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4,19

sur 455 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Comme tous les livres de Giebel, ce roman est additif. Il a un côté documentaire et fait le bilan de tous les conflits armes auxquels la France a participé depuis une vingtaine d'années. Un infirmier comme on en voit peu part secourir les civils victimes des guerres au quatre coins du monde. Au fur et à mesure Grégoire perd peu à peu sa joie de vivre et sa santé mentale. le lecteur, lui, assiste à aux horreurs commis par des hommes sur des civils et ne sort pas de ce livre indemne comme tous les livre de cet auteur.
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Ayant eu un immense coup de coeur quelques semaines avant pour « Glen Affric », j'avais des attentes peut-être trop élevées pour ce roman.

C'était une très bonne lecture mais je n'ai pas ressenti les émotions que je peux ressentir en lisant un roman de l'autrice.
Elle a décidé de changer un peu son genre de lecture. Malgré certains points négatifs que vous avez pu voir ressortir dans d'autres chroniques, c'était un moment agréable.

Sa plume est toujours autant incroyable, elle arrive à nous toucher la où ça fait mal. Son talent est bien présent.

Je n'ai malheureusement pas eu d'attache pour ce personnage principal, il vit des choses horribles mais je n'ai pas eu cette compassion que j'ai pu avoir auparavant.

Le temps me paraissait un peu long, à cause de cette répétition au fin de l'intrigue mais cette fin ! Je lirais le second tome sans hésitation afin de répondre à mes différents questionnements.

J'ai beaucoup aimé suivre son combat, des passages sont tout de mème horribles et m'ont donné mal au ventre.
Nous somme immergés dans une ambiance assez dure et terrifiante.

Un bon thriller psychologique malgré tout, hâte de voir ce que nous réserve la suite.
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J'adore cette autrice, j'aime tous ses livres. Mais celui ci est d'un style différent, j'ai beaucoup moins accroché. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas vraiment d'histoire. Ce sont des petites histoires qui se répètent de pays en pays en guerre. Je me suis parfois un peu ennuyée. Cependant il reste très bien écrit et je lirai la suite.
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Je fais une lecture commune avec mon amie Saiwhisper et on partage à notre rythme nos impressions. J'apprécie beaucoup l'auteure Karine Giebel. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai hâte de lire la suite.

Je suis très attentivement notre personnage principal Grégory qui travaille en tant qu'aide humanitaire. J'adore aussi suivre Paul qui rencontre au coeur de son travail et qui va devenir son meilleur ami.

C'est une très bonne lecture dans l'ensemble même si elle s'avère quand même assez difficile car je trouve que sa fiction est très près de la réalité. L'auteure Karine Giebel fait des recherches également. On constate que le livre est très bien construit, sa plume est très bien, sa thématique est très bien gardée et on s'oriente très bien.

L'auteure Karine Giebel parvient à très bien maîtriser les sujets et les enjeux qu'elle aborde.

L'auteure Karine Giebel nous amène ailleurs avec notre protagoniste Grégory. On l'accompagne dans ses missions, dans son quotidien, dans ses blessures, plus que ça l'avance et plus qu'on s'inquiète pour lui.

C'est une lecture éprouvante qui détient des passages très difficiles qui peuvent vraiment marquer les esprits. On se questionne aussi, on se sent un peu vulnérable nous aussi. Je confirme qu'il y a du bon et du moins bon mais je partage juste ce que je ressens face à Grégory, je me ferai une idée plus complète en lisant la suite.


Je suis contente de lire à nouveau mon auteure Karine Giebel.

Je suis très triste de quitter Grégory j'espère le retrouver prochainement même si j'ai beaucoup peur pour lui. Je remercie ma complice Saiwhisper pour nos échanges, j'invite aussi à lire son beau billet

Siabelle
Commenter  J’apprécie          2011
Ce livre est la première partie d'un récit qui se déroule en deux temps.
On y découvre Grégory, humanitaire dévoué corps et âme à ses missions, constamment aux services des autres, au détriment de sa propre vie et de sa propre famille.
L'ambivalence de ses sentiments est touchante et questionne. Doit-il vivre auprès de sa famille malgré l'ennui et le manque d'adrénaline ? Doit-il courir le monde au gré de ses missions malgré le manque des siens et l'horreur des guerres vécue au quotidien ?

Ce roman est différent de ce que nous propose habituellement l'autrice tant sur le fond que sur la forme.
Malgré la cruauté et la dureté de tous ces conflits, cette histoire est moins hard, moins gore, moins percutante que ses précédents romans.
Son écriture est aussi moins âpre, moins brute, moins acérée.

Grégory va de guerre en guerre, au gré des années qui passent. le récit en devient un peu redondant. Je ne m'attendais pas à lire une sorte de journal de bord de la Croix-Rouge...
Mais le syndrome post-traumatique, tant pour les victimes de guerre que les humanitaires, est parfaitement décrit !

Vu la fin, j'attends beaucoup de la suite ! Sera-t-elle sur la même lignée ou prendra-t-elle une direction plus "thriller", comme à son habitude ?

Suspense et patience !
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Karine Giebel est une écrivaine qui aime pousser les curseurs au maximum. Elle fait tout son possible pour que chacun de ses romans laisse des traces dans notre esprit. Même si ses propositions sont variées, jusqu'à présent, je peux dire que qu'elle a toujours atteint ses objectifs avec moi !

Pour ce premier des deux volumes de « Et chaque fois, mourir un peu », elle nous fait partager le quotidien chaotique d'un infirmier engagé dans l'aide internationale. Il nous fait voyager vers des contrées variées où les conflits font rage : Rwanda, Tchétchénie, Congo, Colombie… Sur place, l'immersion est totale. On perçoit à travers ses yeux, la misère, la détresse des victimes collatérales et la cruauté des belligérants. Il apporte avec ses collègues une forme d'humanité dans ces endroits où elle semble avoir complètement disparue.

Dans ces différents romans, l'autrice essaye de nous pousser dans nos retranchements, d'ébranler nos certitudes, de mettre à mal nos émotions, de nous mettre face à l'indicible, de nous révolter contre les injustices. Elle réussit une nouvelle fois à combiner tous ces composants dans ce texte. Grâce à son style accessible et efficace, les pages se tournent facilement alors que la lecture s'avère terrible. Chaque scène nous met face à des monstruosités plus inhumaines les unes que les autres.

Sur toute la durée de roman, j'ai trouvé que les allers retours de Grégory étaient un peu répétitifs, mais c'était surement un mal nécessaire pour insister sur l'ampleur des drames qui secouent notre planète. Karine Giebel a frappé fort, comme d'habitude ! Elle m'a privé d'air, saisi aux tripes et écoeuré tout au long de cette aventure. Je ne ressors donc pas indemne de cette lecture désespérante et oppressante dont la seule lueur d'espoir repose sur ces hommes et femmes qui vivent dans le seul but d'aider les autres.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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L'imagination humaine est fertile, et quand il s'agit de conflits armés, elle permet toutes les horreurs.

Gregory est infirmier pour le CICR. Une vocation, un besoin de se rendre utile qui l'envoie dans tous les coins du monde où les exactions et les catastrophes l'appellent. Et ce n'est pas le travail qui manque. Un besoin de servir, mais aussi une malédiction qui le ronge petit à petit.

Un roman sans véritable intrigue, mais une approche psychologique des personnages réaliste et qui semble bien documentée. Un plongée dans le pire de l'âme humaine dont on ne sort pas indemne.
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Mon deuxième Karine Giebel en un mois, je carbure! Toujours séduite par le style fluide et les persos extrêmement travaillés, je suis restée dubitative devant l'intrigue ou plutôt devant son absence. J'ai eu l'impression de lire un témoignage fictif sous forme de roman noir plutôt qu'un thriller… Pas une catastrophe en soi mais ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais!

On suit Gregory, un infirmier du CICR confronté aux pires horreurs de la guerre mais aussi à des tragédies personnelles. de la Tchétchénie à Gaza, en passant par le Kivu, c'est un florilège d'atrocités auxquelles assiste le lecteur - et le héros - quasi impuissant. Ça laisse sa marque évidemment.

Je n'en resterai pas là avec cette autrice, j'aime beaucoup sa plume et j'ai adoré « Glen Affric » . Je lirai même certainement le tome 2 à sa sortie parce que, bon, un suspense comme ça en fin de roman c'est pas possible. Dommage que j'ai eu tout du long l'impression d'attendre des rebondissements qui n'arrivaient pas…

Notons par ailleurs l'excellente interprétation de Thierry Blanc pour l'audio . Rien à redire, tout colle parfaitement!
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Tout d'abord merci aux éditions Récamier pour ce #servicepresse .
Nous faisons la connaissance de Grégory jeune infirmier dévoué à la cause humaine et qui a tellement ça dans le sang qu'il doit souvent laisser sa femme Séverine et sa fille Charlène.
L'horreur de la guerre nous ai raconter de 1992 à 2010.
Où la cruauté humaine bat son plein. Les militaires ne sont pas les seuls à être traumatismés sachez le .
Grégory va rencontrer beaucoup de personnes et connaître leur histoire. Sa rencontre avec Zona et son fils Anton qu'il adoptera.
Ici il est question de viols , mutilations , traumatismes etc ...
On voyage en Bosnie-Herzégovine , en Afghanistan , au Rwanda , au Congo etc ...
Je ne vous en direz pas plus pour ne pas spoiler l' histoire.
C'est un roman trash , palpitant et immersif.
Encore un très bon Karine Giebel qui m'a fait couler des larmes.
La seule chose qui m'a gênée c'est la description du personnel soignant en France qui soit disant malmene les patients, sachez que pour être dans ce milieu que cela reste une minorité car ce métier on le fait par plaisir , mais surtout pas vocation, passion et dévouement !
Lien : https://www.instagram.com/le..
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Après le marquant Glen Affric, j'ai retrouvé pour la seconde fois l'excellente plume de Karine Giebel dans ce roman noir qui se dévore.

Ce premier tome nous emmène à la rencontre de Grégory, un jeune homme infirmier qui travaille dans l'humanitaire. du Rwanda à l'Afghanistan en passant par la Tchétchénie notamment, le protagoniste principal découvre la barbarie humaine sous toutes ses formes. N'hésitant pas à prendre des risques et à mettre sa vie en jeu, Grégory doit faire des choix impossibles pour venir en aide aux blessés.

Au fil des chapitres, de 1992 à 2010, la tension monte. On est témoin de la souffrance de Grégory face à ce qu'il endure lors de ses missions et aux cauchemars qui le hantent à chaque retour en France.

Parmi les points forts de cette lecture, la psychologie des personnages qui est finement aiguisée ainsi que la trame narrative qui est très bien ficelée jusqu'au dénouement, apportant son lot de frustrations car le suspense demeure entier.

Le second et dernier tome de cette histoire captivante sortira à l'automne et il me tarde de savoir ce que l'autrice nous réserve pour la suite.
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
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