Les riches Armoricains avaient, depuis la fin de l'époque de La Tène, pris l'habitude de consommer du vin, mais, alors qu'au premier siècle av. ils ne recevaient que des vins italiens, le marché s'ouvrit largement au début de notre ère, offrant aux Armoricains la possibilité de goûter aux crus du Sud de la Gaule et du Nord-Est de l'Espagne.