En cas de bonheur

C'est un roman assez vite lu, qui parle de la vie de deux personnes un peu perdues.
Roman ennuyeux,
et qui ne nous apprend rien.
J'aurais donc mieux fait de m'abstenir et me fier aux commentaires des lecteurs de Babelio.
Préciser que j'ai beaucoup aimé l'écriture de David Foenkinos dans plusieurs autres romans (La délicatesse, Charlotte).
Ici, je suis déçue...

En cas de bonheur, un livre qui se lie très rapidement mais dont on ne retient pas grand chose...
Il aide à passer le temps mais est sans grand intérêt....

Tout comme dans « La délicatesse », il est ici question du couple, qui semble être un thème cher à l'auteur. Seulement dans ce roman, il évoque plutôt l'usure des sentiments et l'emprise du temps sur les personnages. On retrouve ici un ton à la fois très cynique, et sans indulgence pour cette vie à deux qui forcément, selon l'auteur, se dégrade.
Chaque couple en est à un stade différent de son histoire et se débat avec sa propre trajectoire.
Durant tout le livre, je me suis dit que c'était une vision très pessimiste de l'idée du couple, l'ouvrage mettant en avant la lâcheté des hommes et le sentiment des femmes d'être prisonnières de leur vie. Malgré tout, on reste sur une note un peu plus optimiste quand on referme ce roman, ce qui adoucit quelque peu la situation.
En tout cas, ça laisse pensif...

Ce livre relate l'histoire d'un couple; entre image de façade, adultère et séparation. Nous voyons comment l'un et l'autre jongle avec tout ça, entre le confort de la connaissance de l'autre et la tentation de repartir à zéro. On retrouve là le style de Foenkinos, entre rebondissements et situations cocasses.

C'est le deuxième livre de David Foenkinos que je lis. Et comme pour le premier je l'ai lu en une journée, impossible de le lâcher. Il décrit les sentiments (parfois un peu honteux) avec des mots très justes. C'est une magnifique histoire d'amour pleine d'humour et de tendresse.

Livre vraiment très beau. Facile à lire, amusant, une touche d'humour interrompant un roman d'amour d'une sensibilité énorme: vraiment magnifique.
Entre La délicatesse, Les souvenirs, Nos séparations, et celui-ci, il est sans doute mon préféré

J'étais ravie de lire ce roman, étant donné que la délicatesse est dans mon top 15 littéraire et que les souvenirs m'avaient fait pleurer. Déception ! J'ai eu l'impression de lire du «marc levy» (pour moi, c'est loin d'être positif).
Ce roman est fluide,facile à lire,on alterne des chapitres sur différent personnages, ce qui rend le texte dynamique.J'ai apprécié de retrouver le style de Foenkinos, mais je l'ai trouvé très lourd par moment. L'institution du mariage et l'entité du couple sont passés à la loupe et parfois à la moulinette.L'histoire est TRES banale: Mr et Mme tout le monde s'aiment se détestent baisent dans tout les coins puis se re aiment car ils sont co-dépendants ...the end!
A croire qu'ils s'ennuient assez pour s'inventer des problèmes mais pas assez pour envoyer valser les normes sociales et enfin être épanouis. Les personnages secondaires viennent un peu épicer les choses,mais pour moi cette histoire n'a pas grand intérêt, c'est affreusement ordinaire, pas assez cynique ou caustique à mon gout.Le roman m'aurait peut être parlé si j'avais eu 39 ans, mariée, avec enfants, à un tournant de ma vie, mais ce n'est pas le cas...
Je trouve ça dommage que l'auteur parvienne à percevoir tout le côté hypocrite et grotesque des relations sociales mais qu'il n'arrive pas pour autant à produire un texte novateur satirique ou encore inspirant.
Un roman banal qui fera (peut être) jubiler les adeptes de lectures légères mais qui laissera froid beaucoup de lecteurs.

C'est un petit roman qui se lit rapidement, sur le thème du couple et de ses crises.
Claire et Jean-Jacques sont mariés depuis 8 ans, ont une fille de 6 ans et sont installés dans une routine qui les déçoit. Ils décident d'essayer de retrouver, en se séparant, les frissons des premiers émois, les signes de la passion… pour finalement s'apercevoir qu'ils s'aiment encore et reconstruire leur couple après cette crise qui a failli les mener au divorce.
L'histoire est assez convenue et prévisible mais j'ai apprécié l'écriture imagée de Foenkinos.

« Jean-Jacques répondit que tout allait très bien, mais son intonation avait pris des allures de piano déménagé. »

« son malheur l'avait rendu aussi agressif qu'une grenouille craignant de perdre sa cuisse »

« sauf pour la mort, les femmes ont toujours de l'avance sur les hommes. »

Cet auteur m'a été chaudement recommandé par ma bibliothécaire. Ceci dit cela ne fait que me confirmer le fait que nous n'avons vraiment pas les mêmes goûts. C'est un roman sans prétention. On survit sans peine à cette lecture, on n'a aucun mal à l'oublier. C'est l'histoire d'un couple installé dans la monotonie, dans les habitudes. Et voilà qu'un hamac va provoquer des ruptures mais aussi des rencontres, des liens se brisent, d'autres se nouent, d'autres se délient...bref voilà de quoi attendre longtemps le bonheur dans la lecture, un bonheur qui pour moi n'est pas venu.

Pas de résumé sur la 4ème de couverture et il serait bien périlleux de vous en faire un. Pour vous donner l'amorce, on retrouve un couple en plein déboire.
L'auteur dissèque, non sans une belle pointe d'humour, le couple, les relations familiales, l'amitié... le tout condensé en moins de 200 pages.
Très souvent, la routine devient synonyme de sécurité pour le train-train quotidien. Mais elle enferme également dans un cage plus ou moins dorée, plus ou moins réaliste. Certains et/ou certaines s'en aperçoivent et décident de réactiver la flamme des premiers jours. D'autres vont tout simplement voir ailleurs.
C'est ce que décide Jean-Jacques menant ainsi son couple à la séparation.
Or, la vie n'est pas un long fleuve tranquille surtout sous la plume de ce drôle d'auteur qui prend un malin plaisir à balloter ses personnages comme de vulgaires marionnettes.

Ce qui est sûr avec ce livre, c'est :
- que toute vérité est bonne à dire, aussi difficile soit-elle...,
- que l'amour est une leçon de vie et un "travail" au quotidien,
- que parfois un seul regard suffit à tout dire,
- que le passé n'appartient qu'au passé et que le futur se construit au présent,
- que les "cours de russe" doivent vous mettre la puce à l'oreille,
- et que finalement, je garde un doute sur l'installation d'un hamac dans le jardin.
Lien : http://ce-livres-et-fourneau..