Bof!! j'ai abandonné au bout de 50 pages (sur 150). Il ne se passe absolument rien, ce n'est que de la description. le héros du livre décrit son environnement, fait des pèlerinages sur ses anciens lieux de vie (tout en région parisienne), parle de quelques personnes.. C'est rare que je n'aille pas au bout d'un livre, mais là ça ne m'a vraiment pas donné envie de continuer.
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A savourer doucement, un délice
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Dominique Fabre explore avec acuité et empathie le monde de la ligne de bus PC2 et de la porte d’Ivry.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
Il suit les inconnus qui marchent de travers au bord du périphérique. Et, nuit et jour, garde les yeux ouverts pour nous conter le lendemain ce que nous n'avons pas su apercevoir. Tel un poète d'utilité publique.
Lire la critique sur le site : Telerama
"Le soir quand il fait beau, les vieilles Chinoises sortent avec de nombreux paniers et s'installent pieds nus en tailleur sur les grosses bouches d'aération des tours d'habitation. La police vient les déloger, car il est interdit de pique-niquer entre Bologne et Londres, c'est le nom des tours d'ici. Elles commencent par ne rien comprendre, en leur souriant tout ce qu'elles peuvent. Puis, elles appellent une plus jeune qui traduit. Elles remettent leurs savates et rient dans leur langue maternelle, docilement. Là encore on ne saura à peu près jamais de rien leur vie, jamais."
Avec des décennies de recul, un homme revient sur les traces de son enfance et de son adolescence, dans la salle des pas perdus de la gare Saint-Lazare, les rues populeuses alentour, les cafés où les banlieusards boivent debout au comptoir avant d'attraper leur train.
Dans "Gare Saint-Lazare" (Fayard), Dominique Fabre contemple de son regard d'enfant meurtri les milles vies qu'accueille la gare. Et nous partage son espoir d'une réconciliation avec sa mère.
En savoir plus https://www.hachette.fr/videos/lire-et-ecrire-avec-dominique-fabre