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EAN : 9782377310715
216 pages
Sarbacane (07/03/2018)
4.08/5   32 notes
Résumé :
« Depuis qu’on a abandonné le lycée, il nous reste pas grand- chose, à part le pied des tours. Nous, c’est mes deux potes et moi, Shorba.
Mais on a rencontré Léo, et tout a changé.

Léo, c’est un gars de trente balais, un gauchiste vraiment pas de notre monde. Il nous montre des choses qui se passent juste à côté de chez nous mais qu’on n’avait jamais vues. Il nous apprend plein de truc... >Voir plus
Que lire après Shorba, l'appel de la révolteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Shorba est une oeuvre qui traduit un désir, un sentiment de liberté évident, et ceci se ressent dès les premières pages, avec la présentation des différents personnages. C'est simple, tout dans cette histoire traduit une envie d'évasion, en passant par la couverture et son fond montagneux ou encore la bande son du roman. Vous savez sans doute à quel point je suis client de ce genre d'histoire qui sort des sentiers battus en rassemblant humour, suspens, émotions tout en gardant un fond moral évident. En véritié, lire ce bouquin m'a fait un bien fou. Shorba (Je parle bien ici de l'oeuvre) est vraiment un livre unique et magique, et ce pour beaucoup de raison que j'ai visiblement du mal à vous exprimer (il faut dire que cette version, que j'espère être la définitive, est la quatrième concernant ce livre). Gaspard Flamant m'a vraiment embarqué pour le voyage qu'est son oeuvre. Oui, c'est bien de cela dont il s'agit. Un voyage. Je me suis senti extrêmement proche des personnages, très touché par leurs actions et par les moralités que ces dernières dégagent. Tout cela peut vous paraître flou, car j'essaie en effet de vous en dévoilé le moins possible. J'ai d'ailleurs choisit un résumé très précis, pour que la surprise qui fût la mienne deviennent bientôt vôtre. Excusez-moi, je m'égare, il y a tellement de choses à dire et très peu à la fois sur ce petit bijoux. Revenons à ce que je disais. L'auteur a pris des chemins très différents dans cette histoire, avec un contraste évident qu'il arrive à faire perduré tout au long de l'histoire. On retrouve ce contraste (oui je me répète) entre les paysages et les décors (on parle ici de la différence et de la diversité de "fonds" : campagne/ville, cité/quartier riche...) entre les personnages au sein de l'histoire même, avec des personnalités et caractères totalement opposés et homogènes. Il en résulte des décisions, des moments totalement inattendus, surprenants, épiques. Juste incroyable. Je me suis retrouvé happé là dedans avec une facilité, que j'en serais presque devenu violent si l'on se risquait à m'interrompre en pleine lecture. A aucun moment je ne me suis ennuyé. Absolument aucun. Un élément, une action ou encore une parole étaient toujours présents pour me motiver et me donner envie de continuer. Pour preuve, en recherchant des citations pour la rédaction de cet avis, je suis littéralement retombé dedans et ait enchaîné plusieurs chapitres sans vraiment m'en rendre compte, c'est dire la force de ce roman. En y repensant, avec le recul, plusieurs jours après l'avoir terminé (à mon grand regret), je me suis rendu compte que toutes ces aventures, toute cette révolte, car c'est bien de cela dont il s'agit, tous ces personnages, ces métaphores, tout cet incroyable roman, est comme un Carpe Diem engagé. A méditer.


Tous les personnages de cette histoire m'ont marqué, même ceux qui sont un peu moins sur le devant de la scène, comme Zak, Youri, Mario et tout ce petit monde si éloigné socialement et culturellement mais à la fois si proche dans ce désir de révolte et de liberté. Ils sont tous géniaux, et j'aurais voulu que l'auteur fasse un focus sur chacun d'entre eux, pour en savoir un peu plus sur leur passé, leur histoire et tout ce qui s'en suit. Je les porte vraiment dans mon coeur, car si ce roman est aussi génial, c'est en grande partie grâce à eux, qui apporte chacun une pierre à l'édifice qu'est cette oeuvre forte et importante. Mais évidemment mes chers amis, c'est sans surprise Shorba et Léo qui sont mes coups de coeur absolus, surtout le second, et ce pour des raisons assez différentes. Je vais vraiment avoir du mal à vous parler d'eux sans m'attarder sur leur personnalité et caractère respectif, je m'excuse donc d'avance d'un potentiel spoil, et si vous désirez lire ce roman, je vous recommande de passer au paragraphe suivant. On peut dire qu'au début du roman, Shorba est l'antipode de Léo. L'adolescent est le typique cliché du jeune qui ne fait rien de sa vie et qui passe son temps à fumer et discuter avec ses potes. Pourtant, dès le début, le lecteur sent qu'il y a quelque chose derrière cette façade quelque peu repoussante. Et ça, c'est Léo qui va le révéler. Léo est le personnage mystère du début du roman. Etant dans la tête de Shorba (Bachir de son vrai prénom), nous découvrons sa personnalité petit à petit, de part ses paroles et ses agissements. C'est de suite quelqu'un qui m'a plu que ce trentenaire (si je ne dis pas de bêtise) hippie, qui se démarque des autres par sa façon de penser et ses agissements contre la bourgeoisie. Il m'a un peu fait penser à Robin des Bois des temps modernes, mais avec quelques nuances que je vous laisserais découvrir. Son caractère décontracté et son sourire permanent ont fait que je me suis immédiatement attaché à lui, et que je l'admire un peu quelque part, comme Shorba finalement. Il est à noter que l'auteur offre quelques petites apartés sur le passé de Mr. Léo, qui nous aide à comprendre ce personnage complexe et hors du commun. J'ai souvent eu la sensation que Léo s'est rapproché du jeune homme car celui-ci lui rappelait sa propre jeunesse, et qu'il se comportait ainsi comme un grand frère (ce qui est le cas, sans aucun doute). Quant à Shorba, j'ai aimé ses rêves, ses désirs de liberté, cette innocence teinté de maturité qu'il a dans la vie, ce regard fort et singulier sur les événements qui sont les conséquences de sa rencontre avec Léo. Je me suis souvent dis que Shorba avait encore beaucoup de choses à apprendre, et que c'était ce que son "grand frère" lui transmettait, et que nous étions les victimes collatérales de cette enseignement. En effet, notre regard évolue beaucoup durant cette lecture, sur des sujets tel que l'immigration, la prison et les conditions de détention ou encore la religion. Gaspard Flamant, à travers ses personnages, nous apprend à avoir un regard plus critique sur des sujets parfois difficile à aborder dans une société comme la nôtre. C'est ce qui fait la singularité des protagonistes, et plus largement de ce roman.


Dans la continuité du paragraphe précédent, le romancier a vraiment su capter mon attention avec une plume faite d'encre et de bitume. Il arrive à rester moderne dans les dialogues de ses personnages avec les expressions que l'on emploie aujourd'hui, en transmettant des émotions, le rire, la frustrations et presque les larmes à certains moments. le tout reste très agréable à lire, avec des figures de style, de véritables citations (j'ai essayé de récolter les meilleurs) et des réflexions moralistes. le rendu est excellent, et contribue pour ma part au coup de coeur général qu'est cette oeuvre. Et dire que c'est son premier roman... Encore un talent à suivre !


Conclusion : Je crois l'avoir déjà dis, mais vous vous doutez que "Shorba, l'appel de la révolte est un énorme coup de coeur pour ma part, le premier de cette année 2018. Sans trop m'étendre, je vous recommande absolument de le découvrir, de part sa force et plus simplement son importance dans la société d'aujourd'hui ! L'histoire, les personnages, l'écriture, tout est réuni pour vous faire passer un moment exceptionnel tout en vous apportant quelque chose en plus, ce quelque chose qui définit les coups de coeur !

Lien : https://larbrealire.blogspot..
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Un plutôt bon roman, dense, qui va certainement parler aux ados. Les personnages sont attachants, tous. On suit leur aventure avec avidité, grâce à un rythme d'écriture très enlevé.
C'est clairement un livre militant, pour la défense des migrants, pour la solidarité, pour ne pas juger les jeunes de banlieue, pour la réinsertion des anciens détenus, pour plus de tolérance, d'entraide et d'humanité en somme. La recommandation d'Amnesty International sur la couverture le dit bien.
Là où ce livre ne me convainc pas moi adulte, c'est qu'il y a trop de bons sentiments. C'est violent, parfois très violent, mais cela finit toujours "trop bien". Les ex-détenus ont un coeur énorme, les jeunes sont des branleurs mais bien gentils, le caïd russe toujours armé est un vrai gentil sûrement lui aussi, les jeunes dans le quartier s'en prennent à la police mais c'est pour aider ça aussi, fumer des joints à longueur de journée, dealer semble normal. Alors je suis en général plutôt confiante en l'humanité, et je n'ai jamais vécu en banlieue, mais ça me semble trop plein de bons sentiments cette histoire, il manque quelque chose pour que ce soit plus crédible à mes yeux. En tout cas, c'est mon ressenti.
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Shorba est un adolescent de seize ans qui passe ses journées à fumer devant un centre commercial avec ses potes. L'école n'est pas faite pour eux et n'ayant aucune envie de penser à leur avenir, ils glandent... jusqu'à l'arrivée de Léo, un homme intrigant qui va leur faire découvrir des sensations inédites et une vie possible au-delà de leur quartier populaire.


J'ai énormément apprécié les personnages mis en avant dont Shorba qui se construit aussi bien qu'il se découvre au fil de l'histoire. Léo est plus ou moins un déclencheur et un modèle qui va l'aider à trouver sa place, à prendre conscience que c'est Shorba et lui seul qui peut décider de son avenir. Cette évolution et les actions qui en découlent sont formidables et enrichissantes, Shorba apprend, se pose des questions et c'était beau de voir cet adolescent sortir de sa bulle !


Enchevêtrement entre le présent et le passé incroyable et complexe de Léo dont j'ai été plus d'une fois admirative ! Je n'ai pas envie d'écrire beaucoup sur les personnages même s'il y a matière à développer ! car j'ai envie que vous soyez surpris, et peut-être qu'ils vous touchent autant qu'ils m'ont conquise avec leurs défauts et qualités...


Et si au début je n'adhérais pas à la "mission" dans laquelle Léo embarquait les trois jeunes, j'ai par la suite compris le message qu'il envoyait et la signification de leur geste ! Avis contrebalancé pour une opération illégale mais au sens profond...


Cette histoire aborde de multiples sujets actuels ou de tout temps qui m'ont faite vibrer ! Les personnages mènent un combat fort avec une volonté qui faisait plaisir à lire. Entre recherche d'identité, tolérance, culture, lecture, peur, média, rejet et entraide, le problème des migrants s'insère naturellement bien dans l'aventure de Shorba qui va leur offrir l'espoir en une vie meilleure avec le soutien de multiples et différentes personnes ! Ce mélange de cultures, de pensées, d'histoires et de vies cohabitant ensemble dans le respect et la tolérance, m'a remplie de bonheur même si de misérables individus ont essayé de gâcher cette merveilleuse initiative !


L'ambiance est spéciale, parfois hésitante, belle, joyeuse, horrible tout comme la vie... L'auteur dépeint avec justesse ce qui arrivent aux personnages et leurs émotions, j'étais captivée par son récit et la force qui s'en dégageait ! Une force qui donne envie de croire en soi, aux autres, à la vie...


Pour conclure, je vous recommande chaudement ce livre engageant qui montre la vie autrement au côté de Léo et d'un adolescent qui se cherche mais qui n'hésite pas à tout donner pour mener à bien son projet ! L'auteur nous met face à la vie, à la discrimination, à la diversité des êtres, aux migrants qui cherchent la sécurité et un endroit où ils ne seront pas rejetés...
Lien : https://un-univers-de-livres..
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Seule condition avant de lire cette oeuvre, se poser avec La mauvaise herbe de Georges Brassens (cf. bande son du roman) dans les oreilles.

La vie de Shorba, ado de 17 ans, n'est pas bien florissante. Depuis qu'il a abandonné le lycée, au grand regret de sa mère, il traîne avec ses deux potes, Youri et Zak. le trio squatte en bas d'immeuble des journées entières, rien de bien kiffant. Jusqu'au jour où un certain Léo, trentenaire, un peu hippie sur les bords, débarque. Ce gauchiste leur montre les bidonvilles, les sans-papiers, les migrants, ceux que la société rejette et n'assume pas. Pour Shorba c'est le début de la révolution.

Léo a sorti un pot de peinture de sa caisse, et il a grimpé sur une échelle pour recouvrir la dédicace des nazillons. Mais au lieu de simplement recouvrir les mots, il a choisi d'en rajouter. D'abord un, puis deux, trois, jusqu'à former une liste immense, dont chaque ajout déclenchait des cris de joie parmi nous! Ça a donné ça : « La France aux Français, Maliens, Malgaches, Pakistanais, Italiennes, Colombiens, Chinois ou Chine-toi, Algériens et Algépleins, Islandaises, Soudanaises et Surdanaises, Homo Sapiens et Homos tout court, Juifs à papillotes et punks à crête, Curés anarchistes, Putes en uniforme et Bonnes Soeurs en civil, Cancéreux en pleine santé, Nains de jardin et Géants de bureaux, Grévistes en CDI et employés modèles en alternance, Vieux gamins, Vieilles connes et Amoureux de tout, sauf de la haine ». Et il a signé : « Les Châtelains ».

Pour son premier roman, Gaspard Flamant a choisi les valeurs humaines et le respect de l'Homme comme point d'ancrage. L'auteur est issu d'une famille militante et engagée, ce qui lui permet de parfaitement maîtriser son sujet : la révolte.
Le récit se centre sur deux personnages : Léo, le mentor qui initie son disciple, Shorba. Ce binôme (aussi logique soit-il) nous sert de fondation pour découvrir un monde dont peu de gens connaissent – ou veulent connaître- l'existence.
Shorba, l'appel de la révolte c'est une plongée hors norme dans des milieux défavorisés, de ceux sur lesquels nous fermons les yeux. Shorba se heurte à cette réalité, et tente de trouver sa place. Avec l'aide de Léo, il apprend, il évolue, il grandit et parvient à imposer sa liberté de penser et d'agir.
« Dans un silence rêveur, il se dit que c'est ça, un authentique prisonnier politique : quelqu'un qui a sacrifié sa liberté pour améliorer la vie des autres. La classe. »

Un roman au sang chaud, au rythme rapide, qui frappe fort sur un sujet terriblement actuel (l'accueil des migrants en Europe). Chaque lecteur se retrouve dans cette histoire et se positionne ou pas (chacun est libre), et se donne le courage et la force d'affronter l'injustice de notre pays. J'ai été prise en otage de mes émotions lors de ma lecture, comme une envie de hurler, de ne pas subir, d'arrêter cette maltraitance, de dire non. Ça secoue et bouscule nos idées préconçues de citoyen, preuve que la perfection n'existe pas, nos mentalités doivent évoluer avec notre temps. Un texte plein d'espoir, de tendresse, d'élan généreux dont le monde a besoin.

À noter qu'Amnesty International soutient ce roman qui fait résonner « les valeurs de respect des droits humains » principale action de cette association.

http://www.mesecritsdunjour.com/archives/2020/01/16/37944797.html
Lien : http://www.mesecritsdunjour...
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Un récit original et très juste qui aborde les thèmes de la banlieue, de l'activisme, de la prison, de la solidarité, de la violence, des choix de vie. Un appel à la révolte effectivement, à l'engagement, à changer les choses chacun à notre niveau.
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critiques presse (1)
Culturebox
12 décembre 2018
Il est question dans ce roman d'apprentissage, de migrants et d'engagement, tout ça déroulé avec une touche de suspense qui devrait accrocher les ados.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Léo a sorti un pot de peinture de sa caisse, et il a grimpé sur une échelle pour recouvrir la dédicace des nazillons. Mais au lieu de simplement recouvrir les mots, il a choisi d’en rajouter. D’abord un, puis deux, trois, jusqu’à former une liste immense, dont chaque ajout déclenchait des cris
de joie parmi nous! Ça a donné ça :
« La France aux Français, Maliens, Malgaches, Pakistanais, Italiennes, Colombiens, Chinois ou Chine-toi, Algériens et Algépleins, Islandaises,
Soudanaises et Surdanaises, Homo Sapiens et Homos tout court, Juifs à papillotes et punks à crête, Curés anarchistes, Putes en uniforme et Bonnes Sœurs en civil, Cancéreux en pleine santé, Nains de jardin et Géants de bureaux, Grévistes en CDI et employés modèle en alternance, Vieux gamins, Vieilles connes et Amoureux de tout, sauf de la haine ».
Et il a signé : « Les Châtelains ».
– Faut pas laisser la haine sur les murs, qu’il a dit, ça nique le crépi !
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ça m'a surtout mis la face dans la misère des autres, et ça m'a rappelé que mes combats devaient avoir une seule cible : l'argent. J'ai commencé à me dire qu'il fallait que je montre aux riches comme aux pauvres que c'est pas leur thune qui les définit… c'est plutôt ce qui les éloigne d'eux-mêmes. Les pauvres passent leur vie à rêver d'une fortune qu'ils n'auront jamais, et les riches se pourrissent la vie à essayer de ne pas perdre ce qu'ils ont. Et pendant ce temps-là, dans les HLM comme dans les villas, ça dépérit. (p.40)
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Léo, lui, traçait devant, infatigable.
- Léo… comment tu fais ?! a balancé Zak.
- Qu'est-ce que tu veux, mon père c'était un chamois, il a répondu en souriant.
Zak a souri poliment, mais je savais bien que, comme moi, il n'avait aucune idée de ce qu'était un chamois. J'ai pensé à une sorte de moine, mi-chinois, mi-hippie. (p.37)
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C'est justement pour ça que t'es le meilleur porte-parole possible, Shorba : t'es pas comme tous les gars du jardin, qui sont nés le poing en l'air. Toi, tu apprends tous les jours, et tu n'arrêtes jamais de te remettre en question. C'est pour ça que t'es un gars aussi génial. (p.154)
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Avec la randonnée dans les Alpes, j'avais commencé à avoir envie de voir d'autres paysages, d'autres pays. Avec mon pote Jack London, je me suis dit que ça devenait une obligation.
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A l'occasion de la Rentrée littéraire Automne 2023 organisée par Occitanie Livre & Lecture, Gaspard Flamant est venu présenter son nouveau roman jeunesse "Les Magni-freaks" (Editions Sarbacane, 2023). Enregistré à la médiathèque José Cabanis de Toulouse le 21 septembre 2023.
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