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4

sur 674 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Quel dommage que ce roman soit émaillé d'autant d'erreurs !

Comment est il possible d'écrire, en page 242, « le 9 et 10 aout (1943) les allemands sont déjà à Rumilly » ?

Comment peut-on confondre une Messe et des vêpres et imprimer en page 65, « il y avait eu deux messes, celle du matin et celle des vêpres » ?

Comment peut-on insérer les versets 35-40 du chapitre 25 de l'évangile de Matthieu dans un office d'aout 1943, page 247, en bousculant le calendrier liturgique ?

Mussolini est renversé le 25 juillet 1943, l'armistice signé le 3 septembre, et la zone d'occupation italienne en Haute Savoie passe sous contrôle allemand le 8 septembre 1943, un mois plus tard que le romance Valentine Goby.

« Si j'ai violé l'histoire, je lui ai fait de beaux enfants » claironnait Alexandre Dumas, et Vadim Pavlevitch et Moinette sont incontestablement charmants, et « l'ile haute » un bel hommage aux savoyards et aux réseaux catholiques qui ont sauvé des centaines de persécutés durant la seconde guerre mondiale. Fabrice Grenard, dans « le choix de la résistance », raconte cette discrète épopée qui permet d'inscrire 108 savoyards parmi les « Justes parmi les Nations ».

Ce roman écrit d'une plume poétique, aurait mérité une relecture attentive pour gommer ces erreurs d'autant plus consternantes qu'il est édité par Actes Sud, maison présidée par une ex-ministre de la culture.
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Un enfant juif arrive en hiver sous un faux nom dans une région de haute montagne. Parisien il découvre la neige pour la première fois. Un décor impensé, impensable se dresse devant lui, cerné de pics et de glaciers qui par instant se dessinent dans l'épaisseur du brouillard. Là-haut, la nature règne en maître au rythme des saisons, ces cycles immuables au cours desquels des hommes et des femmes, des gosses, aux vies modestes mais d'une humanité décuplée par le sens et la nécessité de leurs tâches, vont partager leur monde avec ce citadin, ébahi.
Sujet mille fois vu et consensuel à souhait.
Style inexistant à part hymne lourd à Dâme Nâture.
Lu "forcée" pour 7. Ça m'a barbée d'emblée. Ressemble à un devoir sur table étiré. Tout prévisible. Tout mièvre. Description à saturation. Clichés. 3 parties bien égales, d'abord BLANC neige. Puis VERT printemps. Puis JAUNE été. Sooooo scolaire. Je me suis obligée à lire la 1ère partie en entier, wwwooofff j'ai peiné genre ascension du Mont Blanc. Part two j'ai accéléré crescendo pour finir au galop, joyeuse de rendre l'opus à la bib che où je l'ai emprunté, flairant le coup vu que déjà tenté un ou deux livres de VG sans parvenir à accrocher. Je souscris à la critique de @CLYTEMNESTRE : "à réserver aux fans de l'écriture descriptive, qui plus est de la nature. Après un premier chapitre intitulé Blanc où la neige est nommée, détaillée, scrutée, j'allais entamer une seconde partie intitulée Verte. J'ai capitulé avant d'entamer de nouvelles descriptions post enneigement, c'est à dire le printemps et la verdure de l'herbe, arbres, etc... Dommage, le style est intéressant mais le sujet trop mièvre, à peine relevé par l'histoire du héros, jeune enfant isolé par les tourments de l'histoire."
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Heureusement, je l'ai emprunté à la médiathèque...
Si c'est incontestablement un beau livre par la plume, l'histoire est vide... pourtant un enfant descendant de juifs russes caché dans les montagnes en 1943, ça devrait nous prendre aux tripes...mais non, hormis les 5 dernières pages, il ne se passe rien... ou pas grand chose...
Pas de chapitre, juste 3 parties dont la première fait plus de 100 pages !
A lire absolument si vous souffrez d'insomnies... vous n'aurez qu'une envie, dormir !
Déception....
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Le début est prometteur, on comprend que la vie de Vadim, à moins que ce ne soit Vincent, va être bouleversée, on comprend assez rapidement pourquoi, reste le comment. A partir de là, l'écriture s'étire, brouillonne, comme le temps sans doute, mais j'ai fini par rapidement m'ennuyer, je n'ai pas su ou pu m'adapter à la découverte du nouveau monde et à l'éveil des sens de ce bonhomme d'une douzaine d'années. Contrairement à la Mathilde d'Un Paquebot dans les arbres, le Vadim/Vincent de L'île haute m'a laissé sur ma faim et pourtant j'ai l'impression qu'il aurait suffi de presque rien pour que ça fonctionne. Je suis passée à côté.
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