Valentin le mouton a un gros souci : dès qu'il se met à pleuvoir, il rétrécit !!
Léon, son berger, va d'abord l'emmener voir un vétérinaire. Mais face à l'incompétence de ce dernier il va essayer d'inventer lui-même quelque chose qui permettra de garder Valentin au sec.
Un beau texte, tout en rimes, de jolies illustrations, tantôt poétiques, drôles et inventives pour une histoire étonnante qui pourra susciter la curiosité des jeunes lecteurs et introduire une présentation de Léonard de Vinci et de ses inventions.
On trouve ainsi un dossier à la fin du livre consacré aux machines du génie et des éléments biographiques pour en savoir plus (un peu complexe pour les plus jeunes, mais parfait à partir de 7 ans ans je pense).
Commenter  J’apprécie         10
Un livre tout en rimes. L'histoire du berger Léon qui veut rendre la vie de son mouton Valentin plus facile car il rétrécit dès qu'il y a de la pluie.
Il va donc lui inventer une machine volante.
A la lecture de ce livre, nous avons dû fabriquer un parachute pour les petits jouets de notre enfant ! L'imagination est en marche...
Commenter  J’apprécie         20
C'est absolument tiré par les cheveux, et c'est pour cela que ça marche. Gagné par le rire de l'histoire du mouton, le lecteur est tout à fait prêt à passer à autre chose, à savoir les machines de de Vinci et leurs applications.
Lire la critique sur le site : Ricochet
C'est là qu'entre stratus, cumulus et cirrus, soudain il l'aperçoit...belle et blanche comme un ange, la plus jolie des brebis qui soit !
Son coeur se met à faire des bonds, à danser la samba, à jouer à saute -mouton.
Hop, hop, il s'approche doucement et, contre un coin de paradis, lui offre gentiment un p'tit coin de parapluie.
En ville, vite il s'achète un compas, des cahiers, des gros blocs de papier, une équerre très pointue, des crayons bien taillés, un rapporteur tout rond, un mètre de charpentier sans oublier, bien sûr, une gomme pour effacer et tout recommencer.
Dans sa prairie, comme chaque matin, Valentin est chagrin. Il a un gros souci: dès qu'il tombe de la pluie, il rétrécit.
Dans le ciel moutonneux,
Valentin plane, lui, tout heureux.
La terre est belle vue d'ici !
Il admire sa prairie, ses amis minuscules,
le bonnet de Léon pas plus gros qu'une bulle.
Un Pont des arts de Géraldine Elschner et Fred Sochard pour commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale. C?est avec Fernand Léger et la fraternisation franco-allemande que nous avons souhaité l?évoquer.