La saga du Soleil noir, tome 2 : La nuit du mal

De retour à la Seconde Guerre mondiale, au milieu des horreurs des nazis et de la courageuse résistance. Tristan Marcas est toujours à la recherche des swastikas mystérieuses censées donner un grand pouvoir. Officiellement, il travaille pour le compte du IIIème Reich, mais c'est un agent double qui joue un jeu dangereux. On retrouve également dans certains chapitres, Hitler lorsqu'il était plus jeune, comment il s'est construit et en est arrivé à ce mode de pensée.
En général, j'aime beaucoup quand les auteurs refont un peu L Histoire en y ajoutant de l'ésotérisme, c'est souvent l'occasion d'avoirs des romans d'aventures pleins de mystères qu'on n'arrive pas à lâcher. Mais comme pour le premier tome, même si j'ai apprécié globalement, je n'ai pas été transportée, l'aventure était intéressante sans être palpitante. Je n'arrive pas vraiment à mettre le doigt sur le problème en particulier, car tous les ingrédients sont là pour me plaire, mais le tout est un peu fade. Les personnages manquent de saveur et ne font pas suffisamment honneur à l'intrigue.
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Ce roman d'aventures sur fond d'ésotérisme pendant la seconde guerre mondiale constitue le deuxième tome de la Saga du soleil noir. Dans cette chasse au trésor, visant à ramener des swastikas antiques sensées avoir des pouvoirs extraordinaires, le « score » était de un partout à la fin du tome 1, le Triomphe des ténèbres. Une swastika pour l'Ahnenerbe, la section spéciale des SS ; une pour les anglais, qui ont réussi à introduire un agent, Tristan Marcas, au sein même du dispositif ennemi.

Ce deuxième épisode situé en 1941 est plus centré autour de la nouvelle chef de l'Anhnenerbe, l'archéologue Erika von Essling, qui remplace Weistort gravement blessé dans le tome précédent, et de son amant Tristan. Un Tristan entouré de mystères et qui ne laisse pas indifférent Laure d'Estillac, jeune résistante française, désormais affectée à Londres au SOE.
Les fouilles vont donc reprendre, cette fois à Cnossos en Crète, avant que l'action ne se déplace vers Venise.

Dans le premier tome, Giacometti & Ravenne avaient mélangé le goût de certains dirigeants nazi pour l'existence d'une race supérieure et les recherches réelles menées par l'Ahnenerbe, pour mener une intrigue qui restait proche des évènements réels. Ce deuxième opus, part plus dans l'imaginaire. Plusieurs chapitres sont consacrés aux années pendant lesquelles Hitler s'est forgé sa culture politique, et là les auteurs ont beaucoup brodé. Leur goût pour les sociétés secrètes prime sur ce qu'on peut savoir de cette période de la vie du futur dictateur. Giacometti & Ravenne introduisent aussi dans leur récit un personnage réel, Ian Fleming, futur auteur des James Bond, effectivement officier du renseignement naval pendant la guerre. L'occasion pour eux d'enchaîner quelques jeux de mots liés au titres des romans de cet agent au service secret de sa majesté.

Moins prenant que le triomphe des ténèbres, la Nuit du Mal reste un roman de pure distraction, jouant sur des ressorts connus et sans grande surprise.

Un bon second volet de la trilogie, qu'est "la nuit du mal". Il s'éloigne des faits réels pour revêtir davantage un côté ésotérique.
On retrouve les mêmes personnages, dont certains, comme Erika, deviennent centraux, et de nouveaux acteurs entrent en scène tel qu'Aleister Crowley, mage qui a réellement existé mais pas appartenu au SOE. de la magie noire et des sorcières au programme, quelques passages au Hellfire Club, je m'attendais d'ailleurs à ce que cet endroit soit davantage exploité dans le livre, puisqu'il est le refuge de la sorcière et que le livre est plutôt fantastique. Cette fois-ci, la vie d'Adolf, jeune estafette, est racontée, et cette histoire-là n'est pas écrite par hasard, c'est assez malin de la part des auteurs.
J'ai passé un bon moment avec ce livre même s'il est moins prenant que le 1er, j'ai eu l'impression que cela se dispersait un peu. A voire le 3ème volet, qui recollera peut être les morceaux égarés.

Un second tome de la sage du soleil noir que j'ai trouvé en deçà du premier. Il faut presque attendre les 50 dernières pages pour qu'il y ait de l'action.
Rien à dire côté intrigue avec la recherche de la troisième swastika. C'est bien amené. La relation en Antoine Marcas et l'archéologue nazi Erika von Essling apporte une touche piquante compte tenu de l'ambiguïté de leur relation.
J'espère que le suivant me procurera un peu plus de frissons.

On continue la Saga du Soleil Noir écrite par un duo d'auteurs que je trouve très talentueux. Encore une fois, le plaisir de lire et de retrouver leur style était au rendez-vous, bien que j'ai trouvé ce tome un peu moins palpitant que le premier.

On retrouve Tristan Marcas et Erika, l'archéologue, en route vers la Crète, en quête d'une troisième swastika. Rappelons-le, les deux camps en possèdent une et il en reste deux autres à trouver, c'est donc une course contre la montre que se livrent les Allemands et les Anglais. Ce tome est assez centré sur la relation entre Tristan et Erika, et c'était assez intéressant de suivre leurs aventures, les jeux de piste et la double mission de Tristan. Cela manquait néanmoins de rebondissements et d'action, par moment j'avoue m'être un peu ennuyée.

En parallèle, quelques chapitres nous évoquaient la jeunesse d'Hitler quand il était à Vienne et désirait entrer aux beaux-arts. On apprend sa frustration par rapport à son talent non reconnu, comment il en est venu à faire de la politique, sa rencontre avec l'ordre de Thulé et l'idéologie aryenne,... Ces passages étaient vraiment fascinants.

L'histoire s'emballe dans le dernier tiers, lorsque les forces se retrouvent en Italie, et alors que je trouvais le rythme assez lent jusqu'à maintenant, ce qu'il se passe en Italie a eu pour mérite d'accélérer l'action et c'était plutôt cool. J'ai bien aimé retrouver Laure, la jeune française croisée dans le premier tome, et son évolution, c'est un personnage intriguant. Nous faisons également la rencontre d'un nouveau personnage, Aleister Crowley, considéré comme le dernier mage du XXème siècle. Un personnage qui a réellement existé, et quand on rencontre ledit personnage, on est content de ne pas avoir vécu à la même époque que lui... ! Mais je l'ai trouvé plutôt curieux.

En résumé, pas énormément d'action mais des personnages intéressants, une leçon d'Histoire revisitée, un peu de suspens et des intrigues toujours plus poussées pour accéder à la victoire, c'était encore un chouette moment de lecture !

Ce deuxième volume du cycle du Soleil noir relance toutes les intrigues et les personnages laissées en suspend dans le final du précédent.
La perspective ésotérique est cependant davantage mise en avant et les antagonistes se livrent à une lutte acharné dans la recherche des swastikas censés assurer au camp qui les possède toutes de triompher.C'est au tour de la Crète et de Venise,après l'Espagne et Montségur,de servir de cadre à l'action avec quelques importantes parenthèses en Allemagne ou en Angleterre,donnant plus de rythme à l'ensemble.
Quelques personnages historiques plus ou moins célèbres s'invitent avec pertinence dans le récit, notamment Winston Churchill. Aleister Crowley ou encore un certain Ian Fleming. L'un des aspects les plus significatifs et intéressant de ce roman est l'analyse du passé d'Adolf Hitler à un moment déterminant de sa vie en 1908 ou,encore jeune homme, il est humilié et recalé au concours d'entrée des Beaux-Arts de Vienne. Les auteurs dressent un portrait qui, s'il n'absout en rien celui qui deviendra un des plus grands criminels de l'histoire, offre une approche atypique pour appréhender le personnage et la montée en puissance de cette idéologie qui va engendrer l'avènement du Führer.
Moins prenant que le triomphe des ténèbres, la nuit du Mal reste un ouvrage intéressant, sans grande surprise mais avec quelques notes d'humour en référence à un certain agent 007. De plus,la fiction prend ici largement le pas sur la réalité historique.Une évolution en parallèle davantage imbriqué dans l'histoire aurait certainement pu être plus instructive et aussi captivante.Un bon moment de lecture dans l'ensemble pour attendre la suite et la conclusion de ces fascinantes énigmes.

Dans la continuité directe du premier tome. Dans l'histoire comme dans le style, ce volume ne diffère pas du premier dans son incapacité à être "page turner".

Pourtant tous les ingrédients sont là.
d'une part dans le contenu: occultisme, aventure, personnages historiques célèbres,
d'autre part dans le style: chapitre courts, personnages aisément identifiable et récurrents, écriture directe et facile à appréhender.

Et encore une fois, je peine à vraiment à apprécier le livre. Les personnages sont relativement insipides, je ne me suis jamais attaché à aucun d'entre eux. Leur narration est identique on pourrait mettre l'un à la place de l'autre rien n'y changerait. Et globalement je les ai vite oubliés. La trame narrative ne fait pas rêver, malgré la matière culturelle à disposition.
On sait déjà comment ca va finir, (au deuxième tome), et oui c'est la seconde guerre mondiale. Les méchants perdent.

Côtés positifs, les références à la culture ésotérique sont nombreuses et relativement étayées. Sans tomber dans un cours magistral, l'histoire apporte parfaitement les références. Les apparitions d'Aleister Crowley et de Ian Flemming sont une agréable surprise.

Mais quelques petites approximations dans le texte font malheureusement douter de la précision de l'ensemble culturel proposé. Pour ne citer que cet élément: W. Churchill mentionne à un moment de l'histoire la fameuse "horloge de l'apocalypse" (nous sommes en 1941 dans le livre). Cette dernière n'a été crée qu'en 1947. Après la guerre donc. Ce détail peut être insignifiant, révèle une exactitude qui me faire remettre en doute tous les éléments historico-culturels rapportés dans le livre.

Jouer avec l'histoire c'est sympa surtout quand on y met une bonne dose d'occultisme, de franc-maçonnerie, de templiers et de mythologie nordique.
Mais pour que la soupe ait du goût il faut rajouter les condiments. Ce dont ce livre manque cruellement.

Donc c'est sympa mais sans plus!

Deuxième volet de la trilogie du soleil noir ; c'est du même tabac. On côtoie les chefs du troisième Reich et franchement cela glace un peu. L'histoire n'est pas très passionnante mais on ne s'ennuie pas. Pas grand-chose à en dire.

Je dévore habituellement les Marcas, le 1er tome de cette nouvelle trilogie traitant de la seconde guerre mondiale n'a pas fait exception. Mais cette fois ci, quelle déception. J'ai eu l'impression que l'intrigue n'avançait pas, aucune action ou si peu.
Et puis avoir 2 intrigues parallèle, voir plus, spécialité de Giacommetti et Ravenne, et magnifié par Dan Brown, c'est bien et rend les romans encore plus haletant. Mais la, trop c'est trop. On développe une intrigue, des qu'il commence à y avoir un peu de suspens sur ce qui va se passer, stop, chapitre suivant traitant de l'intrigue parallèle, et on en use et en abuse à tous les chapitres. Vraiment le style est poussé à son paroxysme, et ça devient insupportable, tellement ils l'ont utilisé.
L'histoire en elle-même est intéressante, faire évoluer une des plus importantes et sinistre personnalité du IIIé Reich avant la guerre à partir de fait historique est une bonne idée. Mais je suis resté sur ma fin, l'impression que ce n'était pas assez développé, et toutes ces anecdotes finissent par recouper l'intrigue de façon tellement banale que c'est décevant.
Pour moi c'est le livre le plus médiocre de ces 2 auteurs que j'apprécie beaucoup, et surtout l'impression que c'est le plus bâclé. J'espère que le dernier tome sera du même acabit que le 1er et que la plupart des livres sur le commissaire Marcas.