.il y a dans ce recueil quelque chose qui ressemble aux engrenages crantés des machines à mesurer le temps. Chaque bloc de vers paraît être un étalon, chacun indépendant et chacun susceptible d’entraîner le suivant. Parfois les dents ne s’accrochent pas, l’unité de temps reste alors isolée et se met à tourner seule comme le toton d’un enfant. Et à l’intérieur les vers eux-mêmes se désolidarisent, s’entrechoquent, les mots se bousculent, se dépassent, perdent leur pl... >Voir plus