Une aventure de Lucifer Box, tome 1 : Le club Vesuvius

Ce premier tome des aventures de Lucifer Box m'a plu, mais il faut bien admettre que ce roman ne va pas entraîner un bouleversement du genre. L'histoire est agréable, mais sans plus.
Lucifer m'a fait sourire par endroits, c'est lui qui raconte l'histoire sans manquer de sarcasme et d'autodérision. Il n'est vraiment pas un héros comme les autres. Artiste peintre à la ville, espion de Sa Majesté le reste du temps, coureur de jupons (et de pantalons), il accumule les défauts autant que les qualités. Dire que je me suis attachée à lui serait exagéré, mais je reconnais qu'il a un je-ne-sais-quoi qui empêche de le détester totalement.
Les amateurs de Sherlock retrouveront l'ambiance de cette série. Dès le premier chapitre, on retrouve l'ambiance de la série, même si cela fonctionne dans l'autre sens, étant donné que l'édition originale de ce roman date de plus de dix ans.

Pour conclure : un roman mêlant aventure et espionnage, mais pas révolutionnaire. J'ai quand même aimé, même si je ne mettrais pas Lucifer Box au rang de mes détectives préférés. Peut-être ses autres aventures me passionneront plus.

J'ai été attirée d'abord par le Steampunk. Ce n'est pas comme s'il y en avait beaucoup sur les étales. Ensuite j'ai gardé le livre jusqu'à la caisse quand j'ai vu le nom de l'auteur. En fan de Sherlock et de Docteur Who, impensable que je passe à côté.
Si ces séries doivent leur existence aujourd'hui à Steven Moffat, Mark Gatiss en a écrit de nombreux scénarios, et parmi les épisodes les plus importants. Les présentations étant faites, passons donc au livre.

Le héros, un agent des services secrets, est aussi antipathique qu'attachant, le flegme anglais l'élégance et le paraître étant ici des caractéristiques de son ADN. le lecteur est embarqué dans une enquête aux rebondissements aussi innatendus qu'intéressants, et chaque page est une surprise. Les réflexions toutes faites du personnages et ses platitudes philosophiques apportent la touche comique au côté parfois dramatique du récit. Et les pires débauches (oui il y en a) sont présentées avec tant d'élégance et de raffinement qu'elles en deviennent presques "normales" et "nécessaires" à toute vie sociale qui se respecte un tant soit peu.

Je ne m'attendais pas à cet humour ni même à ce rythme, vraiment un scénario de série n'a rien à voir avec un roman. Ça parrait évident pour la forme, mais je m'attendais quand même à retrouver des ficelles scénaristiques connues. Et bien j'ai découvert une nouvelle facette de cet auteur, que j'ai autant apprécié que son travail télévisuel. Impossible de dire où j'ai pu retrouver sa patte, si seulement je l'ai jamais trouvée, mais ce qui est sur c'est que j'ai aimé; la narration, le rythme, le style, l'humour, l'histoire, les personnages tour à tour amis ou ennemis ou.. on ne sait pas toujours. Des questions restent sans réponses, et j'ai hâte de retrouver Lucifer Box dans de nouvelles aventures.

Un bon divertissement. Comment ne pas résister au charme de Lucifer Box. ça n'a pas la prétention d'un un grand roman d'espionnage mais c'est drôle on passe un bon moment. Je vais prendre plaisir à suivre la suite.

Déjà, l'objet livre est magnifique! C'est à la base pour ça que je l'ai acheté!
Ensuite, après avoir lu le résumé, je me suis dit que ça devait être pas mal!
Et je n'ai pas été déçu!
On suit Lucifer Box, un artiste le jour mais qui travaille pour les services secrets de la Reine et remplis différentes mission.
La première dans laquelle on le découvre, un assassinat.
Lucifer est un personnage que l'on a envie de découvrir et à travers ce premier roman, on en apprends déjà pas mal.
L'intrigue se déroule entre Londres et Naples; mais ça on peut le deviner vu le titre. En effet, le Vésuve est lui aussi un personnage important!
L'enquête est bien mené et je ne m'attendais pas vraiment à une fin de la sorte!
J'ai vraiment bien apprécier ma lecture!

Lucifer Box est un peu le James Bond du début du XXÈME siècle, en moins coincé, moins sombre ... plus gai... gay? Un livre pétillant et humoristique parfois un peu lourd dans la dérision mais malgré tout plaisant. Une histoire un peu typée de l'espion qui se sort de tous les pièges machiavéliques en poursuivant le grand méchant cinglé qui veut détruire le monde pour se venger d'offenses plus ou moins imaginaires... le personnage de Lucifer est assez sympathique et mériterait d'être approfondi, l'intrigue est bien amenée à défaut d'être originale. le réel point faible est, je pense, le manque de consistance des personnages secondaires.

Pourquoi ai-je emprunté ce bouquin à la bibliothèque ? L'auteur est Mark Gatiss, le frère de Sherlock dans la série la plus récente. Donc, il fallait que je voie ça de plus près !
Au départ, je trouvais qu'il y avait beaucoup d'humour, d'esprit, mais que l'histoire m'emballait moyennement.
Et puis, et puis... je me suis laissée emporter par l'histoire, qui n'était pas d'une originalité formidable, mais qui était bien emmenée et j'ai trouvé que la dynamique Lucifer/Charlie fonctionnait bien et promettait pour les prochains tomes.
Bref, je lirai volontiers la suite !

beaucoup d'humour et de piquant pour ce précurseur de 007.
L'intrigue est rocambolesque et peu crédible mais ce n'est pas ce qui importe ici.
Mark Gatiss s'amuse beaucoup, et nous amuse beaucoup, avec les codes du genre. Lucifer Box notre dandy libertin,portraitiste, agents de Sa Majesté et propriétaire du 9 Downing Street navigue d'intrigues de palais en clins d'oeil à James Bond et Sherlock et ne recule devant rien, tant dans l'action que la recherche du plaisir, pour mener à bien ses missions.

Lucifer Box est un portraitiste (mais pas que), agent secret à ces heures, qui se retrouve plongé dans une aventure trépidante qui l'emmène de Londres à Naples. le récit à la première personne permet de plonger dans les pensées rarement sages du personnage principal.


Le style est très prenant et on se laisse embarquer aisément dans cette aventure mêlant les genres, policier, espionnage, historique avec un soupçon de science-fiction pour faire bonne mesure. L'humour est très noir, parfois un peu trop peut être.


Ecrit par Mark Gatiss, créateur de l'excellentissime série Sherlock mais aussi scénariste sur Docteur Who, on retrouve aisément des similitudes de ton et de style tout au long de l'histoire.


Les illustrations de Ian Bass viennent compléter un récit qui se laisse découvrir avec plaisir mais qui manque d'un petit quelque chose pour être vraiment exceptionnel. Un bon divertissement à défaut d'être un grand roman en somme.

Quand j'ai vu que l'interprète de Mycroft, aussi co-scénariste de la série, avait écrit des romans, forcément... Hiiiiiiiiiiiiiiiiii, j'ai filé dare-dare à la médiathèque passer commande (oui, parfaitement).

J'ai l'air excitée ? Oui, je l'étais. Et cela convient assez au roman dont le héros pourrait largement hériter de cet adjectif. Même si ce n'est pas tout à fait dans le même sens. Légèrement plus... « licencieux », voyez-vous, la « Chose » l'intéressant. Souvent. Avec tout le monde. Ou tout seul. Personnellement, j'avoue que ce qu'il fait de sa main droite, dans sa baignoire... et bien non, ça ne m'intéresse vraiment pas, et ces passages-là m'ont un peu déçue.

Sans être aussi hilarant que promis par les critiques de la quatrième ni le chef d'oeuvre du siècle, on passe toutefois un vrai bon moment de bonheur. Pétillant comme du champagne, drôle comme un petit Oscar Wilde ressuscité, ce livre nous donne le sourire aux lèvres et un sacré oubli de la réalité (même si le Steampunk promis, finalement, n'est que très trèseffleuré).

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Quel roman! L'écriture est élégante, raffinée avec un soupçon d'ironie et d'humour so british par moment. Rien que pour ça, il faut le lire.
A cela, rajoutez un personnage principal qu'on aime aimer autant que détester. Il ne s'appelle pas Lucifer pour rien. On le découvre ainsi que son quotidien non sans jubiler avec ou contre lui. Les autres personnages son réellement secondaire à part quelques uns (même surtout un). J'ai adoré Charlie Jackpot. D'ailleurs les noms des personnages, à eux seuls, sont excellents.
L'intrigue, quant à elle, est très bien faite. Je n'y aurais pas pensé et c'est là tout l'art de ce roman : on n'a les informations au compte goûte et en même temps que Lucifer. On ne sait pas où l'on va mais c'est ça qui rend ce roman addictif.
On peut voir certains passages un peu classique mais on ressent une forme d'ironie dans l'écriture qui fait qu'on oublie et même qu'on en souri.

En bref, un très bon roman que je prendrai plaisir à relire et à lire la suite.