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Moi, quand je me réincarne en Slime tome 1 sur 20
EAN : 9782368524763
240 pages
Kurokawa (09/11/2017)
4.03/5   119 notes
Résumé :
Comment un slime devient le seigneur du royaume !
Satoru, employé de bureau lambda, se fait assassiner par un criminel en pleine rue. Son histoire aurait dû s'arrêter là, mais il se retrouve soudain réincarné dans un autre monde sous la forme d'un Slime, le monstre le plus faible du bestiaire fantastique. Le voilà équipé de deux compétences uniques : " Prédateur ", lui permettant de récupérer les aptitudes de ses adversaires, et " Grand Sage ", grâce à laquel... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Un manga assez étrange, qui sort de l'ordinaire. Un début avec très peu de personnages.

Un jeune homme meurt suite a un coup de couteau. Ce dernier se réincarne en slime, niveau le plus bas des démons.

J'ai trouvé ce manga au premier abord assez étrange. J'ai encore du mal a me faire une opinion réelle avec ce premier tome. J'ai beaucoup aimé certains passages , d'autres moins. Mais surtout j'attends de voir ou va mener la suite. En général, le tome d'une BD peut nous laisser sur notre faim car le premier opus met les choses en place. Par contre, un manga, en général on sait ou on va, si ça plait ou non... et bien là pas du tout... mais comme le côté étrange m'interpelle j'ai déjà commandé le tome 2 .. ma curiosité me pousse à savoir.
Je veux savoir si le côté original du manga se poursuit, et ce que va devenir ce slime.

Les graphismes ont un réel déséquilibres. Certaines pages sont très travaillées d'autres beaucoup moins.

Maintenant, il ne me reste qu'a découvrir le tome 2 pour me faire une réelle opinion.

Je tenais a remercier Babelio et les éditions Kurokawa pour cette découverte
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Je commencerai par remercier Babelio ainsi que les éditions Kurokawa de m'avoir confié ce livre dans le cadre de l'opération masse critique

Satoru Mikami, célibataire de quarante ans, puceau, (Je ne sais si ça aura de l'importance mais c'est lui qui l'affirme) en voulant protéger un ami, a reçu un coup de couteau d'un voyou. Il meurt et se réincarne en slime. (Tient, c'est pas le titre de la série ?). le slime est considéré comme étant un monstre, le moins puissant de toutes les espèces monstrueuses. Il se retrouve danse un monde parallèle, aveugle et muet. Il n'est qu'une petite masse gélatineuse et en se réincarnant, il a reçu deux compétences. Celle de prédateur et celle de grand sage. Ce qu'ignore encore notre héros, c'est qu'il peut acquérir de nouvelles compétences au fil de ses actions, de ses rencontres ou en fonction de qui il ou de ce qu'il mange. Notre ami est donc un personnage qui ne peut qu'évoluer. Il se souvient de sa vie antérieure, quand il était humain et reste un gentil. C'est alors, que même par maladresse, il fait le bien autour de lui et devient populaire et aimé. Ses amis finissent par le nommer Limule (nom d'un mollusque préhistorique, fossile vivant, notamment au Japon) et même maître Limule…

Nous voilà donc dans une gentille histoire d'heroic-fantasy. Trop gentille peut-être. Je ne le cache pas, je trouve le fond un peu naïf mais tout de même attachant. Ce qui est un peu agaçant, c'est que tout semble vouloir réussir à notre héros qui pourtant, au départ, n'est pas vraiment armé pour ça. Il se retrouve entouré d'un tas d'êtres fantastiques, que ce soit des dragons, des Gobelins, des loups du vent, des magiciens,… et au fur et à mesure, semble savoir absorber tous les pouvoirs qu'il rencontre en absorbant aussi des compétences dont la puissance le dépasse un peu. Les dessins sont de bonne facture. Je ne peux pas dire que les paysages soient extraordinaires, il semble que le mangaka privilégie les personnages au détriment de l'environnement dans lequel ils vivent. Je peux aussi reprocher que les scènes d'actions manquent de dynamisme, surtout si je compare ce manga à d'autres comme Claymore ou les dessins que j'adore de Boichi. Bref, ça reste comme je l'ai déjà dit plus haut gentil, à la frontière d'être mièvre. Mais je pense charger le deuxième tome, en version numérique en évitant Kindle car 12-21 (qui édite la version numérique) et Kindle ne donne jamais de bonnes numérisations. La présentation de l'exemplaire en ma possession est en format de poche. Comme toujours, le manga se lit en sens inversé. Je n'ai pas l'habitude de les lire en version papier et ici, je dois dire que le papier est assez sombre, comme du papier recyclé et aussi que le petit format empêche parfois de profiter des dessins ou que certains textes sont écrits si petit qu'il est impossible de les lire sans loupe et sous grande lumière. L'histoire serait influencée par les jeux vidéos mais comme je maîtrise très peu ce sujet, je n'ai pas vraiment de référence. Je peux juste affirmer que le fond veut peut-être nous dire qu'il ne faut pas être tout puissant pour faire le bien autour de soi ? Rendez-vous pour le second épisode.
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Un petit régal ce Slime, je m'en suis payé une bonne tranche et honnêtement j'hésitais presque à mettre un petit 4 étoiles et demi, un petit plus pour la lecture mais non , on va se limiter la bonne note de 4 sur 5.
D'abord parce que Moi quand je me transforme en slime fait partie du registre connu de l'Isekai. Ce n'est pas un genre pour lequel j'ai une grande adoration car je me pose toujours la question , pourquoi est ce que les auteurs ne choisissent pas de faire une entrée en matière directe dans le monde de fantasy plutôt que de passer par un préambule inutile dans le monde réel.
J'avais déjà fait cette remarque pour un autre titre : The Dungeon of Black Company qui ne m'avais pas forcément touché.
Du coup, Moi quand je me transforme en slime suit le même schéma avec une entrée en matière frappante puisque le personnage principal meurt tout simplement. A noter que nous ne voyons jamais son visage intégralement et que c'est sous vraiment sous la forme de cette petite boule bleue gluant que nous allons suivre ses aventures sous le nom de Slime Tempest.
Le second point qui m'empêche de jolifier ma note, c'est un dessin un peu pauvre, voir vide dans les premières pages du titre. Bon, il y a une excuse, nous sommes dans la naissance du slime, une genèse vide dans lequel l'ancien humain se réincarne d'abord dans un monde privé de sens. Au fond, ou plutôt en général, c'est l'entrée en matière un peu abrupte qui m'a un peu dérangé, notamment la manière dont le personnage s'approprie les pouvoirs du dragon en 2 temps, 3 bloups qui m'a un refroidie.
On passe certaines explications pour mieux tronçonner le scénario et ainsi parvenir plus rapidement au coeur de l'action. C'est un procédé que je trouve parfois un peu facile et c'est le cas pour ce Slime qui se révèle assez puissant au final après quelques pages. Certes, c'est un gros consommateur de ressources mais tout de même...
Bon, passé ce scepticisme, force est de reconnaitre que ce manga se lit avec plaisir et sans prise de tête. La figure du slime puissant, charitable, et un peu démagogue sur les bords prête juste à sourire ! C'est vraiment un point de vue réussie et, au final, on prend plaisir à suivre ses aventures dans lequel il collectionne les compétences et apparances.
D'ailleurs, je conseille ce titre aux amatrices et amateurs de jeu vidéo. Dnas la lignée de The rising of the shield hero, ce manga est un petit hommage explicité aux jeux vidéos. Forcément, le slime fait penser à Dragon Quest. de plus, le système de compétences, le bestiaire , fait aussi penser à une bonne galerie monstrueuses issue d'un bon J-RPG des familels ( dragon quest!!! ) . Bref, c'est un régal.

De plus, je critique l'isekai mais je pense qu'il y a aussi un petit côté réconfortant dans ce manga , à travers le thème d'un homme qui s'accomplit pleinement dans une aventure de fantasy a contrario de la réalité (même si ce n'est pas une pure victime du réel , enfin, malgré sa mort). Personnellement, étant donné que l'ancien humain était un employé travailleur de bureau , j'ai trouvé que ce slime avait des qualités de management très intéressants ! Un parallèle qui renforce le capital sympathie de ce manga dans lequel ce bon vieux slime va voir son équipe grandir. Il va aider une communauté de gobelins à s'affirmer , à étoffer leur village, etc... Ce point de vue décalé et bien pensant est juste génial.
D'un point de vue graphique, Taiki Kawakami et Mitz Vah délivre un travail qui n'est pas vraiment transcendant. C'est un univers de fantasy vu et revu . On peut noter qu'ils ont réussi à donner une certaine expressivité au Slime ce qui est quand même une gageure en soi. de plus, le design détaillé de certains personnages et monstres est quand même plutôt réussi. Il faut bien le dire . Nous en avons quelques exemples avec le maître-forgeron ou le terrible Loup-Tempest. Rien de très nouveau mais le design des monstres est parfois efficace.
Enfin, il faut tout de même préciser que Moi quand je me réincarne en slime est d'abord une adaptation. C'est un webroman à la base qui a ensuite été réédité sous forme de Light Novel. Je ne peux pas trop juger de la qualité de l'adaptation mais l'écrivain Fuse apporte aussi sa touche au manga avec un petit extrait roman bonus assez sympa centré sur le point de vue du dragon. C'est un texte assez simple que je conseillerais aux jeunes esprits qui n'aiment pas forcément lire de romans. Avoir un petit roman bonus en fin de manga, c'est sympa.

Moi, quand je me réincarne en slime, un manga délicieux qui se savoure d'une traite au mépris peut-être d'une progression un peu tronçonnée et d'un monde isekai déjà bien connue. Toujours est t-il que ce titre issu de l'écurie Kurokawa est un très agréable shonen doté d'un appréciable second degrés bien décalé. Vive le slime !!!


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"Moi, quand je me réincarne en Slime" se révèle être une expérience de lecture des plus agréables, méritant sans doute une belle note de 4 sur 5. Ce manga, plongeant dans l'univers de l'Isekai, parvient à se distinguer malgré l'utilisation de ce genre déjà bien établi.

La transformation du personnage principal en une petite boule bleue gluant, Slime Tempest, dès le début, apporte une touche originale et captivante. Bien que le dessin puisse sembler un peu simpliste au départ, il s'avère être un choix judicieux pour représenter la naissance du slime, offrant ainsi une toile vierge sur laquelle le personnage va évoluer. L'approche brute et quelque peu abrupte de l'entrée en matière dans le récit, notamment dans la façon dont le personnage acquiert ses pouvoirs, peut surprendre, mais elle contribue à un démarrage rapide et efficace de l'action.

Ce manga, tout en étant facile et plaisant à lire, présente un slime puissant, charitable, et légèrement démagogue, un protagoniste qui ne manque pas de faire sourire. Il est particulièrement recommandé aux amateurs de jeux vidéo, faisant écho à des classiques tels que Dragon Quest, avec son système de compétences et son bestiaire rappelant les JRPG.

Graphiquement, si Taiki Kawakami et Mitz Vah n'offrent pas un univers de fantasy révolutionnaire, ils réussissent tout de même à insuffler une expressivité notable au slime et à créer des designs de personnages et monstres intéressants

, comme le maître-forgeron ou le redoutable Loup-Tempest. Bien que certains aspects soient familiers, l'efficacité de la conception des monstres mérite d'être soulignée.

Le manga explore également le thème du self-accomplishment à travers les aventures fantastiques du slime, en contraste avec sa vie antérieure d'employé de bureau. Cette réincarnation offre au slime des qualités de leadership intrigantes, une touche originale qui renforce l'attrait du récit. le développement de son équipe et son aide apportée à une communauté de gobelins sont des éléments qui enrichissent l'histoire d'une manière rafraîchissante.

Il est important de noter que "Moi, quand je me réincarne en Slime" est initialement une adaptation d'un webroman, transformé en light novel. le manga bénéficie d'un bonus sous forme d'un petit extrait romanesque centré sur le dragon, ajoutant une dimension supplémentaire à l'expérience de lecture.

En conclusion, ce manga est un shonen très agréable, doté d'un humour et d'un second degré appréciables. Malgré une progression parfois rapide et un cadre isekai déjà bien exploré, "Moi, quand je me réincarne en Slime" est un titre divertissant et charmant, qui mérite une place de choix dans la bibliothèque des amateurs du genre

. Vivement recommandé, ce manga édité par Kurokawa est une délectable aventure qui, malgré quelques petits défauts, saura ravir les lecteurs en quête de fantaisie et d'originalité. Vive le slime !
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Un manga surprenant par le titre et le sujet abordé. Il s'adresse plutôt aux joueurs de RPG ou MMORPG car on y rencontre des créatures tels que les gobelins, les dragons, les elfes, les nains, et les slimes donc nous voila plonger dans un monde fantastique. Un manga sympa dans la ligne du hobbit et du seigneur des anneaux pour le coté en étant petit on peut quand même faire de grandes choses.

Notre héros dont on ne connait pas le visage meurt et se réincarne en slime. le slime est une créature de jeux vidéos, qui ressemble a de la gelée. Et cette créature qui peut sembler ridicule avec ses capacités va se révéler être une créature redoutable. Il va essayer de vivre en s'acclimatant à sa condition de slime. Et il va réussir a faire de grandes choses. Un manga surprenant au début les premières pages ne m'emballait pas trop, je me suis demandé quel intérêt pouvait avoir cette histoire et en continuant j'ai été absorbé et j'ai trouvé cela intéressant. Et j'ai envie de lire la suite des aventures du slime.
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critiques presse (2)
BulledEncre
05 mars 2019
Original malgré le grand nombre de mangas portant sur le même sujet.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
ActuaBD
22 novembre 2017
Une sympathique entrée en matière, relativement convaincante, pour un titre classique, jouant la carte de la projection dans un autre monde et du jeu de rôle, optant pour une morale simple, celle de la coexistence entre les peuples, mais avec une slime pour messie !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
- On doit rester là ?
- Ben, des types en pagne avec des loups géants, ça ferait mauvais genre.
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Mais du coup, je n’ai jamais eu de meuf ! Désolé, ma troisième jambe. Dans ma prochaine vie, tu pourras te gaver. (Quoique, c’est mal ?)
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Je n'ai qu'à être un superviseur. "Le roi règne, mais ne gouverne pas", comme le dit si bien la citation.
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