Hérétiques, tome 1 : Le mystère Isolde

Tout d'abord merci aux éditions Gallimard pour l'envoi de ce livre ! Je tiens également à leur présenter mes excuses pour le temps que j'ai mis pour lire le livre et pour en publier la chronique...

J'avais déjà entendu parler de Philippa Gregory grâce à son livre "Deux soeurs pour un roi", livre présent dans ma PAL depuis pas mal de temps déjà. J'avais donc une impression positive avant de commencer ma lecture étant donné que c'est une auteure que j'avais bien envie de découvrir.

Si je ne suis pas totalement convaincue par ce premier tome, j'ai tout de même apprécié cette première approche du travail de l'écrivain.

En effet, la première chose qui m'a plue, c'est le contexte historique : assez peu exploité en littérature il me semble, bien qu'il s'agisse d'une période de l'Histoire intéressante, j'étais ravie que ce roman y trouve sa place.

La seconde chose que j'ai aimée, ce sont les personnages - et plus particulièrement, ceux de Freize et d'Ishraq. Ils sont particuliers, attachants et bien qu'ils ne soient pas les protagonistes principaux du roman, ils donnent comme de la saveur à l'histoire.

Quant à l'écriture, je l'ai trouvée agréable. Ni plus, ni moins.

Mais alors, qu'est-ce qui ne m'a pas convaincue ? le rythme. J'ai trouvé que l'intrigue manquait de rebondissements et que le récit comportait quelques longueurs vers le milieu du livre.

Autre petit bémol : le décor planté par l'auteure manque de détails. Je m'attendais à avoir plus de descriptions à propos du quotidien des gens, de leurs coutumes, sur les objets occupant leurs maisons,... J'avoue avoir été déçue par cet aspect trop peu travaillé à mon goût.

En quelques mots :

Malgré quelques bémols (longueurs, manque de rythme, trop peu de détails sur la vie des gens de l'époque), j'ai passé un assez bon moment avec ce roman de Philippa Gregory. Les personnages secondaires apportent beaucoup à l'histoire et le contexte est intéressant. Je lirai la suite avec plaisir.
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Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Gallimard Jeunesse pour cet ouvrage.

Mon intérêt tout au long de ce roman n'a cessé de varier : tout d'abord très intéressée, je me suis presque ennuyée quelque page plusloin, avant d'avoir un regain d'intérêt, qui retombe quelque pages plus loin... Néanmoins, c'est au début, et surtout à la fin, que j'ai le plus été prise dans l'histoire. En fait, entre ces deux moments, j'ai trouvé que l'on n'était pas assez "dans" les personnages. On se voit raconter l'histoire, même assister à la scène, mais on ne rentre pas vraiment "dedans". Il est dur de savoir ce que pensent et ressentent les personnages, et certes cela conserve du mystère pour les énigmes, mais pour le coup l'implicite est trop implicite et on se sent simple spectateur - mais peut-être est-ce le but de l'auteur.

J'ai bien aimé les personnages, Isolde et Luca pour leur bonté, leur côté réfléchi, leur sentiment d'être partagé entre ce qu'ils ont envie de faire et ce qu'ils savent devoir faire, Ishraq pour sa loyauté et sa perspicacité ; enfin, j'ai vraiment adoré Freize, sa fidélité, son humour (Luca n'est pas toujours tendre avec lui d'ailleurs), son sens de la réparti. J'ai particulièrement apprécié sa relation avec ses animaux ou encore le fait qu'il parle à son cheval (on les oublie trop souvent !), cela donne une note attendrissante , une bienveillance rigolote que l'on ne retrouve pas assez souvent dans les romans.

L'histoire en elle-même est vraiment sympa, on voit comment des faits tout simples à la base peuvent prendre des proportions énormes dans l'imaginaire collectif et ainsi créer mythes et légendes. La seconde histoire m'a vraiment laissé une impression de "déjà vu", j'ai dû lire quelque chose de similaire dans le déroulement, mais je pense que l'auteur s'est basée sur des anecdotes "réelles" - enfin en tout cas c'est un sujet qui revient régulièrement je pense.

En résumé, un roman original et très bien construit, mais qui mériterait des personnages plus approfondis. J'ai bien envie de lire le tome 2 !
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En 1457, Luca, jeune homme intelligent de 17 ans, est choisi par un mystérieux envoyé du Pape pour aller enquêter à travers le monde sur des phénomènes mystérieux. En compagnie du fidèle Freize, il arrive dans une abbaye de nonnes qui seraient possédées par le démon. Et la belle abbesse Isolde ne semble pas avoir envie de le laisser mener son enquête comme il le souhaiterait...

Un roman d'aventure dont le personnage principal est inquisiteur de la papauté, voilà qui est intrigant ! Il est cependant un peu dommage qui l'intrigue soit si longue à se mettre en place : on commence à peine à se mettre dans le bain de la première enquête qu'elle est résolue et qu'il faut reprendre la route pour une deuxième énigme... J'aurais préféré que ce roman soit plus court et concentré sur une seule histoire, dont la teneur aurait d'ailleurs été suffisante à elle seule. Les personnages principaux sont sympathiques, quoi qu'assez stéréotypés. La belle Maure, suivante d'Isolde, est particulièrement attachante par son mystère et son indépendance dans ce monde médiéval guère favorable aux femmes. du coup, on a assez envie de savoir si le prochain tome lui sera consacré... Bref, je n'ai pas été totalement emballée (2 intrigues qui diluent le suspense) mais je trouve la série intéressante tout de même !

Malgré un démarrage assez lent, on finit par se laisser captiver par l'intrigue de ce polar médiéval qui flirte avec le thriller théologique. Un jeune moine brillant et polyglotte, flanqué d'un serviteur à l'humour faussement lourdaud et d'un clerc ronchon, mène des enquêtes pour le compte de l'Inquisition. Il commence par visiter un monastère où les nonnes sont somnambules, stigmatisées, empoisonnées, voire même les trois! Ça ne vous rappelle rien? Guillaume de Baskerville et Adso de Melk? "Le nom de la rose"? Sans aller jusqu'à présenter ce roman comme une version junior de son illustre prédécesseur, on ne peut qu'y penser, que ce soit en raison des similitudes (époque, personnages, mystères) ou des thématiques qui abordent les questions religieuses par le biais d'événements inexpliqués comme les stigmatisées ou les loups-garous. On attend le 2ème tome avec curiosité.

Cette chronique, j'aurais eu beaucoup de mal à l'écrire. Non pas que je n'ai pas aimé mais plutôt parce que ma lecture m'a laissé un peu perplexe et que je ne savais pas comment exprimer les sentiments que j'avais vis-à-vis d'elle. Pourtant, Hérétiques, premier roman de l'auteur que je lis, a été une agréable découverte mais il m'a manqué ce petit truc en plus (ou en moins) qui fait que je sais instantanément quoi dire d'un roman.

Hérétiques, c'est l'histoire De Luca et Isolde. Luca est un jeune garçon, intelligent et mature, qui vit dans un couvent et est considéré comme un hérétique parce qu'il a osé remettre en cause certaines choses dictées par l'Eglise. C'est alors qu'il est envoyé sur les routes d'Italie pour étudier les phénomènes étranges attribués au diable qu'il fait la connaissance d'Isolde, une jeune femme issue d'une famille riche mais enfermée dans un couvent à la mort de son père parce qu'elle a refusé de se marier.

L'histoire se décompose en deux parties s'il on peut dire. Dans la première, nous vivons l'intrigue dans un véritable huis clos dans le couvent où Isolde vit. Même si le dénouement semble un peu prévisible et facile, on se laisse tout de même entraîner par cette histoire tout simplement passionnante. L'auteur nous immerge dans la Rome du Moyen-Age et c'est un véritable bonheur de suivre les personnages, d'autant plus qu'ils sont très attachants.
Toutefois, on constate très vite qu'il s'agit d'un premier tome : l'action est hachée et assez peu présente, on se retrouve avec un roman un petit peu en dents de scie avec quelques longueurs qui sont parfois très déplaisantes. le rythme est très cassé au milieu du roman ce qui donne l'impression que l'on n'avance pas… Heureusement que la fluidité de l'écriture de l'auteur nous permet d'avancer !

Dans la deuxième partie du roman, celle qui touche à une deuxième intrigue, je me suis beaucoup moins retrouvée dans ce roman. Elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et n'a aucun intérêt avec la première (ou alors, je ne l'ai pas vu…) ce qui donne l'impression qu'elle n'est là que pour rallonger le roman. Si bien que je me suis ennuyée… Et le découpage du roman qui n'est absolument pas équilibré n'a fait que renforcer cette impression d'ennui. de plus, dans cette partie, je me suis sentie complètement extérieure à l'histoire et j'ai encore plus regretté qu'auparavant le manque de développement sur le plan historique. Philippa Gregory ne nous donne que très peu d'informations et c'est assez dérangeant puisque parfois, on ne comprend pas vraiment ce qu'il se passe.

Malgré tout, Hérétiques m'a permis de passer dans l'ensemble un assez bon moment. Je lirais la suite pour voir si l'aspect confus s'estompe mais j'espère surtout que l'auteur arrivera à éviter de nous faire quelque chose de très répétitif et morne.
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Le Mystère Isolde, est un agréable roman, mêlant histoire, ésotérisme, superstitions, et enquête policière. Malgré certains points laissés en suspens, et une intrigue manquant un peu de surprises, Philippa Gregory livre un bon premier tome de série, facile et agréable à lire, divertissant, tout en explorant une époque riche en rebondissements. Ce premier tome ne met pas réellement de fil rouge en place, si ce n'est le très mystérieux Ordre pour lequel Luca travaille, et dont on ne sait presque rien. Gageons que cela sera développé dans les tomes suivants, et ce sera sûrement très intéressant. Si vous cherchez un roman historique adapté à un jeune lecteur, le Mystère Isolde devrait vous convenir !


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Hérétiques – Tome 1 : le Mystère Isolde de Philippa Gregory. (Genre : Jeunesse, Historique).

Editions : Gallimard Jeunesse
Prix : 16,90€ (Partenariat)
Année de parution française : 2013 (Sortie le 8 novembre)
Année de parution originale : 2012
Titre version originale : Changeling.

.Résumé : Rome, 1453 : Luca Vero, dix-sept ans, est arraché de son monastère par le représentant d'un Ordre mystérieux, qui agit au nom du pape. L'homme lui confie une mission cruciale : repérer dans le monde chrétien l'hérésie et la sorcellerie. Accompagné d'un serviteur drôle et dévoué, Luca se rend sans un couvent près de Rome où se passent des phénomènes étranges depuis l'arrivée d'Isolde, la nouvelle abbesse : les soeurs semblent frappées de folie et portent des stigmates. Tout semble accuser Isolde et sa servante maure. Les deux jeunes filles risquent le bûcher…

.Je remercie chaleureusement l'équipe Gallimard Jeunesse pour ce partenariat. Encore un livre qui me donnait envie de le commencer dès son arrivée. Je n'avais pas lu le résumé, mais le titre était intrigant à souhait. Et la couverture définitive, simple mais efficace sera en charmer plus d'un. Cette lecture a bien commencé, et j'ai passé un agréable moment. Mais j'ai plusieurs bémols à reprocher à l'auteure, dans le développement de son histoire.

.Ce que j'ai apprécié avec ce roman, c'est l'agencement des deux premiers chapitres qui nous permettent de faire le point sur les deux personnages principaux. On va d'abord rencontrer Luca, à qui une mission importante va être confiée. Et puis Isolde, dont le père est décédé et qui va devoir obéir à ses dernières volontés. Je me suis de suite pris de sympathie pour ses deux personnages. Bien qu'ayant des vies totalement différentes, ils se ressemblent en quelque sorte. Tous les deux vont devoirs affronter leur vie et leurs peurs.

.Malheureusement, la plume à la troisième personne a fait que ces personnages m'ont paru seulement sympathiques. Je ne me suis pas attaché outre mesure à eux, j'ai bien aimé les suivre, découvrir leur caractère, leur façon de penser et d'agir. Ils sont bien travailler par l'auteure et on sent qu'ils sont ancrés dans leur réalité, avec des points de vus totalement différents selon leur mode de vie antérieur. Mais une narration à la première personne, aurait largement contribué à mettre du piquant dans le roman. Si on avait suivie Luca au coeur de ses enquêtes d'hérésie dans sa tête, cela aurait été plus rythmé et on aurait plus été tourmenté comme il l'a été. Et si on avait suivie Isolde dans sa tête, on aurait eu une partie de l'histoire qui aurait été moins mise de côté, et cela aurait enrichie le récit.

.Ce que je regrette aussi, c'est le manque d'information. Je me suis bien senti dans cette histoire, mais le côté historique pour ma part, n'est pas assez mis en avant. Je suis déçu de ne pas avoir eu d'explication sur le contexte historique de l'histoire, sur les us et coutumes des abbayes, des nobles, des pauvres. Alors oui on a des explications, mais pas assez à mon goût. Ce que je regrette c'est que l'auteure explique tout ça à la fin de son livre, dans ses notes. Si on en avait eu plus dans tout le roman, cela aurait donné quelque chose de fantastique. Après, je sais que c'est un roman jeunesse et les jeunes de 12 ans, y trouveront surement leur compte.

.Les évènements du roman ne sont pas extraordinaires. On va être amené à suivre deux enquêtes sur l'hérésie et malheureusement c'est assez prévisible dans la finalité des choses. Mais cela n'empêche pas le côté réaliste et les messages qu'a voulu faire passer l'auteure, à travers sont histoire. Au 15ème siècle, les personnes différentes sont pendues, amenées sur le bûcher. Si elles se considèrent non croyantes et donc hérétiques, cela finira mal pour elle, et j'ai apprécié me plonger dans cette partie de l'histoire.

.La plume de Philippa Gregory est agréable à suivre et je me suis dès le début senti à l'aise dans son histoire. Son récit est assez rythmé, grâce aux voyages de nos personnages sur les terres de l'Italie et aux questions qu'on pourrait se poser. La fin… présage une suite comme le tome 1 et j'ai un peu peur de cela. Si le tome 2 se déroule comme le tome 1, ça va être répétitif et assez ennuyeux je pense. J'espère que l'auteure amènera plus d'informations et d'explications sur son contexte. Et qu'il se passera quelque chose de significatif dans son histoire. Quelque chose où je me dirai « Oh le truc de fou ! », et surtout qu'elle m'apprendra la réalité de cette époque de l'histoire. Je lirai donc le tome 2 avec plaisir, pour voir ce que nos personnages principaux et secondaires nous réservent.
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Je suis entrée dans cette histoire avec plaisir. Je me suis tout de suite attachée à Luca, ce jeune garçon perdu qui est reconnaissant à l'ordre de moines qui l'a élevé mais qui aimerait pourtant voir plus de la vie... Lorsqu'il rencontre Isolde, son univers prend une autre couleur et on voit ses convictions ébranlées.
Même si on voit rapidement comment les enquêtes se terminent, j'ai apprécié la manière dont elles étaient menées.
Cependant, j'ai bien peur que ce roman contienne beaucoup de références historiques que les jeunes ne possèdent pas et qu'ils se perdent donc dans la lecture... Il est également peut-être un peu long.

En bref, un premier tome qui ne m'aura pas totalement convaincue. Il manque un peu de dynamisme dans le récit. de plus, les personnages sont intéressants mais trop peu approfondis, et les enquêtes, pivots du roman, assez simples. Cela reste donc un livre jeunesse plutôt sympathique, sur le thème de la religion médiévale.
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N'étant pas une très grande amatrice des romans historiques j'avais un peu peur de me lancer dans Hérétiques. Pourtant après mon excellente expérience avec le Cercle des Confidentes je pensais être moins réticente mais lorsque j'ai pris Hérétiques entre mes mains j'étais affable, sans une réelle envie de me lancer. Et cette sensation de vide m'a poursuivie jusqu'à la dernière page, à mon plus grand désarroi.

Pourtant l'histoire est intéressante. Dans les premières pages on découvre Luca, un jeune homme de 17 ans arraché de son monastère pour subir un étrange interrogatoire mené par un homme mystérieux qui fera de lui un jeune inquisiteur. En plein Moyen Âge, Il va donc, dès lors, partir enquêter sur les mystères, la sorcellerie, les hérétiques etc. afin de dresser la carte des peurs du monde. Pour cela il est accompagné de deux autres garçons : Pietro, un jeune homme un peu pète sec qui sera le guide et le chargé de missions de l'aventure ; et Freize, l'ami De Luca depuis presque toujours, bon vivant et drôle. le trio se retrouve très vite dans une abbaye où des formes de possessions ont fait leur apparition après l'arrivée de la nouvelle Abbesse : Isolde, riche héritière déchue après la mort de son père ; suivie en permanence par sa servante et amie : Ishraq. Les deux jeunes femmes semblent des coupables toutes désignées…

Le paysage de fond est posé, les personnages sont présentés. Et là une chose me choque : l'aspect extrêmement caricatural de chacun. le héros accompagné de ses deux compères, l'un drôle, l'autre raisonnable, la belle jeune fille qui ne voulait pas sa condition et la servante érudite. Ce sont des personnages qui n'ont finalement rien de novateur, ils restent dans la banalité du genre et rien ne ressort vraiment d'eux. Seuls Freize et Ishraq ont réussi à m'attendrir mais là encore, ça tient de mon amour pour ce genre de personnage plus qu'aux personnages eux mêmes.

L'histoire, qui en fait se compose de deux enquêtes, m'a parue trop simple, pas assez fouillée. J'ai très facilement découvert ce qui se passait bien avant les héros. A vrai dire pour la deuxième enquête, l'auteur a surfé sur la vague du « On ne présente jamais un personnage ou un évènement pour rien dans une histoire » et tout m'a paru trop facile, trop évident. Il m'a donc été incroyablement difficile de vraiment me mettre dedans et je suis restée neutre. J'ai l'impression qu'il manquait quelque chose pour que ce soit vraiment prenant.

C'est malheureusement le même sentiment que j'ai eu avec l'écriture de l'auteure. Philippa Gregory a une plume simple qui n'a rien de vraiment extraordinaire, et j'ai trouvé son style très froid, peut être trop recherché. Les connaissances sur l'époque qu'elle dépeint ne peuvent pas être remise en cause, ceci dit, tout m'a paru trop rose, trop aseptisé. Pour moi le Moyen Âge c'est du sang, des batailles épiques, le manque d'hygiène, des gens ignares et violents, Jon Snow sur un mur – Ha non je m'égare c'est de la fantasy… Dans Hérétiques, le Moyen Âge m'a paru plutôt propre, simpliste, pas assez décrit comme ce qu'il était, au fond ce livre était peut être trop jeunesse pour moi.
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