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C'est avec un immense plaisir que j'ai retrouvé May Dodd l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches.
Tout avait commencé en 1875, lorsque la jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, du fait de son mode de vie anticonformiste est séparée de ses enfants avant d'être enfermée dans un asile. Elle n'a eu d'autre choix pour s'en sortir que de rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Au fil des jours, devant les traîtrises du gouvernement et les sauvageries occasionnées par les blancs pour les déposséder de leurs terres, May a pris fait et cause pour les Indiens.
Avec ce nouvel opus May et Chance, Jim Fergus m'a entraînée à nouveau sur les traces de cette femme absolument hors du commun.
On la retrouve en cette fin d'année 1876 avec son amant Chance. En compagnie de lady Ann Hall, de Martha Atwood et son bébé, du jeune cheyenne Horse Boy, ils ont quitté le village d'hiver de Little Wolf pour se rendre à Chicago où May espère retrouver ses deux enfants qu'on lui a si injustement retirés.
Comme elle le confie dans son journal « Bizarrement, j'éprouve des regrets à l'idée de quitter le dur pays qui nous a adoptées ».
Après maintes péripéties, May. qui a d'abord grandi dans un hôtel particulier de Chicago, puis partagé la vie de Harry Ames, travaillé à l'usine, été internée six mois dans un asile d'aliénés, vécu deux ans chez les Cheyennes, parcouru la prairie et subsisté en volant et vendant des chevaux pendant quatre mois, va enfin s'installer à Lake Forest dans la banlieue de Chicago avec Chance, avec qui elle vient d'unir sa destinée, tous deux follement amoureux l'un de l'autre.
Elle va devoir s'adapter à un mode de vie radicalement différent, rentrer de nouveau dans le monde des Blancs, et faire face à de nombreux dangers, notamment déjouer les plans de ce père sans scrupules uniquement attaché à sa fortune et à ses affaires.
Et bientôt nous les retrouvons sur la route…
En prenant May comme narratrice principale et ce, par l'intermédiaire de son journal, Jim Fergus nous offre un récit vivant, absolument captivant et bouleversant de bout en bout, et nous fait ressentir au plus près ce que vit, éprouve et endure cette jeune femme.
Impossible pour moi de ne pas être conquise par la force, le courage, la détermination dont elle fait preuve tout au long de ces pérégrinations et de ne pas être séduite par la beauté des sentiments que May et Chance éprouvent l'un envers l'autre, un magnifique amour inconditionnel.
Bien que May et Chance soit une fiction, Jim Fergus a basé son roman tout comme la trilogie Mille femmes blanches sur des faits réels et c'est ce qui fait principalement l'attrait de cette série d'ouvrages qui raconte de façon romanesque certes, mais ô combien près de la vérité, l'agonie et la fin d'un peuple. Au cours de ce long voyage, force est de constater que les Blancs se sont appropriés les terres de ces Amérindiens, les ont détruites dans de telles proportions que le mode natif n'y est plus envisageable.
Avec le Wild West Show, spectacle itinérant dirigé par William Frederick Cody, auquel seront amenés à participer May et Chance, il est encore question de ce sujet avec justement la tentative pour nos deux héros d'en transmettre une version plus réaliste. L'auteur nous embarque agréablement avec cette troupe, avec la plus célèbre d'entre elles le Wild west Show de Buffalo Bill qui a réellement existé et connu un succès populaire en montrant des scènes trépidantes de la vie dans l'Ouest. Celle-ci nous entraîne jusqu'en Europe, jusqu'à Paris même, pour l'Exposition Universelle de 1889.
Quant à la fin qui peut paraître presque trop belle, elle est en parfaite adéquation, à mon humble avis, avec ce que pouvait espérer ce couple à la recherche d'un lieu où se poser.
Et après tout, n'est-on pas en droit d'attendre un peu de bonheur pour celle qui a tant enduré ?

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Fuyant la guerre que les armées américaines mènent aux indiens, présumée morte, May Dodd décide de rentrer à Chicago retrouver ses enfants. Elle entreprend le voyage avec son compagnon Chance, son amie Martha, et un jeune indien.
Aidés par des marchants de chevaux bienveillants, la petite équipe parviendra à destination mais ne sera pas au bout de ses surprises...

On retrouve dans "May et Chance" tout ce qui a fait le succès des trois tomes de la trilogie "Mille femmes blanches" : la qualité de l'écriture, celle de la narration avec ses multiples péripéties et rebondissements, l'amour de l'auteur pour les primo-américains, etc.
Pour autant, ce roman n'a pas le même impact que les trois précédents. L'imagination de l'auteur semble atteindre ses limites, au point de finir par contredire les premiers événements de la trilogie.
May et Chance, les deux personnages centraux, paraissent trop beaux, trop forts, capables de se sortir sans dommage de toutes les situations (ce que ni Batman ni Superman ne réussirent !). Et que dire d'un dénouement qui mêle Buffalo Bill, Londres, Paris et la Camargue ? Improbable !
"May et Chance" confirme les qualités littéraires de Jim Fergus : le livre se laisse lire avec grand plaisir. Mais on le referme en se disant que l'auteur a sans doute trop tiré sur le fil ; succès de la trilogie oblige ? La première partie du roman aurait peut-être suffi, en insistant un peu plus sur les failles des deux héros, les rendant plus humains. La fin vient hélas nuancer le plaisir...


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May et Chance

J'ai pris beaucoup de plaisir à replonger dans l'univers des Mille femmes blanches, retrouver les Cheyennes et leur mode de vie, et surtout May Dodd, l'héroïne blanche que l'on suit depuis le tout début.
Bien sûr, les passages de violence, inhérents au contexte, la lutte des Amérindiens tentant de sauver leurs terres et de résister à l'enfermement dans des réserves, heurtent toujours ma sensibilité, mais restituent probablement avec fidélité une triste réalité.
L'auteur nous entraîne dans ce monde-là avec toujours autant de talent, nous fait de nouveau voyager, jusqu'à Chicago cette fois et même Paris. May rentrera peu à peu en résilience… son nouveau mari Chance à ses côtés…

Je ne résumerai pas l'histoire, je dirai simplement qu'elle se poursuit, que les femmes sont toujours mises à l'honneur, que l'amour est une valeur sûre, mais que cet opus est un prétexte de plus à dénoncer l'horrible massacre des Amérindiens…
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Je m'était promis de lire la suite de "Mille femmes blanches", et j'ai réussi à mettre la main dessus avant d'avoir oublié l'histoire. Même quand une lecture vous a beaucoup plu, quand on lit autant on a parfois tendance à avoir quelques trous de mémoire, à mon âge vénérable !

Je vais essayer de ne pas dévoiler trop d'éléments de la trilogie qui précède cet ultime volume, mais si vous avez l'intention de la lire ne regardez pas de trop près ce billet. Comme l'indique le titre, l'histoire est centrée sur May, l'héroïne de la saga depuis le début, et son nouveau compagnon Chance, un sang-mêlé avec lequel elle file le parfait amour depuis qu'elle a tenté de lui voler son cheval dans le tome 3. Dans les premiers chapitres ils sont encore accompagnés de Martha, compagne d'infortune de May depuis le début, et de son fils Little Tangle Hair, le bébé qu'elle a eu de son époux indien, ainsi que de Lady Ann, qui apparaissait dans le second tome et souhaite rentrer en Angleterre. Mo, le jeune "horse-boy" indien de May va également les rejoindre au cours de leur périple à cheval pour rejoindre Chicago, d'où sont originaires May et Martha.

La route est longue, et les membres indiens de la petite troupe sont fréquemment interdits de séjour dans les auberges ou les commerces des localités traversées. Pour se procurer de quoi aller au bout de leur voyage, ils tentent de vendre leurs montures à un marchand qu'avait déjà croisé May alors qu'elle faisait du trafic de chevaux volés. Celui-ci, M. Bartlett, va se montrer d'une aide inespérée pour la suite de l'histoire. D'ailleurs le groupe va faire plusieurs belles rencontres, j'ai même trouvé qu'ils étaient un peu trop chanceux parfois ! Peut-être le prénom de Chance y est-il pour quelque chose ? Toujours est-il qu'après pas mal de péripéties, le départ de Lady Ann, un mariage, ils finissent par arriver aux abords de Chicago où May n'a pas perdu l'espoir de retrouver ses enfants dont on l'a séparé des années auparavant en la plaçant à l'asile sous un motif futile, comme cela était courant à l'époque pour se débarrasser d'une femme encombrante.

Je m'arrêterai là pour la narration de l'histoire, sinon vous n'aurez plus besoin de lire le livre. J'ai été très heureuse de retrouver l'univers et certains personnages de "Mille femmes blanches", mais je n'ai pas éprouvé autant d'enthousiasme qu'au début de la saga. Les éléments qui m'attiraient le plus ne sont ici qu'anecdotiques, notamment le combat des tribus indiennes pour garder leurs territoires et leur liberté. On constate que la plupart d'entre elles ont cédé à la pression des colons blancs et se sont laissé parquer dans les réserves. le voyage des héros est certes émaillé d'incidents plus ou moins intéressants, mais manquait un peu d'intérêt par moments. le combat de May pour retrouver ses enfants m'a plus tenu en haleine, cette partie du roman relance l'action. Dans la suite, la rencontre des deux héros avec la troupe de William Cody, autrement dit Buffalo Bill et son célèbre Wild West Show (un des nombreux éléments réels de l'histoire) apporte un éclairage intéressant sur la façon dont le public se représente l'histoire de la conquête de l'Amérique par les colons. May et Chance vont d'ailleurs tenter d'infléchir cette vision pour le moins faussée des évènements.

Quant à la fin, ce n'est pas celle que j'imaginais, ce n'est peut-être pas la plus convaincante, mais elle plaira sans doute à nombre de lecteurs de la saga ! Nonnon, n'insistez pas, vous ne saurez rien de plus ! Vous n'avez qu'à lire les 4 volumes,'à peine 1600 pages, à la louche... Mais pour nous, une broutille !
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May Dood, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches, est un de ces personnages qu'on aime à retrouver.
Cela m'a donné l'impression de renouer avec une ancienne connaissance.
Certes, c'est une héroïne presque trop parfaite et le couple qu'elle forme avec Chance l'est encore plus ! Mais, qu'à cela ne tienne, j'ai beaucoup aimé les suivre tous les deux à travers l'Amérique de la fin du XIX eme siècle.
N'espérez pas retrouver des aventures trépidantes comme dans les tomes précédents, il s'agit surtout ici pour May comme pour Chance de renouer avec le passé, de s'attarder sur des pans de leur vie qu'ils avaient tenus cachés jusqu'alors.
C'est aussi l'occasion pour l'auteur de revenir sur le sort des Indiens. Exclus, malmenés, mal considérés, parqués dans des réserves. Je ressens tant de peine pour ce peuple si fier, si libre, si proche de la nature qu'on a a réduit à vivre dans la misère loin de leurs territoires de chasse.
A noter également dans ce roman, l'apparition remarquée du célèbre et fabuleux Buffalo Bill que May et Chance auront l'opportunité de rencontrer. Mais peut-être devrai-je plutôt dire l'inverse. Quelle aubaine pour le créateur du Wild West Show d'avoir rencontré May et Chance !

Une jolie conclusion à cette magnifique fresque romanesque au pays des cow-boys et des indiens !
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Quel plaisir de retrouver l'héroïne de la trilogie des Mille femmes blanches dans ce nouveau roman de Jim Fergus, May et Chance. de nouvelles aventures s'invitent à cette femme irrésistible accompagnée de celui qui devient dès les premières pages son mari, Chance Hadley. Ensemble ils vont chevaucher sur Chicago pour que May retrouve ses enfants. Cependant la route est pleine d'embûche et c'est la force de leur amour les unissant qui va les aider à surmonter le pire et construire le meilleur.
Jim Fergus donne voix aux femmes, libres et égales aux hommes, comme il les souhaitent et dans ce roman c'est une réussite, le lecteur est captivé et partage l'espoir infini des possibles.
La beauté profondément humaine des femmes et de la paix tout simplement sont mis en lumière par la plume de cet extraordinaire auteur !
#MayetChance #NetGalleyFrance, merci aux éditions du Cherche midi.
Lien : https://www.facebook.com/lec..
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Ce roman vient clore la vie de May chez les Cheyennes, il est donc le quatrième et dernier d'une longue saga.
On y voyage beaucoup en sa compagnie et celle de Chance Hadley, qui deviendra son mari. On pousse jusqu'à Chicago où elle espère retrouver ses enfants. L'aventure se termine en France, en Camargue. Les aventures sont nombreuses mais pas toujours crédibles.
J'ai bien aimé le passage su Cody, autrement dit Buffalo Bill qui, lui, a réellement existé.
Si vous n'avez pas lu les précédents tomes, rien de grave car l'histoire se répète et May revient souvent sur son passé. D'ailleurs, tout cela est bien répétitif et parfois ennuyeux.
On ne peut pas dire que les personnages soient très convaincants, comme si cette histoire qui n'en finit pas finissait par les lasser.
J'ai regretté que ce ne soit pas plus fouillé au niveau historique.
Bref, une lecture mitigée et assez décevante.
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J'avais absolument adoré Mille femmes blanches, avais été plus mitigée pour les 2 livres suivants et n'ai pas du tout apprécié le dernier chapitre des aventures de May Dodd..

Plus de réel contact avec les natifs.. nous les voyons de loin se faire parquer.. Ici May retourne dans sa ville natale à la recherche de ses 2 premiers enfants.

En réalité il ne s'y passe pas grand chose, May revient sans cesse sur ses souvenirs et ses regrets concernant ses aventures passées (nous les avons déjà lues, merci!).
Les personnages ne sont pas du tout crédibles dans leurs réactions et tout est dégoulinant de mièvrerie..

Par exemple :


Bref, c'est 4eme opus ne m'a vraiment rien apporté et j'aurais dû m'arrêter au tome 1..
Mais je suis curieuse d'avoir vos avis!
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Avertissement!
Si vous n'avez pas encore lu la trilogie des Mille femmes blanches et que vous souhaitez le faire, je vous recommande de ne pas lire ma chronique. Ce roman venant éclairer et compléter cette saga en trois volumes, je ne souhaite pas vous dévoiler certains éléments avant même que vous ayez le plaisir de découvrir par vous-mêmes cette incroyable trilogie! 🔥

Avertissement formulé! Bienvenue…

« Évidemment, nous n'avons que peu d'influence sur notre destin, nous n'avons pas le pouvoir de supprimer la mort et le malheur, de mener éternellement une existence paisible. Mais Chance et moi sommes encore jeunes, nous aurons d'autres défis à relever. D'autres joies et d'autres plaisirs nous attendent et, avec un peu de chance, nous les découvrirons ensemble. »

May et Chance, Jim Fergus @cherchemidiediteur

Vous souvenez-vous de May Dodd qui partit avec d'autres femmes blanches, dans le cadre du programme FBI, en vue d'un échange avec les indigènes? Rappelez-vous de la débâcle lors de l'attaque du camp de Little Wolf, et May laissée pour morte au fond d'une grotte…

May… et ses mille aventures… que l'on retrouve ici au côté de Chance, plus vivante que jamais!

« Eh bien, pour ne rien vous cacher, May Dodd... Abigail Ames... June Hadley... si vous m'avez autant plu dès le départ, c'est parce que vous me rappelez mon épouse. Je l'aimais beaucoup ! C'était une femme solide, dotée d'une forte personnalité. »

On est toujours un peu fébrile quand on commence un épisode en marge d'une série fort appréciée… sera-t-il à la hauteur? L'auteur va-t-il parvenir à nous emporter à nouveau?

Eh bien oui! Ce n'est pas les Mille femmes blanches, mais les aventures de May se poursuivent et elles ne manquent pas de surprises et rebondissements!

« Monsieur Hadley, j'ai célébré des quantités de mariages au cours de ma carrière, j'ai entendu toutes sortes de récits émouvants, détaillant la façon dont les couples se forment... et d'autres, beaucoup moins attachants... mais je vous avoue qu'un mari ne m'avait jamais dit avoir rencontré sa promise alors qu'elle lui volait son cheval ! »

Et puis, ne l'oublions pas, ce récit est avant tout un regard différent sur la conquête de l'Ouest, une vue où les natifs reprennent leur place et leurs droits, où l'on reconnaît le massacre, le vol des terres, le génocide… au nom de quoi?

« C'est ce que les Blancs appellent la destinée manifeste mon ami. La mission divine qui leur donne, croient-ils, le droit de chasser les natifs de leurs terres, de les abattre ou de les emprisonner, de s'approprier leur pays et d'en faire ce qu'ils veulent. Tu as dû voir se produire la même chose avec les Comanches du Texas. »

C'est cela avant tout que j'aime dans ce roman: une évocation vraie et authentique de l'histoire, sans fioritures, sans demi-mesure!

« C'est une bonne chose d'apprendre à vivre avec peu, car on apprécie d'autant plus le confort et le bien-être. Mais à quel prix finalement, car il a fallu pour cela coloniser cette terre, exproprier ses occupants, la transformer pour qu'elle réponde exactement aux besoins des conquérants.
Au prix exorbitant d'innombrables vies humaines, ce qu'on ne peut qualifier de progrès. »

Un récit empreint d'humanité et de justice, d'aventure et d'Histoire…
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C'est une grosse déception que ce roman de Jim Fergus que j'apprécie beaucoup par ailleurs. ( C'est un homme qui a de belles valeurs et qui apprécie ma peinture en plus.:) )
Mais l'honnêteté m'oblige à dire vrai.
J'ai aimé la plupart des livres de Jim. J'ai beaucoup apprécié la saga des 1000 femmes blanches, extraordinaire épopée totalement sortie de son imagination et incroyable de féminisme, de connaissances sur la vie des indiens natifs, Passionnant. Dans ce livre, nous retrouvons une des femmes blanches, de 1000 femmes blanches, May. Mais rien de la fougue, de l'intérêt, des informations, de ce qui avait fait le succès des trois tomes précédents. J'avoue, je n'ai pas compris. Pourquoi cette suite ? Elle n'apporte rien. C'est ennuyeux et je me permets de subbodorer que Jim Fergus lui-même s'est ennuyé tant l'écriture est plate, incroyablement. May et Chance son gars, partent et elle veut essayer de retrouver ses enfants qui lui ont été enlevés par son père. Bon. Ok. Ils rencontrent un nombre de gens sympas disposés à les aider, c'est stupéfiant. Et la fin heureuse est digne d'une jolie romance. Rien d'autre à dire si ce n'est que peut-être l'auteur avait envie de solidarité et d'un monde plus doux ? Ce qui ne m'étonnerait guère. Après tout... Pourquoi pas ? Mais ... Ça n'a pas suffit à me convaincre. Lisez tous les autres livres de Jim Fergus, vraiment.
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