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Citations sur Mille femmes blanches (342)

Bien qu'ayant dépassé la cinquantaine, Little Wolf semblait avoir au bas mot dix ans de moins. Mince, musclé, il avait le nez aquilin et les narines épatées, les pommettes hautes et colorées. Sa peau cuivrée était marquée de profondes cicatrices depuis l"épidémie de variole qui avait ravagé la tribu en 1865. S'il n'était pas grand, il avait belle allure et un port de tête altier. Son visage arborait une expression naturelle et féroce de défi.
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Quand je mourrai, le vent soufflera toujours et les étoiles continueront de scintiller...
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Quand je mourrai, le vent soufflera toujours et les étoiles continueront de scintiller, car la place que j'occupe sur cette terre est aussi éphémère que mes eaux, absorbées par le sol sablonneux ou aussitôt évaporées par le vent constant de la prairie…
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Gretchen leva son épais index. « Une fois, c’est tout. Che ne suis bas ta femme, et che ne n’abbartiens bas. Compris ? Rien qu’une fois. –OK, fit Jules Seminole en affichant un horrible sourire égrillard. Une fois. Je ne pourrai pas faire plus avec une grosse vache allemande dans ton genre. –Suisse, le reprit Gretchen. Che suis une Suissesse. Et tu n’es bas fraiment le chenre d’individu dont rêfent les cheunes filles. Tu bues comme un cochon infect. »
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Nous n’avons jamais chercher à nous multiplier car nous savons que la terre ne peut porter qu’un certain nombre d’entre nous, de la même façon qu’elle abrite seulement un certain nombre d’ours, de loups, de wapitis, d’antilopes et d’autres animaux. Car s’il existe trop de bêtes d’une espèce donnée, elles meurent de faim jusqu’à ce qu’il s’en trouve à la bonne quantité.
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Franchement, vu la façon dont j’ai été traitée par les gens dit « civilisés », il me tarde finalement d’aller vivre chez les sauvages. J’espère qu’eux, au moins, sauront nous apprécier.
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... ce qui me pousse à croire que nos cultures, finalement, ne sont peut-être pas si différentes : les femmes font tout le travail pendant que les hommes bavassent.
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C'est aujourd'hui mon anniversaire et j'ai reçu le plus beau des cadeaux : la liberté ! Je griffonne maladroitement ces premières lignes à bord d'un train de la Union Pacific, parti ce matin à six heures trente-cinq de la gare de Chicago, vers l'Ouest et le Nebraska. On nous a dit que le voyage allait durer quatorze jours, avec un changement de train à Omaha. Si notre destination finale est sciemment gardée secrète, j'ai surpris la conversation des soldats de l'escorte (les militaires sous-estiment l'acuité d'une oreille féminine) et j'ai appris que le train nous emmène tout d'abord à Fort Sidney – d'où nous serons convoyées en chariot vers le Wyoming, à Fort Laramie, et finalement à Camp Robinson dans le Nebraska.
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J'emporte toujours en mission une édition bien-aimée de Shakespeare, dont la lecture me divertit. J'ai pensé que ce soir vous aimeriez peut-être vous joindre à moi : c'est tellement plus agréable de lire avec un autre passionné.
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Franchement, vu a façon dont j'ai été traitée par les gens dits "civilisés", il me tarde finalement d'aller vivre chez les sauvages
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