne maîtrise pas non plus ce qu'il dit. Quelle lecture rasoir ! Jamais je n'ai eu d'empathie ni même de sympathie pour cet écrivain. Jamais je n'ai réussi à entrer dans ce bouquin. Il parle de choses intimes, très personnelles mais qui pourraient être universelles. Il est très proche d'une possible réalité. Mais je trouve qu'on reste au-dessus sans vraiment pouvoir trouver une ouverture pour s'immiscer dans la vie de Marc et des siens. Et puis, franchement, j'ai eu envie moult fois de lui dire : "Mais bouge-toi ! Impose-toi ! Tes filles, elles sont sûrement admirables, mais se faire mener par des adolescentes est-ce vraiment du rôle du père ? le père -et les parents en général- ne doivent-ils pas fixer les règles, les limites ?

Ce livre porte très bien son titre puisqu'il m'a mis en colère contre ce type pas capable de prendre des initiatives, qui subit sa vie plutôt que de la vivre. Qui subit sa famille plutôt qu'il ne vit avec elle. Et je sais de quoi je parle, je travaille à la maison et j'assume mes deux enfants et même deux en plus -et ma femme pourrais-je dire, mais bon ça ferait macho, donc je ne l'ai pas dit.

Bon, je vais me calmer, arrêter les points d'interrogation et d'exclamation, histoire de faire plus zen. J'inspire, j'expire, je fais le vide, je me calme. Ne manque plus qu'un disque sur les chants des dauphins et des baleines pour atteindre le Nirvana. Voilà, ça va mieux.

"Pouf, pouf."(comme disait P. Desproges). C'est donc tout particulièrement reposé, calme, frais et dispos que je vous livre ma conclusion sur cet ouvrage de Lionel Duroy. Vous êtes déprimé, vous n'allez pas bien, vos enfants vous agacent vous horripilent vous prennent pour des moins-que-rien, votre conjoint(e) ne veut plus que vous la (le) touchiez, vous n'êtes pas au top au travail, alors lisez Colères de Lionel Duroy, vous verrez, il y a pire que vous ! (Ah mince, j'avais dit plus de point d'exclamation ; allez un p'tit coup de dauphins et baleines).

Si vous allez bien ou pas trop mal, évitez ce livre, choisissez un bon polar ou reprenez mes articles depuis le début de l'année, vous trouverez un livre qui vous siéra mieux (tout à fait entre nous, j'en ai deux vraiment superbes à vous conseiller ici et là. Vous m'en direz des nouvelles)
Lien : http://lyvres.over-blog.com/..
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"Colères" est un pamphlet anti-vie, un ramassis de frustrations et de projections, un parfait manuel d'anti-communication. Après quelques pages teintées d'aigreur déclamée sur tous les tons, on en vient à sentir le besoin impérieux de jeter ce bouquin tant on craint que son amertume puisse par quelque moyen que ce soit nous contaminer.

Ou alors faudrait-il pouvoir le lire au 2ème degré tellement ce nombrilisme exacerbé en devient ridicule... malheureusement, l'autodérision n'apparait visiblement pas dans le capital génétique de l'auteur!

Cher M. Duroy, respirez! Vos "Colères" m'ont soulée, vos lecteurs ne sont pas des thérapeutes, allez en trouver un vrai plutôt que de vous offrir un énième vélo et comme disait ma grand-mère "On a la vie que l'on se fait!"
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Colères de Lionel Duroy

Un livre d'amour. L'amour. Toujours l'amour. Ben oui, c'est normal non ? Qu'est-ce qui nous fait vivre ? L'amour. Toujours l'amour.
Pas facile d'aimer. D'être aimé.
Qui a le mode d'emploi lève le doigt !
Pas toujours simple la vie.
Vous savez aimer une femme, voire deux, quatre enfants, écrire un roman, porter le lourd souvenir de vos parents tout en installant une tringle à rideaux, vous savez faire tout ça en même temps sans vous donner un coup de marteau sur le doigt ? Vous savez faire ça ?
C'est l'histoire de Marc, écrivain, père d'une famille recomposée comme on dit maintenant. Presque comme tout le monde quoi ?
Marc nous raconte sa vie. Il nous l'écrit. C'est vital pour lui, l'écriture. Une question de vie ou de mort. «...je devais très vite me mettre à écrire si je ne voulais pas commencer à mourir...»
J'ai retenu une phrase que j'aime bien, sur les enfants : «Elever un enfant, me dis-je, c'est lui apprendre à porter avec légéreté, avec élégance, cette part sombre et nauséeuse que chaque être contient et avec laquelle il lui faut cheminer et composer toute sa vie.»
La vie est un roman ? Là, c'est le roman de Marc, le «papa qui installe toutes ses femmes partout, et qui bientôt va se retrouver tout seul dans la grande maison.» Un livre émouvant.

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Lionel Duroy, nous conduit dans les méandres sentimentaux d'un homme mûr qui, bouleversé par le départ violent de son fils, l'éloignement de sa deuxième épouse regarde son passé, se refait le film pour comprendre son présent. Qu'est ce qui le lie et le sépare des êtres qu'il aime le plus ? Avec une écriture patience Duroy nous dépeint Marc est un écrivain célèbre. En même temps qu'il publie un de ses livres sa famille se disloque. Pour trouver une réponse à son désarroi, il fait des marches arrières, des analyses qui paraissent toutes justes. Mais si fines soient-elles, aucune de ces introspections ne répond à son besoin d'amour et à sa peur viscérale des femmes incarnée en premier lieu par sa mère. Derrière une histoire singulière se dessinent les grandes crises existentielles qui restent notre horizon. Les questions de la perte du désir et de la vérité semble tarauder Marc qui se retrouve confronté à son dilemme d'écrivain "A dire les choses, on ne peut que faire du mal, mais à ne pas les dire on meurt". Un livre qu'on lit d'une traite sans avoir de réponse.
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Je ne connaissais pas Lionel Duroy jusqu'à ce que j'ai l'occasion, il y a quelques mois, de le voir lors de l'émission "Ça balance à Paris", où il était invité suite à la parution de son dernier roman, "Vertiges".
De le voir... et de l'entendre, surtout. Car les reproches d'un journaliste sur les longueurs de son récit ont suscité un coup de gueule aussi tonitruant que sincère.
J'étais, je l'avoue, admirative devant la passion déployée par l'auteur pour défendre son oeuvre, tout en ne pouvant m'empêcher de murmurer à mon poste de télévision "non, mais regardez-moi ce con" ! Il faut que je vous précise un élément important, sinon, vous allez me prendre pour une douce illuminée qui parle à son petit écran, et qui en plus admire des mecs qu'elle trouve con : j'ai un problème avec la violence. Je peux avaler des millions de pages glauques et noires, lire sans sourciller des descriptions de scènes de tortures, (bon, j'exagère. Parfois si, je sourcille) : tant que cela reste de la fiction, tout va bien. Mais dans la vraie vie, j'ai du mal à supporter les éclats de voix, et toute manifestation, en général, de violence verbale.
Donc, sur la forme, le coup de gueule de Duroy m'a un peu choqué (je ne le lui reproche pas, hein, comprenez bien, c'est juste que je suis viscéralement incapable de gérer mes émotions face à quelqu'un qui crie). Mais sur le fond (car mon désarroi ne m'empêche pas d'écouter attentivement ce que crie le con... euh, pardon, l'individu en colère), je l'ai trouvé extrêmement intéressant.
Il expliquait que l'écriture relève pour lui d'une démarche intime, presque viscérale, et qu'écrire est pour lui un besoin vital, l'unique moyen de gérer les émotions que suscitent en lui certains épisodes de sa vie. Lorsqu'il rédige une oeuvre, c'est pour y analyser, décortiquer ces épisodes et leur impact, afin de pouvoir y survivre, les dépasser.

Autant dire que, malgré les noms d'emprunt dont il affuble les narrateurs de ses divers romans, c'est bel et bien de Lionel Duroy dont il est question. Il ne s'en cache pas, d'ailleurs, les événements vécus par ses héros sont trop proches de sa propre biographie pour pouvoir oser un "toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite" en début d'ouvrage...

Le narrateur de "Colères" se prénomme Marc, et il est écrivain -bien sûr. Il traverse une bien mauvaise passe. Son fils vient de partir à New York, après lui avoir adressé un mail accusateur et sarcastique, par lequel il rompt tout lien avec son père, et lui avoir laissé quantités de dettes à honorer. L'ambiance entre ses deux filles, nées de son second mariage, tourne au vinaigre. L'aînée arbore un soulagement blessant à l'idée de partir en Angleterre poursuivre ses études, pendant que sa cadette lui reproche à tout bout de champ de lui préférer sa soeur. Pour couronner le tout, il est pris d'une incapacité maladive à dormir avec sa femme, Hélène, qu'il aime de manière quasi obsessionnelle, mais dont il ne peut plus s'approcher sans éprouver de violents tremblements.
Seules ses virées solitaires à vélo dans Paris lui procurent un peu de paix.

Marc est un homme pessimiste et torturé, qui donne l'impression de se noyer dans un verre d'eau. On a régulièrement envie de le secouer, de lui crier, pour le coup, de pousser un grand coup de gueule contre ses capricieuses de filles et son ingrat de fils, ou mieux, de le pousser contre lui-même, pour enfin se sortir de ce marasme dont il est sans doute, par sa conciliante passivité, le principal responsable... Au lieu de cela, il ressasse, se rejouant les mêmes scènes, entretenant ses rancoeurs et ses malheurs, non seulement cet affront que vient de lui faire son fils, mais aussi des traumatismes plus anciens, desquels il n'est jamais parvenu à s'affranchir réellement. Il revient ainsi sur la rupture d'avec ses nombreux frères et soeurs, qui refusent de lui parler depuis qu'il a publié son autobiographie, sur la façon dont sa première femme l'a quitté, sur sa hantise de ressembler à Toto, ce père gentil mais menteur et soumis...

"Colères" est, vous l'aurez compris, un roman entièrement centré sur le narrateur -et donc sur l'auteur-, qui a tout pour être fastidieux. le texte fourmille de "je", la descriptions d'actes de la vie quotidienne côtoient celles de l'ampleur du désarroi parfois irritant du héros, les dialogues souvent sans intérêt sont rapportés mot à mot. le style n'est même pas brillant. Bref, "Colères" est le récit sans brillance d'un dépressif qui radote... Et pourtant, j'ai aimé cette lecture, qui à aucun moment ne m'a ennuyée, sans trop savoir expliquer pourquoi. Peut-être qu'à force de "je", et d'immersion dans les pensées de Marc, ai-je fini par avoir le sentiment de le connaître, que se créait une sorte d'intimité entre lui et moi.
Ce qui m'a frappé, en tous cas, c'est effectivement cette urgence que Lionel Duroy éprouve à écrire, et que l'on ressent tout au long du roman. On a l'impression que son but n'est pas de réaliser quelque chose de beau, mais d'extirper une partie de lui pour la coucher sur le papier, peu importe la forme que cela prenne. Il y a dans sa démarche, dans le fait d'étaler ses blessures, une forme d'exhibitionnisme. Un exhibitionnisme involontaire sans doute, mais indispensable, car seul moyen pour l'auteur d'exorciser le mal-être qui le hante.
Lien : http://bookin-ingannmic.blog..
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Terriblement éprouvant mais beaucoup moins maitrisé que le chagrin sur le plan de l'écriture (beaucoup de répétitions). Réellement écrit dans l'urgence. Une grosse colère certainement mais un gros désespoir surtout. Sur son fils oui mais tout autant sur sa relation avec sa femme.
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L'auteur a eu une enfance chaotique qui a fait de lui l'homme qui ne cesse de s'interroger sur la vie. Il essaie de comprendre sa vie jusqu'à l'obstination

Il ne vit que pour écrire. Il ne vit pas l'instant présent car c'est toujours dans l'optique de l'écrire. Tout le préoccupe.

On rentre dans ses pensées les plus secrètes, les plus sombres. Il analyse les moindres faits de sa vie. Ses questions répondent parfois à nos propres questions et comme il cherche des réponses, nous cherchons avec lui. Cela donne des réponses ou des pistes de réponses à nos propres tourments, parfois…

Il tourne beaucoup dans sa tête. Je lui conseille la méthode Vittoz pour reposer ce travail incessant de son cerveau.

Il veut être un bon père mais il manque de spontanéité. Il analyse trop. Tout tourne autour de lui dans ses rapports avec sa femme, avec son fils : tous ceux qui le touchent de près. Quand on est trop préoccupé par nos problèmes, nous ne pouvons plus nous occuper des autres.

Il reprend avec son fils le même comportement que sa mère avait avec son père p 65 : on reproduit de génération en génération, le transgénérationnel.

C'eut été mieux avec des chapitres qui nous permettent prendre des pauses dans notre lecture. Sinon, quand s'arrêter ?
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