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3,64

sur 1058 notes
Fan des bds du célèbres gaulois j'étais contente de découvrir ce nouveau volume. J'ai trouvé qu'il manquait un petit quelque chose, un petit je ne sais quoi, pour que l'étincelle soit aussi vive que pour les bds "originelles". Une agréable aventure, qui reprends les codes qui ont fait la signature d'Astérix. J'attends les prochains !
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Astérix et le Griffon est une bande dessinée de Jean-Yves Ferri (scénario) Didier Conrad (dessin), 39e album de la saga du célèbre gaulois.
Une fois n'est pas coutume, Astérix, Obélix et le druide Panoramix partent à la découverte d'une nouvelle contrée, chez les Sarmates, pour empêcher les romains de s'emparer du griffon. Un album plaisant, sans trop d'enjeu, mais fidèle à la série.
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Top 1 des ventes actuelles, cinq millions d'exemplaires nous attendent sur les étals des librairies, le petit Astérix est donc de retour. Et cette fois, il sera frissonnant. Normal, puisqu'on file vers le grand nord. On retrouve les ingrédients habituels que nous adorons, les dessins familiers dont on se délecte avec gourmandise. Puis, on s'amuse avec la caricature de Houellebecq, on déniche celle d'Aznavour, on adore les clins d'oeil à l'actualité et ces amazones, diablement rebelles et jolies, qui ne manquent pas de piquant. Bref, quelque soit le voyage ou les aventures, Astérix a toujours le don de nous faire retomber en enfance. Et ça, ça n'a pas de prix.
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Lire le nouvel Astérix, c'est un peu devenu un automatisme.
Dans cette nouvelle aventures émaillée de gags et de jeux de mots, les irréductibles Gaulois partent sur les traces d'un chaman dans le Grand Est. Dans le même temps, César missionne ses troupes à la recherche du mythique Griffon afin de prouver son existence.

Pour un tome qui se déroule dans de grands espaces neigeux, les couleurs sont omniprésentes et chatoyantes. La luminosité y joue beaucoup avec ce cycle jour/nuit qui influe sur les couleurs en fonction de l'heure.

Seul vrai déplaisir, la lecture des « e » inversé. Cognitivement, ça passe. le cerveau est capable de faire avec. de nombreuses études sur la lecture, en psychologie cognitive et en neurosciences, montrent ses capacités. Et si c'était illisible, les auteurs et l'éditeur ne l'auraient pas proposé.
Histoire d'être rabat-joie, je trouve que c'est tout de même irritant à la longue, d'autant que dans ma grande ignorance, je ne sais pas à quoi ressemble le son d'un « e » écorché…

Ce nouvel opus reste sympathique. Il poursuit la tradition des voyages culturels et remplit son rôle de divertissement passager.
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L'été est pour moi la saison de la lecture et/ou relecture des BD. J'ai trouvé celle-ci - le tome 39 de la série - comme legs du dernier passage dans la maison de mes petits-enfants.

Toujours dans la tradition des pères fondateurs Goscinny et Uderzo, mais la recette patine un peu. On se régale toujours néanmoins des noms donnés aux personnages, le plus notoire étant le géographe Michel Houellebecq (alias Terrinconus), ce qui est logique puisqu'il fut diplômé de l'Institut d'agronomie.

La trame du scénario mène une troupe de soldats Romains à la recherche de l'animal fabuleux mi-aigle, mi-lion, que César désire.

On ne sait pas bien pourquoi Astérix et ses copains s'embarquent eux aussi à travers les steppes enneigées de la barbarie et s'enfoncent dans cette Russie où l'on écrit les lettres à l'envers. Sans doute parce que le druide Panoramix veut rendre visite à son collègue le chaman Cekankondine. Naturellement, ils vont croiser la route des Romains. A leur grande surprise, ce sont les femmes qui guerroient dans cette contrée inhospitalière, de puissantes amazones dotées d'un sens stratégique très poussé.

En vrac, on appréciera les jeux de mots variés sur le concept de site, les allusions aux fake news, la supériorité (?) de la diplomatie gauloise sur la force brute (la potion magique a gelé dans ces rudes contrées), l'attirance d'Idéfix pour ses congénères loups, au grand dam d'Obélix qui a son tour va être charmé par une belle amazone.

Le seul inconvénient de ce nouvel opus est d'avoir été conçu avant l'agression de la Russie sur l'Ukraine. On n'a pas tellement envie de s'amuser au sujet de Russes sympathiques et de leurs femmes plantureuses.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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C'est le premier Astérix que je lis, post- Uderzo et Goscinny, et certainement mon ressenti est influencé par l'absence des pères fondateurs de nos héros gaulois.
Pas folle donc, cette histoire dans les montagnes glacées de Barbaricum, le monde barbare à l'est de Rome, à la recherche du Griffon éponyme.
D'abord et surtout, parce qu'il semble plus que jamais que les auteurs cherchent à nourrir une thématique, oubliant peut être au passage le petit grain de folie qui rendait les précédents albums jouissifs. Il s'agit ici de "traiter" du complotisme, dans une période brouillée par le Covid (le texte s'y réfère de manière très explicite).
Toutes les décisions sont déceptives, même si elles ont déjà été prises par le passé : le manque de potion magique par exemple, l'apparition du Griffon également. Ces partis pris appellent à la réflexion, mais clairement, ce n'est pas ce que j'attends d'un Astérix.
Avec ce choix, assumé, les auteurs entérinent l'idée d'un texte a message, qui n'a pas, à mon sens, sa place dans cet univers.
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Une lecture ma foi, fort agréable.
Ce dernier volume d'Astérix est bien pensé et plutôt bien scénarisé. Je l'ai déjà dit mais je trouve que les nouveaux auteurs ont parfaitement saisi l'essence de la série et qu'ils ont bien repris le flambeau. On retrouve forcément les jeux de mots, marque de fabrique de la BD, et on sent l'effort apporté dans la recherche des noms et des références où se mêlent l'historique et l'actuel. L'intrigue en elle même est sympathique et tient la route, car l'univers d'Astérix se prête au fantastique (contrairement à la science fiction : cf. "Le ciel lui tombe sur la tête"), et que cela reste très léger.
Enfin, il était intéressant de voir les "rôles" des guerriers inversés avec les Amazones, mais aussi que notre héros soit un peu pris au dépourvu.

Mais bon ce que l'on veut surtout savoir :
En tout cas, j'ai passé un très bon moment.

TOP Tier.
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Un gros bémol pour cet album. On y retrouve nos personnages préférés qui rencontrent leurs clones physiques. Un miroir dans les personnages, dans la police d'écriture, une inversion des rôles tenus (hommes-femmes). Quelques bons jeux de mots (ouf...), des noms toujours rigolos. Mais je n'ai pas retrouvé le piquant des créateurs. Dommage...
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Je ne lis pas très souvent de bande dessinée, mais celle-ci me tendait les bras et appréciant Astérix et ses compagnons je me suis laissée embarquer.
Ç'a été un court, mais très plaisant, moment de lecture.
Fraîche et drôle, cette aventure jouant avec notre quotidien et les faits de société actuelle m'a fait bien rire.
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Cette nouvelle aventure du plus célèbre des gaulois nous transporte dans l'est de l'Europe, loin, très loin de Rome et de ce petit village d'irréductibles. A la demande de César, Terrinconus est envoyé en mission aux confins du monde pour y trouver le griffon qui distraira l'empereur.

Evidemment Astérix, Obélix, Idéfix et Panoramix sont appelés à l'aide par un chaman amis du druide gaulois.
L'album précédent, « La fille de Vercingétorix » m'avait réconciliée avec Astérix et surtout avec le duo qui continue à donner vie à nos gaulois préférés : Jean-Yves Ferri pour les textes et Didier Conrad pour les dessins.

Cette fois aussi on retrouve tout ce qui fait l'univers de la saga et qui en a fait le succès du temps de Goscinny et Uderzo. L'humour omniprésent, notamment par les jeux de mots, dont certains sont très subtils. Il y a aussi l'ancrage et les références au quotidien et à l'actualité (…) et les caricatures de personnalités. Ainsi on va croiser un légionnaire romain un brin complotiste qui s'appelle Fakenius, un géographe-aventurier portrait craché de Houellebecq, ou encore sur une seule bulle un hommage à Charles Aznavour. de même l'opposition entre les femmes guerrières de cette contrée à l'est de l'Europe et nos Gaulois privés de potion pour cause de gel. Les deux villages sont totalement en miroir, le tout sans manichéisme ni caricature, comme pour montrer que le matriarcat ça tient bien la route !

J'ai ri de bon coeur aux jeux de mots, savouré le dessin si fidèle aux albums de mon enfance. L'histoire qui joue sur « voyage en terre inconnue », les mythes et légendes et un brin d'exploitation des ressources naturelles est totalement dans l'air du temps.

Un seul regret : bien trop court.

Mais je n'ai cette fois encore pas boudé mon plaisir et espère que Jean-Yves Ferri et Didier Conrad parviendront à maintenir longtemps cet héritage, avec le même respect pour leurs auteurs d'origine.
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