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3,67

sur 320 notes
Je n'avais pas apprécié que lors du dernier tome , Elizabeth George déplace ses enquêteurs en Italie, mais (OUF! ) dans ce dernier tome , tout le monde a regagné ses pénates à Londres , Scottland-Yard ...
Notre (si cher) inspecteur Thomas Lynley n'est pas très présent dans cet épisode, et vit plus ou moins bien , sa relation avec sa vétérinaire .
Barbara Havers est toujours sous le coup d'une surveillance des plus "trapue" de la part de la Commissaire Isabelle Ardery et doit surveiller ses méthodes peu orthodoxes et ses tenues vestimentaires . La secrétaire Dorothea entreprend sur sa personne , un vaste chantier de relookage et c'est à cette occasion que Barbara fera la connaissance de la féministe Clare Abbott .
Une rencontre qui tournera court puisque Clare est victime de meurtre . Barbara appelée sur les lieux par son éditrice va enquêter, aidée par Winston Nkata chargé de la "surveiller" ...
Personne n'apprécie l''assistante de Clare Abbott, Caroline Goldacre dont le fils cadet s'est suicidé . Mais cette femme offre plusieurs facettes, et l'on n'arrive pas à savoir s'il s'agit d' une pauvre maman endeuillée, d'une perverse manipulatrice, ou d'une victime de la vie en général et des hommes en particulier ...
Elizabeth George nous ballade en alternance , dans la campagne anglaise, entre les failles et les malheurs de de cette famille , et du coté de Londres avec nos flics anglais dont la vie évolue gentiment.
L'ombre et la lumière pour notre plus grand plaisir ...
J'ai lu les 25 romans de cet écrivain (en comptant sa série pour ados ) et le plus beau compliment que je puisse faire à l'auteur , c'est cette anecdote ... J'étais à Londres et au détour d'une rue (par un hasard voulu ...) , je suis tombée sur The New Scottland Yard . Pendant un dixième de seconde , j'ai eu l'envie de passer dire bonjour à Thomas Lynley , Barbara et Winston Nkata ... pendant un dixième de seconde, j'ai eu envie qu'ils soient réels ... Si c'est pas du beau boulot d'écrivain , je n'y connais rien !!!!
Si vous n'avez jamais lu cette série commencez par le premier , sinon vous passerez à coté des personnages récurrents .
Mes préférés étant : Anatomie d'un crime ( une remarquable étude sociale ) et Sans l'ombre d'un témoin . Ce que fait cet auteur est remarquable, sorte de face A et face B du même crime , vu du coté de la victime et du coté du tueur . Ces 2 romans qui se répondent( à l'intérieur même d'une série) , c'est juste un bijou de littérature policière ...
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Depuis ses frasques en Toscane, le sergent Barbara Havers vit sous la menace d'une mutation dans un obscur bourg du Nord de l'Angleterre. Aussi se tient-elle coite, soucieuse de plaire à la commissaire Isabelle Ardery et de prouver qu'elle peut ''rester dans les clous''. Mais cette nouvelle personnalité policée ne convient pas à l'inspecteur Lynley qui regrette la fougue de sa coéquipière. Grâce à quelques manoeuvres, il réussit à convaincre Isabelle d'envoyer Barbara dans le Dorset, lieu de résidence de l'auteure et militante féministe Clare Abbott dont elle vient de découvrir l'empoisonnement déguisé en crise cardiaque.
Chaperonnée par le sergent Nkata qui a ordre de ne pas la quitter d'une semelle, Barbara arrive donc à Shaftesbury pour élucider ce meurtre, dans le respect le plus strict de la procédure. Ce faisant, elle entre dans l'intimité de Caroline Goldacre, l'assistante de la victime, une femme exubérante qui pleure encore, trois ans après le drame, le suicide de son fils Will, tout en couvant son aîné Charlie, anéanti lui aussi par la mort de son frère, au point d'avoir perdu femme et emploi...Une enquête longue et compliquée pour une Barbara sous pression.

Dix-neuvième (et dernière en date) enquête pour les policiers sous les ordres de la commissaire Ardery. Entre Londres et le Dorset, on plnge dans les secrets, mensonges et méandres d'une famille dysfonctionelle marquée par le suicide du fils cadet, Will, le fragile paysagiste atteint de logorrhée verbale. C'est la mère, Caroline, immédiatement antipathique, qui préside aux destinées des siens, mère poule qui ne vit que pour ses enfants, prête à tous les sacrifices pour le bonheur de ses fils. Personnage central du roman, elle propose au lecteur toute une gamme de graves problèmes psychologiques, toute à la fois perverse narcissique, passive-agressive, auto-victimisante, harceleuse, manipulatrice, mère abusive et mythomane compulsive. Autour d'elle, une famille en souffrance : Will qui s'est jeté du haut d'une falaise, Lily sa petite-amie qui a assisté à son suicide, Charlie quitté par sa femme India qui aimerait se reconstruire auprès de Nat sans arriver à se défaire de l'emprise de sa belle-famille, Allistair son deuxième époux, fatigué de cette femme qu'il idolâtrait et qui trouve une nouvelle jeunesse dans les bras de sa principale collaboratrice.
A Barbara et Winston de démêler le vrai du faux et de tirer sur les fils emmêlés qui lient toutes ces personnes et ont conduit à la mort de Clare, l'employeur de Caroline...
Côté vie privée, Lynley, de plus en plus absent au fil des opus, tente d'apprivoiser Dairdre, la vétérinaire dont il pourrait tomber amoureux. Barbara, privée de Haddiyah et Azhar, se sent seule mais est prise en mains par Dorothea la très chic secrétaire du service qui s'est mis en tête de lui trouver un homme. Peut-être n'aura-t-elle pas à s'investir dans ce dur labeur, la fin du roman réservant une petite surprise au sergent et l'espoir chez le lecteur d'une éventuelle romance à venir...
En bref, ce tome est excellent, passionnant, addictif. le seul problème est la longue attente qui se profile jusqu'au prochain.

Merci à Babelio et aux Presses de la Cité pour ce plaisir de lecture.
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Barbara est de retour à Londres. Comme on pouvait s'y attendre, Isabelle Ardery n'a pas apprécié les frasques de sa subordonnée qui est maintenant étroitement surveillée. Une collègue de Barbara décide de lui apprendre à s'habiller correctement, ce n'est pas gagné, mais ça nous vaut quelques scènes savoureuses.
De son côté, Lynley, préoccupé par sa relation avec Daidre, est assez peu présent.
Lorsqu'une militante féministe, Clare Abbott, décède dans des circonstances douteuses, Barbara fait équipe avec le sergent Nkata pour élucider l'affaire.
C'est toujours un plaisir de retrouver les détectives d'Elizabeth Georges et je ne raterai un de ses romans policiers pour rien au monde, mais j'ai regretté que Lynley ne soit pas plus présent.
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C'est toujours un plaisir de retrouver le sergent Barbara Havers et l'inspecteur Thomas Lynley.
Barbara est encore une fois dans le collimateur de la commissaire Ardery, qui n'attend que de pouvoir la muter le plus loin possible de Londres.
Par ailleurs, une de ses collègues va tenter de la relooker et de lui trouver un homme, ce qui est assez drôle, surtout quand on connaît Barbara et ses goûts particuliers en matière de vêtements.
Cette enquête sera une fois de plus complexe, puisque de nombreuses personnes seront suspectes du meurtre d'une célèbre féministe.
Le meurtre arrive assez tardivement dans l'histoire, car l'auteur nous décrit minutieusement les rapports unissant les personnages principaux avant même de rentrer dans le vif du sujet.
Une très bonne enquête, avec un suspense qui monte au fur et à mesure de l'histoire et des personnages aux personnalités compliquées.
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Je remercie Les Presses de la Cité et Babelio qui dans le cadre de l'opération « Masse Critique » m'ont permis la lecture de ce roman plein de rebondissements.

Je connaissais Elizabeth George pour avoir vu une adaptation télévisuelle « Meurtres à l'Anglaise » de ses livres. L'aristocratique Thomas Lynley et son atypique coéquipière Barbara Havers. L'un comte, 8ème du nom, brillant, cultivé, veuf et membre de l'éminente police londonienne Scotland Yard.

Elle peu apprêtée, totalement tournée vers le résultat de ses enquêtes, son travail est toute sa vie et peu importe qu'elle eût à froisser des susceptibilités au gré de ses enquêtes au célèbre Yard ou à prendre quelques libertés avec les règles.

Cette difficulté à entrer dans le « moule » lui vaut d'être soumise à un chantage de son supérieur hiérarchique Isabelle Ardery qui, si elle ne se tient pas mieux, l'enverra au fin fond du nord de l'Angleterre ! Cette demande de mutation au fond du tiroir d'Isabelle est une épée de Damoclès qui bride la créativité et le bon fonctionnement des rouages du cerveau de Barbara.

Lynley et Havers sont tous deux dans une position plutôt inconfortable, quand celle-ci est confrontée à un suicide qui n'en est peut-être pas un. Lynley veut prouver que sa collègue ne vaut rien si on la bride et demande à ce qu'elle participe à l'enquête qui déterminera si, oui ou non, il y a eu meurtre.

L'histoire débute par un compte à rebours. Lequel me direz-vous ? La fin de l'histoire d'amour de Will et Lily ? le début de la reconquête de Lily par Will ? le suicide brutal de Will ? La fin de la collaboration entre Caroline et Clare ? La fin du mariage de Caroline ? La mort de Clare Abbott ?

Lynley obtient qu'Havers alertée par l'éditrice de Clare approfondisse les questions que pose la mort de celle-ci, féministe reconnue, à la condition qu'elle le fasse en binôme avec Winston Nkata. Une équipe qui va se révéler efficace et tenace dans sa recherche de la vérité.

A aucun moment, vous ne vous dites comment vais-je venir à bout des 612 pages de ce volume.
Les rebondissements sont nombreux, vous êtes accrochés aux baskets léopards de Barbara et vous vous dites qu'elle a bien raison de fouiller les relations familiales des Golddacre, les secrets de famille, les relations troubles de Clare et de Rory Statham ou de Caroline et Clare…

J'ai été manipulée par Elizabeth qui m'a embarquée et laissée pantoise face au machiavélisme et aux travers des uns et des autres.

Pas de répits, et l'on comprend enfin dans les dernières pages les quelques lignes en préface : « le passé est si difficile à déplacer. Il nous suit comme un chaperon, s'élevant entre la nouveauté du présent et nous – la nouvelle chance.
Les conséquences... L'envie de retrouver très vite Thomas, Dairdre, Barbara, Winston… et la noirceur des criminels qu'ils cotoient….
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L'inspecteur Thomas Linley, aristocrate anglais qui travaille à New Scotland Yard, et le sergent Barbara Havers qui pose quelques problèmes de discipline et de savoir-être à sa hiérarchie, forment un tandem assez improbable mais qui fonctionne, à en croire la longue série de polars que leur consacre Elizabeth George, leur "maman" littéraire.

En ce qui me concerne, c'est la première fois que je les rencontre et cette connaissance m'a plutôt séduite. En réalité, en commençant "Une avalanche de conséquences", j'avais le sentiment que ce polar de 755 pages s'étirerait sans doute en longueur or il n'en a rien été, tout au contraire, les pages se sont tournées toutes seules sur un rythme bien soutenu. le récit jongle entre une dizaine de personnages sans emmêler les pinceaux du lecteur et j'ai apprécié le style de l'auteure.

Bien qu'ayant relevé quelques incongruités, j'ai passé un bon moment, ayant surtout été soulagée de ne pas baigner dans un bain de violence et me noyer dans flot d'hémoglobine comme ça peut rapidement être le cas avec les polars ou thrillers contemporains. Au contraire, ici, j'ai goûté le plaisir de retrouver la campagne anglaise du Dorset, ses falaises, ses collines, ses hameaux pittoresques, tout en gardant un pied à Londres. Un équilibre qui m'a convenu.

Après, côté psychologie, ce roman touche à des sujets sensibles ou violents comme la maltraitance infantile, l'inceste, le suicide ou encore l'adultère pour servir une enquête qui monte en intensité sans pour autant tomber dans le voyeurisme.


Challenge MULTI-DEFIS 2022
Challenge PLUMES FEMININES 2022
Challenge PAVES 2022
Challenge SOLIDAIRE 2022
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Ennui… C'est malheureusement le mot qui conviendrait le mieux à cette lecture, pourtant prometteuse. Elizabeth George est une auteure de polar réputée qui a réussi à me convaincre par le passé. Hélas, cela n'a pas été le cas avec cet ouvrage que j'ai lu avec peine. Tout d'abord, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de personnages et que l'on ne s'arrêtait pas assez sur eux afin de les développer. Je n'avais pas lu tous les ouvrages dont ce livre faisait référence (« Une avalanche de conséquences » est apparemment le dix-neuvième tome de la saga Lynley et Havers…). de ce fait, je suis restée complètement hermétique aux personnages racontant leur vie personnelle ou leurs problèmes. Paradoxalement, leur personnalité était trop survolée à mon goût… J'ai essayé de tenir une liste avec tous les protagonistes, leurs liens ainsi que quelques traits de leur personnalité toutefois, j'ai vite lâché l'affaire… Je n'arrivais rien à retenir.

Les trois cent premières pages ne m'ont pas convaincue. J'ai ressenti plein de longueurs et de scènes ayant peu d'intérêt. le résumé à lui seul correspondait à deux cent pages… Autant dire que le préambule est long ! Il me manquait de la tension ou quelque chose me donnant envie de tourner les pages. Malheureusement, il n'y avait pas de piste spécifique ou d'élément haletant. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de discussions entre les policières, ce qui m'a déplu. Ajoutons à cela des histoires d'amour de-ci de-là comme Charlie (le frère de Will) qui aime son épouse India, tandis que cette dernière a une liaison avec Nat et ne s'en cache pas. de plus, j'ai trouvé un personnage principal (Caroline, la mère de Will), très antipathique dès le début. J'ai donc décidé d'arrêter ma lecture à la p300. Par acquis de conscience, j'ai lu les trente dernières pages néanmoins, cela ne m'a pas fait changer d'avis. C'était même pire, car j'ai trouvé le dénouement prévisible. Ainsi, je n'ai eu aucune envie de plonger dans les deux cent cinquante pages qu'il me restait à lire. J'ai bien conscience que j'ai dû louper beaucoup de choses et que je ne peux pas vraiment juger un livre que je n'ai pas entièrement lu… Mais cela ne passait vraiment pas. La lecture doit être un plaisir… Et je me suis déjà forcée à lire une bonne partie de ce roman. J'ai bien compris que ce n'était pas fait pour moi !
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Une avalanche de conséquences est le dix-neuvième roman policier d'Elizabeth George mettant en scène l'aristocratique inspecteur Thomas Lynley et le sergent Barbara Havers.

Les romans policiers de l'américaine Elizabeth George nous permettent de découvrir une région – ici le Dorset au sud de l'Angleterre, et bien souvent un milieu bien particulier comme les pensionnats huppés ou le cricket.

Malheureusement, depuis 1988, il est difficile de trouver de nouvelles péripéties à ces héros récurrents, qui vieillissent moins vite que les lecteurs.

Dans Une avalanche de conséquences, Elizabeth George essaie de se mettre au goût du jour en introduisant de la vulgarité, au risque de perdre une partie de son lectorat (dont moi), sans être sure d'en gagner un nouveau.
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soyons francs , j'ai lu ce pavé d'une je l'ai reçu en cadeau et de deux un challenge a fait que cette auteure soit de la partie. Donc ni une ni deux, je sors ce bouquin pour l'abattre. Mais que ce fut long, longggggggggg, longggggggggg que de longueurs et lenteurs....... que je me suis ennuyée, quelques points positifs malgré tout. le côté British j'ai bien aimé, les directions diverses et variées que l'auteure s'est amusée à nous emmener pour nous semer dans des conclusions opposées. C'est cela que j'apprécie dans la lecture d'un polar de chercher le coupable, retrouver les indices, croire puis s'apercevoir que non au final, on s'est complètement trompé. Et j'apprécie la touche final, la tombée du rideau qui nous laisse surpris.

Bien c'était une réelle découverte, je ne dirais pas que j'ai détesté mais je ne dirais pas non plus que je poursuivrai ma lecture de cette auteure. Trop de blabla pour par grand chose. Malgré tout aucun regret, ça fait du bien aussi de sortir de sa zone de confort, lire autre chose et s'apercevoir qu'au final, il y en a pour tous les goûts et les couleurs mais on ne sait jamais comment on peut aimer tant ce genre de lecture, alors vite on retourne dans ses pénates, se réconforter avec un bon Bobin (un clin d'oeil à Sylvaine).
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C'est un réel plaisir de retrouver Elizabeth George. Retrouver Havers, Linley , Ardery, N'Kata et les autres. Toujours d'agréables retrouvailles.
Ici, une écrivaine féministe , très connue, est retrouvée morte dans sa chambre d'hôtel. Arrêt cardiaque semble-t-il. N'eut été le doute et la tenacité de son éditrice , il n'y aurait pas d'enquête et la cause de la mort resterait la même. Mais en voilà tout autrement. C'est un assassinat. Connaissant Elizabeth George, cette mort est prétexte à bien d'autres choses provoquant, bien sûr, une avalanche de conséquences.
C'est le je ne sais plus combien ième opus de cette auteure qui nous a habitué à présenter les faits, les analyser, les faire comprendre, les lier, les justifier. Totalement. Entièrement. Rien de ses personnages ne reste secret. Tout finit par être dévoilé. Ici, elle atteint un sommet...
Malgré, selon moi, quelques longueurs au début, la beauté de ce récit tient dans le fait qu'elle n'hésite pas à nous présenter sans pudeur, à nous mener, malgré nous, au coeur d'une famille , et bien au-delà de cette famille, pleine de secrets, dysfonctionnelle, abusive, perverse et j'en passe. Et ce sont ces personnages qui sont la force et l'intérêt de cet opus. Oui on retrouve Havers que l'on essaie encore de dresser, Linley, en arrière plan, discret et travaillant en douce à réhabiliter Havers , mais on connait bien ces personnages et dans Une avalanche de conséquences, ils ne sont pas en vedette.
Ce qui m'enchante? C'est que nous n'en avons certes pas terminé avec cette bande de Scotland Yard.
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