Dans ce cas, Cielvariable, je crois que tu ne faisais pas trop attention aux mots et à l'ambiance que l'auteur mettait. Moi au contraire, j'ai tellement aimé ce livre que je prends le deuxième tome. C'est l'humour de Mack MacAvoy qui m'a marqué, qui m'a fait avancé le livre et qui me l'a fait aimé. Humour plutôt sarcastique. Mais livre bien présenté. Ça mériterait plutôt 5 étoiles qu'une seulement.
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Le début était intéressant, mais plus l'histoire avançait, plus elle perdait de l'intérêt. Je n'ai même pas terminé le roman, chose très rare dans mon cas.
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L’ambulance arriva huit minutes plus tard, ce qui, comme on l’apprendrait, était tout juste à temps.
Après que les ambulanciers eurent emmené Stefan, Mack put rentrer chez lui sans être inquiété par aucune autre brute. C’est peut-être parce qu’il ne portait pas de maillot, sauf pour la bande du col de son tee-shirt déchiré, et que ses mains et ses bras étaient rouges de sang jusqu’aux épaules. Ce genre de style vestimentaire tend à décourager les gens de venir vous embêter.
Le père de Mack était à la maison lorsque ce dernier entra par la porte de côté. Son père était figé devant l’ouverture du réfrigérateur, laissant croire qu’il pourrait trouver quelque chose de vraiment extraordinaire s’il continuait simplement à regarder.
— Hé, champion, dit son père.
— Hé, papa, dit Mack.
— Comment ça c’est passé à l’école ?
— Euh, dit Mack, l’école, c’est l’école.
— Ouais, je comprends, répondit son père sans même lever la tête.
Mack se dirigea vers l’escalier pour aller prendre une douche.