D’abandonné, le jardin était devenu une merveille. Metrau silencieux sans se presser, mais sans perdre de temps bêchait, plantait, sarclait, greffait et tout poussait comme par magie. Il avait pris possession de la Motte et Maître Albert, comme un étranger, errait de droite à gauche, désœuvré. À vrai dire, le travail lui coûtait et il n’aimait que celui des autres. Le profit seul, l’intéressait à condition qu’il n’y ait pas d’effort. Alors, pour passer le temps, il ...
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