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Citations sur Je suis Jeanne Hébuterne (87)

Nous, on te connaît déjà. Amedeo n'a que toi à la bouche... Jeanne Hébuterne. Jeanne Hébuterne. Jeanne Hébuterne. Il ne s'arrête plus. Il n'a jamais autant travaillé. Il ne peut plus se passer de toi... Il ne peut plus se passer de toi pour peindre.
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Mon corps se dérobe, mon âme vagabonde, entièrement aspirés pour n'exister qu'immobiles et figés sur les tableaux de Modigliani.
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Hier soir, j'ai prétexté la fatigue pour me retirer dans la chambre. Je me suis couchée, tête posée sur l'écharpe d'Amadeo Modigliani.
J'ai fermé les yeux pour revivre la scène, et tout m'est revenu avec l'exactitude d'une amoureuse.
C'était délicieux.
C'était réel.
J'ai enfoncé mon nez dans la laine et prononcé son nom, comme si je pouvais le convoquer près de moi, dans ma chambre de jeune fille.
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Zborowski lit à haute voix une des seules critiques favorables.
-" La souplesse animale, parfois immobilisée ses abandons, sa faiblesse heureuse, n'ont point encore connu de peintre plus soucieux de les traduire." C'est bon, Modi, tu vendras quelques toiles. Je dis pas la richesse, je dis pas comme Picasso ou Matisse, juste un bon petit début de gloire.
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Alors je sens que, pour un instant, je ne suis plus une Hébuterne, coupée en deux, la partie haute de mon corps asphyxiant la partie basse. Je suis un corps, je suis sienne. Un désir fou a vaincu ma mélancolie.
J'ai réussi à éloigner la mort.
Je vis à toute allure.
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«  D’habitude, je fuis l’amour.
Qu’un homme m’approche, vante ma peau diaphane et les nattes cuivrées qui descendent à mes genoux , et je lui tourne le dos.
J’aime la tranquillité , redoute l’inconstance des sentiments..
Non que je l’aie expérimentée à mes dépens , mais je l’ai lue dans les romans.
Les tocades, les soubresauts des longues passions , ce n’est pas pour moi » ...
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Même pas envie d'écrire.
Je vis à côté de ma parole.
Je vis à côté de moi-même.
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Un port de tête incliné. Mes cheveux cuivrés en cascade sur la poitrine.
Je trouve de la grâce dans ce corps auréolé d'une lumière dorée, tel que je ne l'ai jamais vu auparavant.
Je me découvre sous la main d'Amedeo Modigliani.
Mon regard le désire. Ma bouche pourpre appelle la sienne.
Je suis une femme aux yeux azur.
Je suis une femme.
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Ne me touche pas davantage, Amedeo, j'ai peur de tes mains sur ma peau, du désir qui tord le ventre, de nos voix qui vibrent, il faut que je parte, j'ai peur de tes mots,
laisse-moi rentrer chez mes parents, je ne veux pas m'endormir, trop peur de me réveiller folle de toi.
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Peut-on jamais se délivrer de la médiocrité du quotidien ?
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