J'ai commencé ce roman sur la promesse du mot « lapin »... C'est un peu léger, je sais !
Contrairement aux romans de
Bernard Clavel dont j'apprécie vraiment le terroir, ça n'a pas pris avec ce texte de
Maurice Genevoix. La faute en outre à la quatrième de couverture bien trop bavarde... Cette manie d'annoncer la fin des histoires, même des iques, c'est très agaçant ! J'ai donc bravement abandonné cette lecture à la page 50 !
Je retiens cependant une phrase cinglante : « Un putois a beau être fin, il n'est pas libre de ne pas puer. » (p. 12) Si ce n'est pas de la caractérisation de personnage, en bonne et due forme et qui rhabille pour l'hiver, je ne sais pas ce que c'est !