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3,08

sur 418 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Intriguée par les réactions des médias et dès lecteurs à sa sortie, dans les extrêmes (époustouflant ou imposture) sans juste milieu, j'ai tenté.
J'ai tenté, j'ai lutté, resisté, et j'ai abdiqué page 612.
Trop de personnages, après un chapitre plutôt bien, suivent 3 qui sont une punition, parfois trop de détails qui étirent le temps de lecture, parfois un manque d'éléments qui m'ont perdu.
C'est le premier livre de ma carrière de lectrice que je n'ai pas terminé, mais comme j'ai un goût plutôt modéré pour l'auto-torture, j'ai trouvé la force de renoncer.

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(septembre 2016) le livre, ce pavé !, commence par "A New York, on peut tout se faire livrer. du moins, je me fie à ce principe. …". Et en effet, la ville cosmopolite de tous les possibles, le New York fiévreux et violent des années 70, est le personnage central de ce roman à multiples tiroirs.

Si vous attaquez cette lecture dans sa version papier, commencez par bien vous installer !
La prise en main de l'ouvrage est douloureuse : le livre est lourd et le style est dense.
Les pages, elles si fines, ne s'effeuillent pas frénétiquement …
Je le confesse d'emblée, l'auteur écrit et décrit tant de faits et gestes que j'ai probablement lu des passages entiers en état hypnotique !

Le buzz autour du livre m'a forcé à tenir bon. Et c'est laborieusement passé les 200 pages que j'ai enfin ressenti une forme d'affection pour certains personnages. Ma curiosité - autour de ce qui laissait présager une intrigue policière - m'a tenu jusqu'à la dernière page. J'attendais, comme promis tout au long des 992 pages, l'apothéose dans la nuit du blackout du 13 juillet 1977.
J'ai lu 992 pages … au bout desquelles …. rien …. Ressenti de "flop" ….

J'ai fermé le livre, épuisée, soulagée et déçue. Mon appréciation est sévère.

Que voulait donc l'auteur ? Et je m'interroge … Au final, le lecteur est l'unique témoin qui relie tous les acteurs du récit. La vérité n'est pas claire, elle est parsemée aux quatre vents de la ville et noyée dans les psyché des personnages. Un peu la réalité, non ?
Alors ce que j'ai vécu au premier abord comme désordre est peut-être la trace du génie !

Pour clore, cet écrivain a une plume remarquable de sensibilité et de précision. Une sorte de caméra embarquée de l'oeil aux cerveaux. Je crois qu'elle gagnerait à ne pas être noyée dans 1000 pages.

En synthèse, conditions requises ….
- aimer New York
- aimer le Rock
- avoir des bras en acier pour porter le livre (ou renoncer à la version papier)
- aimer les longues (très longues) descriptions (certes remarquablement écrites)
- ne pas avoir d'autres livres en attente !
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Le livre est épais et touffu, New York des années 70, je dois dire que j'ai sacrément eu du mal à finir. Sans doute en attendais-je trop, c'est le problème des livres lancés en grande pompe, ils devraient plutôt et très souvent être lancés à grands coups de pompes.
Et ça m'a donné l'impression d'être écrit à une autre époque par quelqu'un d'une autre époque, l'intrigue ne m'a pas semblé extraordinaire non plus, trop alambiquée, bref je passe.
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Enfin je viens de tourner la dernière page de ce trop long roman. J'y ai cru jusqu'au bout, mais non, vraiment ce livre est pauvre, creux et sans intérêt.
Livre qui ne tient pas la longueur
Passez votre chemin.
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Je n'ai pas dépassé la 200ème page, pas accrochée, désolée
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Je ne comprends pas l'engouement autour de ce livre. J'en avais marre dès les 400 premières pages, je me suis forcé car je déteste arrêter un livre en cours de route, mais sérieusement, 1200 pages environ pour ça ?! Tout ça pour ça ?
Je trouve ce livre terriblement fade, ennuyant, j'ai l'impression qu'il n'y a que du remplissage dedans, de la broderie, l'intrigue aurait pu être expédiée en 200 pages... et cerise sur le gâteau (même si l'on pourrait parler de goûts et de couleurs) je ne le trouve même pas bien écrit. Deux semaines de ma vie à subir ce pavé indigeste.
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Une étoile. Comme souvent on se connecte plus à internet pour donner un avis négatif que pour distribuer les louanges. Ce premier avis ne déroge pas à la règle et j'en suis désolé. C'est ma première critique sur babélio et elle n'est pas bonne... non je n'ai pas aimé ce livre.

J'ai lu l'intégralité de cet ouvrage dont on a tant parlé lors de sa sortie en France précédée d'une réputation plus que flatteuse vu l'accueil qu'il a reçu outre atlantique (rendez vous compte, un manuscrit vendu à 2 millions de dollars avant même d'être achevé !!) mais il m'a laissé au bord de la route. Pourtant je l'ai acheté avec un optimisme démesuré. Des critiques dithyrambiques à tout va : Une "oeuvre hors pair" pour Entertainment Weekly et un "plaisir sans commune mesure" pour USA Today. Franchement ça envoie du lourd ! J'acquière fébrilement le livre, ça ne peut pas ne pas me plaire impossible. Je suis tellement sûr de mon coup que je l'ai même offert à un pote pour son anniversaire sans même l'avoir lu. Bref je l'achète dès son apparition sur les étales des libraires non pas une mais deux fois. J'ouvre cet éééénnnnnoooorrrrmmmmeee pavé et me voici plongé dans une lecture qui, j'en suis sur, va rimer avec plaisir.

Et bien non. Tout simplement. Il ne se passe rien, on ne sait rien, on ne va nulle part. Ce que ce livre a de spectaculaire c'est cette capacité qu'à l'auteur à aligner les mots avec une facilité déconcertante. Il faut admettre qu'il faut un vrai talent pour remplir la bagatelle de 900 pages pour en dire aussi peu. Pour The Guardian "200 pages auraient dû passer à la trappe", en ce qui me concerne, si ce livre avait fait 200 pages, ça aurait déjà été 190, non 198 de trop. L'intrigue aurait facilement pu tenir sur deux pages.

Les personnages ne sont pas en reste... Pas un seul ne m'a paru sympathique, si les péripéties qu'ils traversent sont inintéressantes on pourrait au moins trouver un intérêt à leur développement au cours du récit, et bien perdu ici aussi, soit ils sont agaçant au mieux et repoussant pour certains. Impossible de s'attacher à l'un d'entre eux.

Si les personnages et le récit d'un livre sont en retrait, il peut arriver que l'ensemble puisse être rattrapé par le style de l'auteur. Dans le cas présent, boursouflé est LE mot qui me vient à l'esprit. On est face à une suite de mots dont le seul intérêt semble être d'enchainer une suite de mot, c'est lourd c'est indigeste, c'est vain. Quand il s'agit de décrire le fonctionnement abscons de la logique des "post humanistes" ça peut paraitre pertinent mais à quoi bon remplir les pages de discours décousus pour nous faire comprendre que leur raisonnement tourne a vide ?? Quelques lignes voir un ou deux paragraphes auraient été suffisants. Le reste du texte est plus digeste heureusement mais à peine plus, ce qui le rend franchement pénible à lire. J'ai lu les mots couchés sur les pages en essayant de ne pas sauter de ligne avec la crainte de rater l'information importante dans ce magma de phrases rébarbatives, je pense y être globalement parvenu mais au prix d'efforts qui ont annihilé toute notion de plaisir.

On lit et on entend souvent dans les divers articles et critiques sur city on fire que le NY des années 70 en est un personnage à part entière voir, peut être le véritable personnage principal. Je pense que c'est juste vu le soin que prend l'auteur de le décrire avec force de détails, le problème est que même la ville semble repoussante. On voit la crasse, on sent la puanteur, on a l'impression que la misère et la cocaine, les prostituées les voleurs, les délinquants, les meurtriers, les allumés, les escrocs en costumes cravates peuplent tous les coins de rue. Si le NY des années 70 c'est ça, et bien je suis heureux d'être né dans les années 80.

En résumé, j'ai vraiment subi ce livre d'un bout à l'autre, je me suis littéralement battu pour le terminer, le lire jusqu'à la dernière ligne pour finalement devoir admettre que city on fire n'a provoqué chez aucune autre émotion que de l'agacement voir la colère. J'ai le sentiment d'avoir perdu mon temps avec ce livre, 900 pages à lire, à mon rythme qui est dans la moyenne il me semble, il m'a fallu 15 à 20 heures pour en voir le bout. Presque une journée pour rien. J'ai lu, j'ai lu et j'ai continué à lire en me disant qu'arriver là et vu le temps que j'y avais déjà consacré il serait dommage d'arrêter. J'ai déjà lu tant de pages, il m'a paru dommage d'abandonner alors qu'allait probablement survenir quelques lignes ensuite la révélation qui allait faire de cette oeuvre le chef d'oeuvre tant espéré. La révélation attendue jusqu'à la dernière ligne n'est jamais arrivée.

Finalement city on fire a trouvé son public et c'est bien là l'essentiel. Des gens l'ont apprécié à sa juste valeur et vu la somme colossale de travail qu'il a dû demander, ça ne me paraît être que justice. J'admets ne pas avoir trouvé la clef qui m'aurait permis d'en profiter comme il se doit. Je ne pense pas que ce livre soit mauvais, j'estime simplement n'y avoir rien compris malgré le fait d'avoir essayé jusqu'au bout.
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Une étoile pour le poids
Après avoir lu les derniers Chattam, Grangé, giacometti-ravenne, Grisham , ce livre est désespérément lent , long et mou .
On dit de certains qu ils s écoutent parler , je crois que l auteur se regarde écrire .
1000 pages , j ai réussi à atteindre 200 , je suis fier !
Économisez 24 euros .
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Factuellement parlant, je ne devrais pas classer ce livre dans ma pile "Lu".
En effet, c'est après un certain acharnement que j'ai repose ce livre que je n'ai pas pu terminer.
Même si une histoire ne me plait pas, il est très rare que je repose un livre sans l'avoir fini...
Mais impossible de rentrer dans cette histoire, avec beaucoup de personnages différents. On sent que les destins vont s'entrecroiser (et on le voit apparaître très rapidement) mais pour moi impossible de persister.
Ce livre aura eu raison de moi, qui sait je le reprendrai peut-être dans quelques années pour m'y replonger...
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Ambitieux certes, recherché dans la composition évidemment, mais il manque le style, le petit quelque chose qui fait que l'on s'attache aux personnages et qui nous rend triste de les quitter lorsque arrive la fin. Tout est mis à distance. Pourtant la trame est bien là et les idées foisonnent sur plus de 963 pages. C'est un peu : " tout ça pour ça ! " . Bien sûr c'est un premier roman et donc comme tel "coup de chapeau".
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