En quatrième de couverture de ce roman édité chez Bragelonne, collection steampunk, on a un avis de
Stephen Fry très enthousiaste: «Impossible d'imaginer un début littéraire plus délicieux, plus décadent, plus inventif et plus hilarant que celui-ci»
Délicieux? J'ai déjà lu des livres qui ont un coté «délicieux» comme ceux de
Gail Carriger par exemple, dans le même genre et en plus immersif d'ailleurs parce que là, la touche steampunk, excusez-moi hein mais je ne l'ai pas trouvé très présente...
Décadent? Il en faut peu pour émoustiller Mr. Fry, point de décadence ici, du vite dit, vite plié, vite oublié. Séduction nada, exotisme nada, sensualité nada. Bref, c'est fadasse.
Inventif? Hum, non ce n'est pas impossible d'inventer une histoire plus inventive que celle-ci mais c'est tout à fait possible d'en inventer de très peu inventives comme c'est le cas ici.
Hilarant? Alors oui, j'ai ri quelques fois, parce que la scène se dessinait sans difficultés dans ma tête mais deux-trois petit «ah ah» «oh oh» ne suffisent pas à verser dans l'hilarité générale.
Je me suis ennuyée, ne l'ai pas terminé, l'ai apprécié surtout pour le beau travail de reliure et d'illustration.