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3,6

sur 195 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce roman, j'ai bien envie de la qualifier de fantaisiste, toutefois je ne pourrais me permettre de le maintenir dans cette catégorie car il renferme plus que la fantaisie qui est présente au service de vérités que l'auteur avait envie d'exposer.

Tom, le personnage principal y fait figure d'individu déprimé. Il se demande de quoi est faite sa vie, sa vie de bodybuilder dominé par l'apparence des individus, qui côtoie sa femme par habitude, qui passe du temps à se poser des questions auxquelles il ne peut répondre.

Puis il rencontre N7A, jeune femme sans identité, qu'il invite à s'installer chez lui, entre sa femme qui accepte bien difficilement cette présence, son fils qui se sépare de son épouse et son père qui s'installe là afin de n'être pas seul pour recevoir la chimiothérapie qui le guérira de son cancer.

On constatera que ce lieu de vie commun n'est autre qu'une poudrière dans laquelle N7A constituera l'étincelle…

Mais N7A est bien plus, elle est celle qui fera réfléchir, se poser quelque temps pour observer sa vie, peut-être même pour changer…

On observera des habitudes et des comportements par lesquels la micro-société que compose cette famille pourrait s'enrichir comme notre société actuelle si riche de ses différences.

On notera également l'importance de posséder une identité pour un individu, avec une pensée pour les personnes qui, dans nos populations, ne peuvent se faire une place, parce qu'elle ne peuvent se définir elle-même.

Bravo à l'auteur qui offre au lecteur un roman capable de faire réfléchir et sourire en même temps.
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Tom a 50 ans et ce n'est pas vraiment une bonne nouvelle. Vendeur dans un magasin de compléments alimentaires pour bodybuilders, il s'ennuie et se demande ce qu'il a fait de sa vie, et pas seulement sur le plan professionnel : son couple avec Mathilde tient plus par habitude et force d'inertie que par amour et passion. Tom se demande ce qu'il fait là, pour qui, pour quoi, et ne sait pas comment s'y prendre pour y changer quelque chose, à supposer qu'il en ait l'énergie. Bref, Tom déprime. Pour ne rien arranger, son grand fiston mollasson et pleurnichard réemménage chez eux après s'être fait largué par Jade, sa copine wokiste, et son vieux père s'invite sur le canapé familial le temps (indéterminé) de sa chimiothérapie.

Pour Tom qui n'aspire qu'au calme et à la tranquillité, les prochaines semaines s'annoncent chaotiques.

Une dose supplémentaire de bouleversements s'ajoute à sa vie quelques jours plus tard, quand Tom vient à la rescousse d'une jeune femme malmenée par l'homme qu'elle accompagne. Ni une ni deux, Tom ramène à la maison cette jeune femme pour le moins étrange : elle parle de l'homme avec qui elle était comme de son « propriétaire », elle n'a pas de papiers, et une drôle d'identité : N7A.
Qui ou quoi qu'elle soit, sa présence va provoquer une grande remise en question dans la vie de Tom et du reste de la famille.

Il y a dans ce roman (cette fable) du burlesque, de l'improbable, du questionnement existentiel, du désenchantement, de la lucidité et du cynisme, de la sensibilité et de l'empathie. du Thomas Gunzig, donc.

Ce roman, qui se lit très vite, est bourré de réflexions sur le sens de la vie, l'amour, le temps qui passe, la transmission,... C'est un peu son défaut : il est trop court et aborde, sans les approfondir, un peu trop de thèmes : manipulations génétiques, wokisme, véganisme, cancer, Shoah, identité, courage, conditions humaine et animale.

Je trouve qu'il est un cran en-dessous des romans précédents de l'auteur : moins féroce que « La vie sauvage », moins attachant que « Feel good », moins jubilatoire. Mais comme les autres, il fait sourire et réfléchir, il nous renvoie à nous-mêmes, il nous touche par la tendresse qu'il montre à l'égard de ses personnages.

En partenariat avec les Editions Au Diable Vauvert via une opération Masse Critique privilégiée de Babelio.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Le roman le plus vache

Fidèle à lui-même, Thomas Gunzig raconte comment une, puis deux, puis trois arrivées inopinées dans son ménage vont déstabiliser Tom. Drôle, grinçant, décalé, jouissif !

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en quelques jours son quotidien va être totalement chamboulé. C'est d'abord son fils Jérémie, 22 ans, avec lequel il n'a plus que des liens très distants, qui s'invite à la maison suite à une rupture amoureuse. Il a laissé l'appartement à Jade, sa compagne qui a trouvé un autre homme. Une rupture que Tom pressentait, étant persuadé que la jeune fille n'aimait pas davantage son fils que ses beaux-parents. «L'incroyable beauté d'estampe de Jade contrastait d'une manière bizarre avec son air renfrogné, cela donnait une étrange impression de déplacement, de déséquilibre, comme celle qu'aurait produit un jour de neige sur une île tropicale, comme un tableau de maître exposé dans une cave humide. C'était à la fois fascinant et monstrueux.»
Puis c'est au tour de son père Maurice de venir squatter. Malade, ce dernier se sentira plus serein s'il peut loger chez son fils et sa belle-fille Mathilde. Sauf que là encore, Tom a pris ses distances avec cet ancien rescapé de la Shoah. Même s'il promet de se faire discret, il ne manque pas une occasion de revenir sur ses terribles souvenirs, oubliant l'accident qui a coûté la vie à son épouse et qu'il aurait pas sauver au lieu de fuir après le choc, avant que le véhicule ne s'embrase. de plus, il ne vient pas seul, car il est vrai qu'il ne pouvait pas laisser son vieux chat seul. William n'est guère remuant, mais il a depuis quelques temps la manie de vomir.
Mais Tom n'est pas au bout de ses surprises. Depuis sa boutique – il vend des produits aux membres des clubs de sport qui veulent accompagner la transformation de leur silhouette – il aperçoit un homme maltraiter la personne qui l'accompagne. Et comme il s'était promis d'intervenir s'il voyait ces mauvais traitements se poursuivre, il s'interpose. Après avoir fait fuir son propriétaire, il recueille la jeune femme chez lui. La belle lui affirme s'appeler N7A et être une vache! D'abord incrédule, Tom décide de donner crédit à ce récit et, devant l'incompréhension, voire l'hostilité de sa famille, part s'installer avec N7A dans sa boutique où il installe deux matelas rudimentaires. Mais la cohabitation ne sera que de courte durée. Tom n'arrive pas à trouver le sommeil. Avec N7A il trouvera refuge chez Jade avant que cette dernière ne disparaisse, après un épisode d'anthologie qui va rassembler toute la famille et livrer un secret de famille qui va remettre en cause bien des certitudes.
Thomas Gunzig a choisi le ton décalé de la fable épique pour exorer les questions de genre, nos rapports avec les animaux, mais aussi sur l'usure de la vie de couple. Comme le dit Adeline Dieudonné, qui aime aussi s'aventurer aux marges du fantastique, «ce roman est un cadeau drôle, tendre, cruel et politique». On prend beaucoup de plaisir à le lire car chaque chapitre réserve son lot de surprises. Jusqu'aux retrouvailles avec N7A et au feu d'artifice final. Pour ne pas avoir l'air bête, lisez Thomas Gunzig!


Lien : https://collectiondelivres.w..
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Thomas Gunzig, un auteur belge que je découvre avec cet opus et ce, grâce à Masse critique de Babelio et aux éditions Au Diable Vauvert. Un grand merci à vous !
Le temps passe, et un jour, on jette un oeil derrière soi et on distingue vaguement au loin celui pour qui "la vie toute entière semblait brûler d'un grand feu de joie". Alors les questions affluent : Qu'est-ce que j'ai fait de ma vie ? Il a bien pu passer où l'amour ? Il est où celui que j'aurais voulu être ? Il s'est passé quoi ? Il est où le désir ?

Avec humour et profondeur, Thomas Gunzig nous interpelle sur la quête de soi, sur l'intersectionnalité, sur la vie, la vieillesse, le couple, celui qui dure par habitude, la famille... C'est "vachement" bon, pas aussi jubilatoire que ce à quoi je m'attendais, mais je n'ai pas boudé mon plaisir. le burlesque taquine pas mal de sujets d'actualité et donne à réfléchir. Je vais aller voir de plus près les autres livres de Thomas Gunzig. Vous connaissez ?
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Le Sang des bêtes de Thomas Gunzig est un roman vraiment particulier.

On y suit avec curiosité les mésaventures d'un cinquantenaire plus très bien dans sa peau et dans sa vie qui va faire une rencontre avec une femme étonnante, rencontre qui va entrainer de nombreux changements et révélations dans son existence.

Au-delà de la fable un tantinet loufoque, j'y ai surtout vu un roman sur le corps, sur l'image ou les apparences, parsemé de réflexions très justes sur le couple et la vie à deux ; un roman pour le moins surprenant et un auteur à suivre assurément.

Merci à Babelio et au Diable Vauvert !
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De Thomas Gunzig, j'avais déjà lu il y a quelques années "Mort d'un parfait bilingue" et "Manuel de surbie à l'usage des incapables". Ces deux livres, aux titres désopilants, m'avaient laissé un souvenir mitigé. ils m'avaient donné de leur auteur l'image d'un écrivain doué mais peut-être un brin prétentieux, suffisamment stimulant pour me donner envie de lire ses prochaines productions mais pas assez pour que je m'y jette avec gourmandise.

Avec "Le Sang des bêtes", Thomas Gunzig, la cinquantaine approchant, embrasse un style plus sage sans tout à fait se ranger des voitures. L'histoire qu'il raconte narre assez classiquement la "midlife crisis" d'un quinquagénaire passablement dépressif. le sujet n'est pas nouveau et son traitement, s'il est allègre et si les personnages qu'il met en scène sont attachants, n'a rien de follement original.

Seule particularité intéressante : Tom, le héros, est un ancien bodybuilder qui tient un commerce de compléments alimentaires. le monde du bodybuilding constitue un univers fascinant que le cinéma explore avec profit : Pearl (2019), Bodybuilder (2014)... Les corps y sont métamorphosés par des traitements traumatisants que des sportifs masochistes s'infligent à force de volonté. Beau terrain pour l'étude de psychologie à laquelle se livre Thomas Gunzig qui a le bon goût d'y ajouter, pour faire bonne mesure, quelques scènes d'action qui augure bien de l'adaptation cinématographique de de "Sang des bêtes"
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En 19 brefs chapitres, tous titrés du nom d'un muscle, Thomas Gunzig va nous raconter une bien curieuse histoire… Tom, la cinquantaine, adepte du bodybuilding, traîne sa dépression de la boutique de compléments alimentaires où il travaille jusqu'à son domicile où l'attend Mathilde, son épouse, qu'il ne désire plus, sans oublier la salle de sport où il s'entraîne sans conviction. Jérémie, leur fils, vient d'être larguée par Jade, son intransigeante et détestable compagne, et il est revenu vivre chez eux. Pour couronner le tout, le père de Tom voit son cancer récidiver et s'installe sur leur canapé pour quelque temps avec William, son chat. Rien pour améliorer l'humeur de Tom, donc. Un jour, devant la boutique, il assiste à une scène dérangeante : un homme se comporte brutalement avec une jeune femme. Tom n'interviendra pas pour diverses raisons. Mais quand la scène se reproduit une deuxième fois, il s'interpose et ce geste va changer sa vie…
***
Je n'avais jamais rien lu de Thomas Gunzig, mais j'ai eu l'occasion d'écouter plusieurs fois sur Facebook certaines des chroniques assez mordantes qu'il fait à la radio belge. On retrouve son humour décalé dans le Sang des bêtes, son dernier roman bien déjanté. Il faut sans doute voir dans le titre du livre un hommage au célèbre documentaire de Franju (1949), mais la souffrance animale et la propriété du vivant ne sont que des thèmes parmi d'autres dans ce foisonnant bref roman. Encetta, non, N7A, la jeune femme que secourt Tom est en fait une vache à laquelle des manipulations génétiques ont donné forme humaine. Forcément, personne ne la croit quand elle raconte son histoire ! Thomas Gunzig va utiliser ce prétexte pour écrire une satire sociale surréaliste et parfois vraiment dérangeante, abordant pléthore de sujets : la place des animaux, le rôle de l'homme qui s'approprie le vivant, la judéité, la vieillesse, l'usure du couple, la bienpensance autoritaire, le culte du corps, le racisme, le spécisme… Et c'est peut-être ce qui a douché mon enthousiasme du début : j'ai passé un bon moment de lecture, mais je suis restée sur ma faim !
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Je remercie Babelio et les éditions Au diable Vauvert pour l'envoi, dans le cadre d'une masse critique privilégiée, du roman : le sang des bêtes de Thomas Gunzig.
Tom, vendeur dans une boutique de compléments alimentaires et de protéines pour bodybuilders, est en pleine dépression.
Le passage à la cinquantaine lui ouvre les yeux sur sa vie rangée avec sa femme Mathilde qui ne le rend plus heureux.
Mais il voit sa vie bouleversée quand revient à la maison familiale son fils Jérémie, jeune homme malingre tout juste séparé de sa copine, et son père, juif marqué par la Shoah et malade d'un cancer. S'annonce une cohabitation compliquée pour Tom qui ne souhaite que tranquillité et repos.
Témoin d'un acte de violence, Tom va sauver une inconnue aux origines mystérieuses des mains d'une brute qui la maltraite, ramener chez lui cette femme sans papier, et perturber le quotidien de tous.
Le sang des bêtes est un roman surprenant. J'avoue, je ne m'attendait pas à ça en le commençant.
50 ans.. Un chiffre qui perturbe certains hommes..
Tom en fait partie !
Il est en couple avec Mathilde depuis 25 ans, ils se supportent désormais plus qu'ils ne s'aiment réellement.
Ensemble ils ont un fils : Jérémie. Celui ci est adulte mais Tom a parfois du mal avec ce fils qui ne lui ressemble pas. Alors que pour Tom le culte du corps est important, son fiston est malingre, ils n'ont rien à voir l'un avec l'autre.
Et puis, il y a Jade la compagne de Jérémie. Une jeune fille haute en couleur, qui a caractère bien trempé. Quand ils se séparent Jérémie revient chez ses parents. Bon anniversaire Tom :)
Et ce n'est pas son seul cadeau empoisonné du jour car le père de Tom, atteint d'un cancer, va venir vivre chez le couple. Ils se retrouvent donc à quatre dans une petite surface.
Tom n'aime plus sa vie, il se pose de nombreuses questions face à son avenir.
Un jour il va venir en aide à N7A une jeune femme maltraitée par son propriétaire. Oui, je sais, dit ainsi ça paraît bizarre mais c'est comme ça que la jeune femme se définie. Car elle a de drôles d'origines.. Évidemment je ne vous en dirais pas plus, je n'aurais pas aimé qu'on me spoile sur ce point avant ma lecture.
Ce roman est surprenant, loufoque.
Il y a beaucoup de thèmes abordés tels que la Shoah, la dépression, la manipulation génétique, l'identité et j'en passe.
Il y en a presque trop pour si peu de pages même si ces dernières se tournent facilement. J'avais très envie de connaître le dénouement de cette histoire surprenante et du coup je l'ai lu presque d'une traite.
L'écriture est simple mais ça fonctionne bien.
Ce roman est original, peut-être un peu trop pour moi.
Si j'ai l'occasion je relirais cette auteur, par curiosité.
Ma note : trois étoiles et demie.
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Tom vit une crise existentielle de la cinquantaine, il mène une vie de couple rangé, il est employé dans une boutique de produits fitness, un fils qu'il ne comprend pas, un père malade. Dit comme çà pourquoi lire ce roman, pour retrouver sa petite vie, ses problèmes !!! Non c'est pas tout, vous n'avez pas encore rencontré N7A ! Ni la plume humoristique, satirique de l'auteur qui nous emmène dans une histoire loufoque à l'humour jubilatoire.
L'auteur pose un regard sur notre société, sur les injonctions que nous subissons dans la vie de tous les jours, comment être heureux, la quête et l'acceptation de soi, la construction de sa vie, être bien et beau dans son corps.
La grande question du livre qu'ai-je fait de ma vie ?
D'autres questionnements dans ce roman autour de l'identité, la famille, l'héritage familial, le couple, le genre, l'espèce ...

Une lecture et un regard lucide de notre société contemporaine, réaliste dans sa satire sociale.

Je remercie les Éditions Au Diable Vauvert et Babelio pour l'envoi de ce roman et en ce qui me concerne une première lecture de cet auteur.
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Tom, la cinquantaine bodybuildée s'ennuie dans sa boutique de produits pour sportifs. Il se demande ce qu'il a fait de sa vie. Une forme de lassitude le tourmente chaque jour, mais rien de bien grave. Il attend les clients et continue ses exercices de musculation pour conserver ce corps qu'il sculpte depuis des années.

Chez lui l'attend Mathilde, la compagne qui partage sa vie depuis vingt cinq ans. Son quotidien va être bouleversé par le retour au bercail de leur fils Jérémie qui vient de rompre avec Jade, sa copine. Et par l'arrivée de Maurice son père atteint d'un cancer. Il vient puiser dans la chaleur du foyer les forces nécessaires pour supporter les séances de chimiothérapie qui s'annoncent. Ce père juif dont la famille a péri dans les camps, victime de la Shoa. Ce père et ce passé dont Tom refuse de s'encombrer.

Malgré la lassitude qui le prend chaque jour et alors qu'il regarde les chalands qui passent devant sa vitrine, Tom est choqué par l'attitude d'un homme envers une femme. Il ne réagit pas immédiatement, mais quelques jours plus tard il décide d'intervenir et de porter secours à la même femme à nouveau violemment traitée par son compagnon. Se sentant légitime pour intervenir, et alors qu'il lui propose son aide, il est très surpris de sa réaction pour le moins inattendue.

Je n'en dit pas plus et vous laisse découvrir la suite par vous-même …

Voilà un roman tout a fait étrange, à la lecture parfois déroutante et qui bouscule nos certitudes. Sommes nous toujours ce que nous pensons être, qui est l'intrus ou le migrant parmi nos proches, qui est celui qui connaît réellement son passé et ses origines, et savons-nous seulement ce que nous voulons faire de nos vies.
....
La suite de ma chronique à lire sur le blog #DomiCLire https://domiclire.wordpress.com/2022/02/22/le-sang-des-betes-thomas-gunzig/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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