En y retrouve l’efficace combinaison d’exotisme et de sensualité. Au harem succède le sable du désert et la découverte du labyrinthe de Crocodilopolis. [...] Graphiquement, Ersel est égal à lui-même. Ses femmes sont belles. Ses décors exhalent l’exotisme.
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Cette succession de tableaux de quelques planches à chaque fois assure l’équilibre du rythme du récit et relance régulièrement l’intérêt qu’on porte à cette aventure qui demande cependant au lecteur d’accepter, pour que l’héroïne Françoise suive son chemin, une certaine part d’utopie et d’insolente chance.
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