Un tome au summum, en apothéose.
Kazuhiro Fujita ne se repose pas sur ses lauriers et nous manipulent tels des marrionnettes. Quel talent !
Pas de repos pour les braves, et en plus nous sommes du côté de notre Shirogane et de Masaru.
De plus, nous plongeons dans un évènement happent du passé. C'est une histoire qui englobe tant que nous est conté.
Et puis le nom Shirogane à la base d'où vient-il ?
Le tout début voit notre Shirogane (on l'a connu ainsi) et Masaru parler à coeurs ouverts de leurs passés pour tenter de reconstituer le puzzle.
Tous les deux ont quelques zones d'ombre. Guy, que ce soit à la fin du tome 13 ou ici reste mystérieux, il en sait plus que ce qu'il dit.
Mais qui est prêt pour la vérité ?
Shirogane et Masaru ont aujourd'hui une famille, c'est précieux, avec le cirque Nakamachi. Ils se souviennent avoir été encore plus jeune.
Les arts du cirque, du spectacle, Fujita se régale avec jusque dans la représentation faite dans le manga. C'est vraiment une scène gigantesque.
Les automates font également penser au mythe du vampire, avec la question du sang pris aux humains, mais d'une façon différente.
Masaru va chercher à déterrer son passé, et là nouveau bouleversement, nouvelles révélations fracassantes.
Mais ce qui est introduit peut aussi expliquer d'autres choses et rendre possible l'impossible [spoiler]transfert de mémoire[/spoiler].
On pose également des questions morales, et en même temps en exploitant des histoires vieilles comme le monde.
Sans vous donner le lien exact, sachez que vous allez être plongés dans un temps des samuraïs, où les règles pouvaient être dures, des étrangers mal vus, et où un jeune homme considére comme inutile par certains des siens a soif de connaissances et s'en abreuve auprès d'une rencontre fortuite. Là aussi, c'est fort en émotions.
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