AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur L'Affreux (17)

Il faudra expliquer, un jour, pourquoi l'homme s'intéresse tant à son destin après la mort et si peu à so destin avant la vie.
Commenter  J’apprécie          60
J'ai déjà trop vécu pour être revenu de tout
Commenter  J’apprécie          30
Maman, dont je tiens tous ces détails, s'en est sortie. Moi, je n'en suis pas encore sûr. On naît toujours avec une blessure. Après, elle s'agrandit ou elle se referme, ça dépend des gens et de leur destin. Mon cas est particulier : à mon arrivée sur terre, je saignais déjà de partout. J'étais une grande plaie et rien d'autre. C 'est pourquoi je me sens si seul et si faible, certains jours.
Commenter  J’apprécie          30
Il faut savoir prendre son temps. De toute façon, ça ne change rien. Il nous échappe toujours et on ne le retrouve jamais.
Commenter  J’apprécie          20
Réussir sa vie, c'est apprendre à mourir.
Commenter  J’apprécie          20
On naît toujours avec une blessure. Après, elle s’agrandit ou elle se referme, ça dépend des gens et de leur destin.
Commenter  J’apprécie          20





...Je ne sais pas ce qui m`a réveillé.
Mais tout est arrivé en même temps:
la pluie, le froid, les éclairs et puis
la grosse main de Max sur mon
épaule.

Je me suis mis à éternuer à
plusieurs reprises et j´avais le
sentiment de partir de moi-même
sans arriver à me rattraper.
Tout étais bloqué en moi.
C´était comme si je mourais.
Sauf que j´étais toujours bien vivant.

Commenter  J’apprécie          20
Mais on a beau courir, on finit toujours par se retrouver, un jour, en face de ce qu'on fuit. Car il est en même temps derrière, à côté et devant, le destin. C'est pourquoi on est toujours refait.
Commenter  J’apprécie          20
Quand on ne pense plus qu'à mordre et que tout se recroqueville en vous pour se concentrer sur une seule idée : déchirer pour détruire. Il y a des tas de gens qui ont la même obsession. Mais généralement, ils savent se tenir. Ils ravalent leur bave, eux. Toute la différence est là. On appelle ça la civilisation.
Commenter  J’apprécie          20
Maman m'a souvent dit que j'étais fait pour la tragédie. Moi qui adore rigoler, c'est vrai, je déclenche des catastrophes partout où je passe. Ça a d'ailleurs commencé, dès le premier jour, avec les forceps du docteur Baudroche.
Commenter  J’apprécie          10






    Lecteurs (185) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Le vocabulaire de FOG : La belle époque

    Grimpion

    Blatte du béton
    Colifichet
    Arriviste
    Etendard

    10 questions
    24 lecteurs ont répondu
    Thème : Franz-Olivier GiesbertCréer un quiz sur ce livre

    {* *}