Le début du roman est centré principalement sur la victime, la psychopathe et l'enquête des collègues policiers sur cette disparition. Sur le principe, il faut ancré l'histoire... Mais il m'a manqué un peu d'actions...
On est axé sur la terreur, la violence, une femme butée sur ses pensées, pas ouverte à une possibilité d'erreur sur la personne. Et à force, le tyran m'agace sincèrement ! Je m'en lasserai presque de cette folle furieuse...
Et d'un coup, tout se délie. Tout le monde est coupable de quelque chose, chaque personnage a sa place dans le fil rouge de l'enquête.
Est ce que Benoit va s'en sortir ? Telle est la grande question face à toutes ses vérités qu'on apprend, et surtout les heures, les jours qui s'écoulent... On est sur le qui-vive, c'est le grand suspense!
Je suis quand même plus emballée par la fin, que le début.
Ce roman m'a vraiment fait un effet bizarre sur ma critique... j'étais incapable de me dire s'il était bien.. ou non, pendant tout le long de ma lecture. Je ne saurai l'expliquer. Mais la fin me laisse un côté positif tout de même.
C'est mon tout premier de cette auteure. J'avais beaucoup entendu parlé de
Karine Giebel, et je ne m'arrêterai pas du tout à ce roman, car je sais qu'il n'est pas son meilleur :)