Avis mitigé sur ce livre, contrairement aux critiques déjà publiées ici...
J'en ai certes apprécié l'ambiance, la description du monde de l'opéra, l'analyse des deux opéras eux-mêmes (Cavalleria rusticana et Pagliacci), Naples et ses deux mondes distincts (les riches et les pauvres), Naples sous le fascisme enfin.
J'ai aimé certains personnages, principalement celui du prêtre, Don Pierino Fava, mais également celui de l'adjoint du commissaire, Maione, et celui de la veuve, Livia Vezzi.
Le roman se lit facilement.
Pourquoi alors ces réticences ?
Elles ne sont pas dues au personnages de l'illustre ténor assassiné, Arnaldo Vezzi, que tous ceux qui l'ont côtoyé détestent mais au protagoniste principal, le commissaire Ricciardi.
J'avoue avoir du mal à imaginer un homme pareil qui sent la douleur des victimes assassinées et qui contemple de sa fenêtre une femme dans l'immeuble d'en face, en est amoureux sans oser jamais lui parler.
Je suis trop cartésien sans doute...
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Je n'ai pas compris l'interet de la touche paranormale de cette intrigue. Et d'ailleurs ce n'est évoquée que dans la premiere partie du livre, dans la suite cela a du lasser l'auteur comme nous.
L'intrigue n'est pas non plus palpitante elle essouffle et on n'attend même pas la fin avec impatience, on s'en désintéresse.
En un mot je ne lirais pas les suivants.
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