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Après Vide Qui Songe et Vide Temporel, voici le dernier volume de la trilogie du vide.

Araminta, la seconde rêveuse, est partie sur les chemins silfens et va s'affirmer comme une puissance incontournable de cet univers et un élément clé de l'histoire.
Justine Burnelli est dans le vide et attend du renfort pour s'attaquer à la racine du petit problème qui menace l'existence même du reste de la galaxie.
Aaron, Oscar, Mayo, le livreur, la chatte et pléthore d'autres personnages continuent de jouer au jeu du chat et de la souris pour remplir leurs objectifs plus ou moins obscurs (qu'on se rassure, tout trouvera son explication).

Un ultime opus dans la même veine que les deux précédents. On navigue avec délice dans l'univers particulièrement bien développé du Commonwealth (hars sf cyberpunk), tout en s'offrant de récréatives poses dans celui, plus basique et accessible, d'Edéard (fantasy).
On pourra éventuellement reprocher un rythme un peu plus lent au récit avant que tout ne s'accélère dans les deux cents dernières pages. Et puisque tout le monde, ou presque, y va, dans les différentes critiques du livre, de son commentaire dithyrambique ou désabusé, je me permets à mon tour d'y apporter mon éclairage.
Pas de fin WTF (tapez les initiales dans votre navigateur si vous ne savez pas ce que cela veut dire), pas de fin téléphonée, pas de fin incompréhensible. Non. Une conclusion à la mesure (ou la démesure) du livre. Une conclusion logique qui ne laisse (presque) aucune zone d'ombre. Bref tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes...

Cher M. HAMILTON, mon sens critique et mon intérêt pour votre prose s'est affiné et renforcé à la lecture de vos romans fleuves : l'aube de la nuit, l'étoile de pandore et cette trilogie du vide. A quand le suivant ? (La Grande Route du Nord, seulement 1000 pages, voyons...)
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Bof, bof, bof... Au terme des ces presque trois mille pages je ne suis pas beaucoup plus avancé qu'au début ! Il y a bien une fin, assez incompréhensible, comme une bonne partie de ce qui a précédé, qui doit être une sorte de happy end. Mais j'ai été quasi totalement perdu dans le foisonnement du récit, j'ai lâché prise, me suis délecté de quelques moments de bravoure plus réussis, ai survolé les longs passages verbeux. Bref, j'ai quand même le sentiment global d'un ratage par trop-plein.
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Difficile de parler de bouquins, trois en l'occurrence dont la lecture s'est étalée sur de longs mois en raison du rythme de parution au format poche. Au moment de m'y atteler je me dis que j'aurais sans doute dû faire 3 posts, un pour chacun des énormes volumes (8/900 pages chacun).
La trilogie du Vide fait suite à l'Etoile de Pandore, qui se situe donc dans le même univers. Ensemble ils forment la Saga du Commonwealth. Dans cet univers les humains ont colonisé de nombreuses planètes, voyagent entre elles grâce à des trous de vers ou des vaisseaux allant plus vite que la lumière. L'espèce humaines s'est différenciée entre différentes branches (hautes, avancée, accélérateurs etc) qui se distinguent par leur maîtrise, leur usage de la technologie ainsi que par leur désir d'évolution (l'évolution suprême, l'horizon, étant d'accéder au statut d'être post-physique). Des nombreuses espèces E.T. peuplent également cet univers. Voilà pour le contexte.

Au coeur de notre galaxie, se trouve le Vide, un trou noir massif d'origine artificiel à l'intérieur duquel existe un univers parallèle dont les lois de la physique divergent des nôtres. La particularité de cet univers et qu'il donne la possibilité à ses occupant de "réinitialiser" leur existence, de faire de leur vie celle dont ils rêvent. Toutefois, cette réinitialisation a un prix : le vide a besoin d'énergie. de beaucoup d'énergie. Aussi pour s'alimenter, il dévore l'espace qui l'entoure (planètes, soleils etc) menaçant par la même l'existence des espèce qui y vivent. Voilà pour les enjeux.

Les personnages, humains pour la plupart forment un ensemble pour le moins hétérogène. Hamilton semble a ce titre aimer les personnages féminins, ayant un gros penchant pour le sexe (cela occasionne quelques scènes cocasses même si elles n'apportent pas grand chose au récit) et une forte propension à sauver l'univers. Rien que ça.
L'une des originalités de ce cycle tient dans l'alternance des chapitres qui se déroulent au sein de l'univers "classique" et ceux qui se déroulent au sein du vide. le contraste est assez saisissant puisque dans un cas on un univers sf tendance hard-science (avec d'ailleurs des passages descriptifs bien lourdingues où j'ai parfois eu du mal à saisir grand chose) et dans l'autre quelque chose qui s'apparente à de la fantasy (même si les propriétés "exotiques" du vide font relativiser cette classification). Contraste également dans le ton puisque si l'un est cynique, l'autre dégouline un peu trop de bon sentiments et autre mièvrerie A ce titre, l'un des personnages centraux, Edeard pour ne pas le citer, m'a un peu lassé. Trop lisse, trop niais. Trop con.
Bref, lors de la lecture de l'ultime volume les chapitres situant leur action dans le vide ont été...calvaire serait trop dur...disons guère passionnant. D'autant que leur conclusion laisse un sentiment plus que mitigé sur la nécessité de les avoir autant développé. et c'est là que l'on tombe sur un des défaut majeur du cycle : le délayage. Une habitude de trop nombreux auteurs, poussée ici à son paroxysme.





N'aller pas croire pour autant, que le cycle ne mérite pas le détour. Bien au contraire. mais il aurait sans doute gagné à être un peu plus ramassé et certains personnages à être un peu moins caricaturaux. Cela n'enlève toutefois rien à ses qualités : il sait se montrer haletant (malgré certaines longueurs , le suspense étant entretenu par l'alternance et la multiplication des points de vue, il est original dans son traitement même si ce n'est pas parfait, et l'univers est très riche. comme dernier reproche je citerais la fin un peu trop "what the fuck" même si elle a le mérite - ou non - d'être ouverte. J'imagine sans mal que la saga du Commonwealth est loin d'être terminée.
Lien : http://latavernedugeek.blogs..
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Le troisième et dernier volume de la trilogie du vide.

Le début démarre bien : la tension continue de monter et Araminta, la deuxième Rêveuse, revient au grand jour et prend le contrôle du Rêve Vivant. Gore et Justine suivent leur petit bonhomme de chemin pour résoudre le problème dans leur coin. Edreard apprend à maitriser ses nouveaux pouvoirs…
Certes, je sur-résume pour faire court, car cela s'étale sur pas mal de pages.

Tout ce beau monde converge vers le vide pour y rencontrer Edreard.

C'est là qu'à mon avis, cela se gâte, car on a l'impression que Peter Hamilton n'a plus trop su quoi faire de tous ses personnages et a inventé un sorte de fin happy end, peu crédible et plutôt bâclé.

Dommage, car la série avait bien commencée et l'idée du Vide en expansion relié aux rêves était plutôt originale.
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Difficile de rédiger un avis sur ce troisième tome de la trilogie du vide (d'ailleurs peu s'y sont risqués !). Ce roman est dans la droite ligne des précédents, et vient clore une intrigue monumentale (près de 2500 pages) d'une manière qui ne dépare pas... Qu'ajouter d'autre à mes deux précédents avis ? Ah, oui, une toute petite nuance : j'ai été un peu attristée de ne pas retrouver le côté "fantasy" de l'histoire d'Edéard dans ce volume. A mon sens, ce ton différent venait alléger un univers très dense et fournissait un agréable contrepoint à une tonalité plus scientifique. Mais évidement, pour clore l'histoire, il fallait bien que tout le monde se retrouve dans le même univers !
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Un peu mieux sur ce tome finale, on comprend ce que l'auteur à voulut faire. Beaucoup de choses sont misent en avant tout au long de cette trilogie, évolution de l'espèce, croyance, la peur de l'inconnu. le monde parallèle du vide met en avant tout au long du livre en un personnage pouvant passé pour notre propre messie. (la fin est vraiment trop prévisible). La réflexion de Hamilton est donc très intéressante sur ce point. le final comme on peut s'y attendre est à la mesure de ce que l'auteur nous a déjà monté. Hélas c'est du déjà vu et on peut même dire que s'est un peu bâclé, comme s'il voulait en finir au plus vite avec ce cycle pour passé au suivant. Bref rien exceptionnel mais cela reste correct, même si on pouvait attendre mieux de la part de l'auteur.
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isbn:9782352944799
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Tout se termine bien... mais par quoi il a fallu passer...
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Un space-opera bien mené, une jonction SF / Fantasy (moindre que dans les précédents tomes de cette série), et un petit bémol sur la façon de mener la fin de cette trilogie.
La saga en elle-même, tous tomes compris, est excellentissime : à recommander donc... C'est un bonheur pour vos pupilles.

Chronique complète : http://plume-etoiles.blogspot.fr/2013/05/TrilogieVide-T03-Videtemporel.html
Lien : http://plume-etoiles.blogspo..
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