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Aislinn Murray, jeune femme en apparence aussi lisse qu'une Barbie, est assassinée alors qu'elle préparait un dîner romantique. Son invité n'a pas de visage, si on en croit le titre, mais il a comme tous les personnages du livre une personnalité travaillée, interessante, pleine de failles et de zones d'ombre, tout à fait crédible.

C'est là le gros point fort de cette nouvelle enquête de la brigade criminelle de Dublin : la psychologie des personnages, de la victime bien plus complexe et forte qu'il n'y parait, jusqu'aux enquêteurs dont les idées se brouillent sous l'effet de la paranoïa ou de l'imagination, en passant par l'amoureux fusionnel inquiétant, la meilleure amie froide comme un glaçon ou les collègues spécialistes en coups tordus...

Le point de vue est toujours le même, celui d'Antoinette Conway, inspecteure chargée de l'enquête, une bonne professionnelle qui commence à dérailler sous les brimades de ses collègues masculins. On est dans sa tête et on suit ses raisonnements, ses déraisons et sa façon de jouer un rôle lors des interrogatoires pour faire parler témoins et suspects.

Mais on est aussi dans la tête, ou presque, d'Aislinn les quelques mois avant sa mort, de Moran le partenaire fantaisiste mais courageux, et de tous ceux qui gravitent autour de cette enquête d'abord poussive puis totalement imprévue.
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Autant j'avais beaucoup aimé le 1° volet des enquêtes d'Antoinette Conway et Stephan Moran( à la brigade criminelle de Dublin, dans "La Cour des secrets " ) , autant j'ai eu du mal à rentrer dans ce tome 2, jusqu'aux pages 400 environ ...
Une trentenaire un peu bimbo, est retrouvée morte chez elle , alors qu'elle préparait un dîner aux chandelles, pour deux .
Premier suspecté : le futur petit ami , ce qui convient bien à l'inspecteur plus âgé chargé de chapeauter notre duo . Mais ces derniers continuent à chercher d'autres pistes .
La solution finale est intéressante , mais pour y arriver , qu'est ce que c'est lent !
J'ai beaucoup d'affection pour les auteurs policiers qui choisissent d'immerger leurs lecteurs dans un commissariat, je trouve ça passionnant (voir liste.), mais ici, la première partie du bouquin, est pratiquement consacrée aux tribulations d'Antoinette , l'inspectrice qui croit que tout le monde lui en veut . Elle est régulièrement moquée, humiliée et harcelée dans sa brigade , car elle est le seul élément féminin . Ce qu'elle subit n'est pas agréable mais son caractère ne l'est pas non plus . C'est un angle intéressant , le machisme policier . Mais j'ai trouvé que l'auteur en faisait trop . 400 pages où elle se plaint de ses collègues, n'a pas d'amis, évidemment pas d'amoureux , ni d'animal de compagnie , a des relations étranges avec sa mère , je ne sais pas si c'est la canicule, l'appel de la plage ou quoi, mais pour moi, c'était indigeste . Antoinette bougonne presque tout le temps, un vrai cactus , cette fille ... Je ne me souvenais pas d'un tel personnage dans le tome 1.
En résumé : très lent à se mettre en place ,avec pas grand chose pour patienter jusqu'à une très bonne fin .
J'ai aimé tous les autres romans de Tana French , alors me vient un refrain du grand Jacques : "Au suivant " !
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Tana French est un écrivain d'origine irlandaise dont j'apprécie vraiment le style.
En effet, je lui suis fidèle depuis la lecture des « Lieux infidèles «, et depuis, mon intérêt pour cette auteure ne faiblit pas.
Antoinette Conway est inspecteur à la Criminelle de Dublin. J'avais déjà eu l'occasion de croiser c personnage, lors de la lecture de « La cour des secrets ». A l'époque, le personnage Steve Moran la croisait pour la première fois. Cette fois-ci, même s'ils font désormais équipe ensemble, c'est la jeune femme qui est le personnage principal de cette histoire.
Conway est ce que l'on pourrait appeler une travailleuse acharnée, et cela malgré les aléas de son lieu de travail. En effet, ses collègues masculins (Moran excepté), ne la ménagent pas et le bizutage et la mauvaise foi sont de règle pour entraver ses enquêtes.
Le duo va être amené à enquêter sur le meurtre d'une jeune femme, apparemment bien sus tout rapport : Aislinn Murray. Très vite, un suspect se détache et semble tout trouvé : le jeune homme que Aislinn fréquentait.
Une fois de plus, Tana French avance tranquillement ses pions, et surtout on suit bien le rythme d l'enquête, le cheminement des réflexions des policiers. Ici, pas de cliffhanger à la fin de chaque chapitre, car nous nous trouvons clairement dans un thriller psychologique bien ficelé.
Une très bonne lecture pour ma part

Challenge Pavés 2023
Challenge Mauvais Genres 2023
Challenge ABC 2022/2023
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Ce n'est pas parce que je n'ai pas le même niveau d'exigence pour les polars que pour d'autres bouquins que je n'en ai aucune. Et déjà, j'aime quand on ne cherche pas à m'embobiner : "un tour de force", "magnifiquement réalisé", "n°2 des ventes aux Etats Unis dès sa parution" (mouais, pendant deux heures alors...), dithyrambiques, qu'ils sont sur la 4e de couv. Et, à mon sens, y a vraiment pas de quoi. Au début, ça commence très doucement : des ambiances beaucoup, du temps passé à montrer combien cette pauvre Antoinette, l'enquêtrice, est martyrisée par la bande de salopards qui lui sert de collègues à la Crim' et, oui, un meurtre, celui d'une bimbo, chez elle, le crane fracassé à côté des préparatifs pour un diner romantique.
Comme je n'avais pas trop fait attention à ce que promettait le livre, je n'avais pas d'attentes quant au style de roman policier que j'aurais dans les mains : thriller psychologique, poursuite d'un serial killer, enquête à la papa, drame sur fond d'analyse sociologique, tout était possible. Et rien n'est advenu.
Les débuts poussifs se prolongent, au bout de quelques centaines de pages, on comprend que les rebondissements seront aussi rares que les bonnes nouvelles sur le front climatique. On se concentre donc sur le peu qu'on a : cet unique meurtre et les sorties de route paranoïaques de notre inspectrice narratrice. C'est long. C'est assez peu crédible et à part nous balader, ça ne construit rien : ni intrigue, ni personnage cohérent.
A la fin (que je ne raconte pas), on est content d'en avoir terminé. Et on peut confirmer que le livre n'a aucun intérêt puisque la résolution du meurtre laisse apparaitre des profils psychologiques complètement improbables et que, si cette gourde d'enquêtrice avait commencé par discuter à nouveau avec son premier témoin, on se serait épargné 350 pages.
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Un polar bien construit, mais trop lent pour moi. ( mon opinion personnelle)
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Antoinette Conway rêvait de travaillait à la Crim' mais c'est un cauchemar: le simple bizutage s'est transformé en harcèlement et la 'toinette a beau avoir un fort caractère, elle n'en peut plus.

Aislinn Murray pensait passer une délicieuse soirée en amoureux mais elle est retrouvée morte au petit matin.

Qu'est-ce qui relie ces deux femmes?
Antoinette et son coéquipier, Stephen Moran, sont en charge de cette enquête et la tâche se révèle simple et limpide. Mais c'est sans compter l'imagination débordante de Moran, les chausse-trappes posées sur le chemin des inspecteurs et la paranoïa de plus en plus pesante de Conway.

On retrouve le duo de flics Moran/Conway qui avait déjà sévi dans La cour des secrets.
Conway est à vif, sans cesse sur le qui-vive, alors que Moran tempère sans cesse ses ardeurs mais pas son imagination débordante.

L'invité sans visage est un pur polar. Nous sommes totalement immergés dans la vie quotidienne des flics au cours d'une enquête et dans leur "intimité" professionnelle.
Les romans de Tana French ressemblent d'ailleurs aux séries style 24h chrono ou 24: Legacy, quand l'action est vécue en temps réel.
Ils y ressemblent, mais le rythme en moins.

C'est le principal reproche que je relève systématiquement dans mes lectures-polar, un manque de rythme qui ne me convient pas mais qui ne m'empêche tout de même pas de savourer la qualité de la plume de certains auteurs comme Tana French.

Des romans de 500 pages qui peuvent parfois sembler longs et lents donc, si le talent de l'auteur ne résidait pas dans la psychologie fouillée et incisive de chacun de ses personnages.
C'est le point fort de cet auteur: la psychologie. Que ce soit celle de nos enquêteurs ou du point de vue de la victimologie, rien ne nous est épargné: le lecteur est au plus près des êtres humains.
Comme nous sommes également au plus près de la vie quotidienne de ces flics dont la cohabitation peut s'avérer être très éloignée de l'esprit de corps qui leur attribue en règle générale. Et non, la loyauté ne va pas de soi et Conway en paye le prix chaque jour.

L'enquête est dense. Nous avons droit à tout ce qui traverse l'esprit tordu des flics: toutes les hypothèses, toutes les pistes possibles et parfois inimaginables.
Oui, les flics sont tordus!
Avec eux, la plus innocente des personnes lambdas peut ressortir d'un interrogatoire totalement remuée et aux portes d'une inculpation!
D'ailleurs les méthodes d'interrogatoire apparaissent davantage comme des séances de torture et de manipulation psychologique que comme une quête de la vérité!

Et le mal-être de Conway amplifie ce phénomène de manipulation quand celle-ci pense sans cesse que chacun de ses collègues est là pour la descendre en flèche et lui mettre des bâtons dans les roues. Elle s'isole, se sent seule, toujours à l'affût du traquenard qui pourrait la faire chuter. Elle est borderline et même Moran va essuyer les plâtres de cette tension insupportable.

Et comme si l'ambiance toxique de son travail ne suffisait pas, Conway se retrouve confrontée à son passé et à ce qu'elle nie encore aujourd'hui farouchement. Tout comme la victime, Aislinn, qui, elle, a décidé d'affronter son manque, sa blessure d'enfance mais dont l'issue sera malheureusement fatale.

C'est donc une lecture sous haute tension qui vous attend avec L'invité sans visage. Les amateurs de polar seront ravis d'assembler patiemment les morceaux de ce puzzle criminel!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Pouvoir lire ce roman était pour moi à la fois l'occasion de retrouver une auteure de polars beaucoup appréciée dans Ecorces de sang et Comme deux gouttes d'eau, et de renouer avec la littérature irlandaise, qui ne manque jamais de me séduire.
Tana French a choisi de ne pas vraiment avoir de héros récurrents mais certains policiers, qui apparaissent de manière secondaire dans un roman, se retrouvent en pleine lumière dans un autre. Ici, elle se focalise sur Antoinette Conway, qui vient d'intégrer la brigade criminelle de Dublin. Dans ce poste prestigieux où elle devrait se plaire, elle est l'objet de harcèlement de la part de ses collègues. Elle et Steve, avec qui elle s'entend plutôt bien, se voient attribuer une affaire intéressante : une jeune femme morte chez elle, à côté d'un dîner aux chandelles tout prêt. Un suspect tout trouvé, en la personne de l'amoureux d'Aislinn, ne convient pas à Antoinette, qui soupçonne la jeune femme d'avoir eu des fréquentations moins avouables… Ses collègues essaieraient-ils de l'aiguiller sur une fausse piste ?

L'idée de départ est intéressante, les personnages ont de l'épaisseur, mais malheureusement, les dialogues sont souvent un peu longuets. Pour rendre réaliste les détours d'une enquête et les moments inutiles de celle-ci, on peut dire que c'est bien rendu ! J'ai toutefois aimé la psychologie travaillée des personnages, le parallèle qu'on ne peut pas manquer de faire entre la vie de la jeune policière et celle de la victime, et aussi l'ambiance lourde du commissariat.
Le roman ne conviendra pourtant pas à celles et ceux qui recherchent de l'action. Il n'est pas non plus de ceux qui permettent de découvrir un univers, un milieu différent, l'action s'y passe souvent dans les salles d'interrogatoire du commissariat, le faisant ressembler un peu à un roman de prétoire… Par-dessus tout, le personnage d'Antoinette n'est pas des plus sympathiques, et sa perpétuelle méfiance à l'égard de tous devient vite lassante. le dénouement très finement mené rattrape le sentiment d'ennui que j'ai pu ressentir à certains moments de ma lecture, mais je crois que ce polar ne me laissera pas beaucoup de souvenirs.
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Tana French nous live ici un roman policier d'une rare intensité et densité. Eh oui, c'est un gros pavé! Et pour autant, pas une seconde je ne me suis ennuyée. J'ai aimé participer à l'enquête du début à la fin , suivre les hypothèses d'Antoinette et de Steve. J'ai douté aussi des personnages principaux. Entre une possible paranoïa d'Antoinette et de possibles faux-semblants chez Steve, je me suis parfois perdue pour mon plus grand plaisir. Même si l'intrigue policière est au final sans grande surprise, mon intérêt a réellement porté sur les rouages de cette grande mécanique qu'est la Crim, le corpus des policiers avec son lot de loyautés et de coup bas m'ont aussi interpellée.
Pour ma part, je n'utiliserais pas le mot "thriller" pour cet ouvrage mais plutôt celui de roman policier qui s'inscrit dans une veine solide du genre, un peu trop délaissée ces dernières années au profit du frisson et de la tension psychologique. Qu'on ne s'y méprenne pas, j'aime aussi. Mais j'aime de temps en temps sortir des sentiers que je parcours régulièrement et Tana French a réussi à me faire prendre un itinéraire bis.
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Voici un polar solide et bien construit, au rythme un peu lent – parce qu'une enquête n'est pas forcément rythmé comme une épisode de série télévisée, qu'on se le dise. Une enquête n'est pas une ligne droite, plutôt une succession de faits tortueux, auxquels se superposent la personnalité des enquêteurs.
Pour Antoinette, entrer à la criminelle était un rêve qu'elle a accompli, et elle est à deux doigts de s'en mordre les doigts. Harcelée continuellement, elle en vient à suspecter chacun de ses collègues, quoi qu'ils disent, quoi qu'ils fassent, et certains semblent en faire les frais, dont le fidèle Stephen Moran, à l'imagination débordante.
En effet, les policiers ont l'imagination débordante. Certes, ils ont des preuves, des faits, mais ils ne peuvent s'empêcher de les tordre dans tous les sens, d'échafauder des théories et de se demander si elles collent avec la réalité – ou pas.
L'affaire sur laquelle Antoine et Stephen enquête paraît en effet simple, elle est presque leur spécialité : les affaires conjugales qui tournent mal. Aislinn attendait son amoureux, elle est morte, le crâne fracassé. Par qui ? Son amoureux ? Un rôdeur ? Il est tellement facile de paraître coupable quand, finalement, on se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, quand on a des petits secrets, des choses qui auraient été anodines en temps normal et qui deviennent étranges quand le cours des événements devient tragique.
Puis, quand les enquêteurs creusent un peu, ils découvrent que le passé d'Aislinn est tout sauf lisse, elle dont le père a disparu plusieurs années plus tôt, elle qui a voulu savoir enfin ce qu'il était advenu de son père. Son désir de vérité est-il pour quelque chose dans sa tragique disparition ? Cela lui fait un point commun avec Antoinette qui elle aussi a des zones d'ombre dans sa jeunesse, reste à savoir si elle est prête à s'y confronter ou non, et si tout savoir est véritablement utile pour se construire.
J'avais parlé du rythme un peu lent, parce que nous sommes littéralement plongés au coeur de la brigade et de la vie quotidienne des enquêteurs, nous découvrons les petites mains des enquêtes, ceux qui sont chargés de toutes les basses besognes, de toutes les tâches ingrates comme lire les listings d'appels téléphoniques. Nous découvrons les rivalités, les croche-pieds, bref, une absence de solidarité qui m'étonne à peine. Mais il faut encore se demander si la situation est si catastrophique que cela ou si Antoinette ne voit pas les faits déformés par le harcèlement qu'elle subit. Tous lui en veulent-ils vraiment, Stephen y compris ? A vous de le lire.
Etre policier, enquêter n'est pas facile, en Irlande comme ailleurs. Vouloir lever des secrets de famille non plus. Chaque acte a ses conséquences, et certains ont trop tendance à l'oublier, à leur dépend.
A lire si vous aimez les romans policiers qui prennent leur temps.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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La narratrice est Antoinette Conway, 32 ans et célibataire. Elle est inspecteur à la brigade criminelle avec son coéquipier l'inspecteur Steve Moran. On leur demande de se rendre sur les lieux où une femme a été agressée mortellement. La victime est Aislinn Murray et mène une vie presque "ennuyeuse". Il n'y a pas de traces d'effraction, pas de vols, la table est mise pour deux personnes. S'agit-il de violence conjugale? L'enquête commence. le petit ami de la victime Rory Fallon est le coupable idéal.Tous à la brigade veulent le condamner et clore cette affaire au plus vite. Mais, pour Antoinette ce n'est pas aussi évident et un doute s'installe dans son esprit. Elle a l'impression d'avoir déjà rencontré la victime. C'est une femme avec du tempérament et tout le monde veut lui mettre des bâtons dans les roues: Crowley le journaliste, ses collègues (qui considèrent elle et son coéquipier comme des bleus)... Mais n'est-elle pas trop paranoïaque? Il est difficile pour elle d'évoluer et trouver sa place dans ce milieu très machiste. Qui est le tueur de cette jeune femme? Est-ce l'amoureux transi ou une autre personne? En enquêtant, ils vont se rendre compte que le père de la victime a disparu il y a des années sans laisser de traces. Y a-t-il un lien? Est-ce une coïncidence?

Quand on croit avoir affaire ou s'approcher du tueur, un événement vient bouleverser la situation. Jusqu'au dénouement, je n'ai fait que douter face à l'identité de l'assassin. Il y a, dans ce livre, beaucoup de détails. C'est un livre fourni, dense dans les descriptions, dans les dialogues... Lors des interrogatoires par exemple, nous avons vraiment la totalité du dialogue et la description des faits et gestes de chaque personnage qui permet au lecteur d'être le témoin de chaque situation. Certains y verront des longueurs, d'autres aimeront que les événements soient précis et racontés avec beaucoup de détails. J'ai beaucoup aimé le personnage d'Antoinette, une femme flic au tempérament bien trempé. Les amateurs de thrillers devraient apprécier ce livre.
Lien : http://auchapitre.canalblog...
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