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3,63

sur 221 notes
Premier tome très classique pour cette bd de post-apo avec de jeunes héros, de retour dans le vrai monde après deux semaines au fond du Bayou et qui découvrent que le monde proche fait face à un mystérieux virus transformant les humains en monstres végétaux.
Les dessins sont sympa, mais vu la taille de l'album, il y a trop de cases par page pour pouvoir pleinement les apprécier.
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Malgré une idée de base assez classique depuis quelque temps, le scénario est bien ficelé et ce qui pourrait tourner au déjà vu prend plutôt un tournant original et intéressant.
Les dessins sont tout à fait adaptés au public visé ( plutôt grand ado) et au scénario.
J'espère que la suite sera à la même hauteur.
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C'est l'histoire de Lucas, Naia, Linda, Beth, Sato et Noah, une bande d'amis dont la vie va basculer. C'est un groupe de jeunes canadiens qui sont venus pour faire une classe dans les marais de Louisiane. Mais il y a quelques contraintes et rien ne se passe comme prévu. Un virus se répand, le HBV2, les gens sont transformés à son contact et l'armée pourchasse les contaminés. Nos amis vont-ils pouvoir leur échapper ? E.K

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De jeunes Canadiens reviennent des marais de Louisiane, où ils étaient en classe verte. Ils sont fatigués, ils puent, en ont marre et ne désirent qu'une chose : rentrer dans leur foyer et prendre un bain.

Oui, mais, durant leur petite virée scolaire dans les marais, une épidémie foudroyante s'est déclarée, transformant les infectés en espère de cousins de "Je s'appelle Groot". Bref, personne n'a envie de se retrouver en sosie De Groot des "Gardiens de la Galaxie".

Comme dans toutes les pandémies, on isole les infectés, on ferme tout et on abandonne les autres derrière un grand mur, version plus grande que celui que Trump voulait construire et surtout, bien plus haut et infranchissable.

Tout le monde accepte la situation, dans notre groupe de jeunes ? Non, 5 d'entre eux décident de rester avec leur pote Noah, infecté.

Ce récit ne manque pas d'action, de rebondissements et ne perd pas de temps à planter l'histoire. C'est brusque, trop brusque. Ce qui rend les choses un peu plus difficiles à comprendre, notamment avec les jeunes qui viennent d'un foyer.

On ne saura pas non plus comment cette épidémie foudroyante s'est déclarée (peut-être dans les albums suivants?).

L'atmosphère est à la "Walking dead", puisque les personnes atteintes par le virus deviennent décérébrées, comme des zombies, avant de virer en créatures bizarres.

Les dessins sont expressifs, je n'ai pas à me plaindre d'eux, mais le scénario de ce premier album, s'il est efficace en action, reste un peu bancal : une bande d'ados qui résiste, qui tente le survivalisme, qui se chamaille sans cesse et qui bien souvent, agissent d'abord et réfléchissent ensuite.

Bref, une bande de têtes à claques qui oscillent entre sympathiques et chiants. Ils sont attachiants et manquent parfois de finesse. Des ados, quoi !

Malgré tout, j'ai apprécié ma lecture, j'ai envie de savoir ce qu'il va arriver à cette bande de gamins, perdus dans la vie, qui se raccrochent à leur petite bande parce que c'est tout ce qu'ils ont, c'est leur famille.

Ils s'engueulent, mais il y a un semblant de solidarité, l'amitié les rassemble et bien que certains regrettent d'être restés derrière le mur, ils vont se serrer les coudes (et serrer les fesses aussi).

Les codes des séries Z post-apo et de pandémie sont réunis, sans pour autant que cela tourne au récit neuneu. On connaît les comportements humains face à ce qu'on ne connaît pas, face à la peur, face à ce qu'on ne maîtrise pas : la violence, les viols, les armes à feu, les meurtres.

Il n'y a que quand un moustique se pose sur un de ses couilles que l'homme n'a pas recours à la violence (et s'il le fait, il en assumera la douleur).

Pas conquise à 100 %, mais j'ai tout de même envie de voir ce que les trois autres albums me réservent, afin de me faire un avis général sur cette série post-apo qui met en scène des ados en marge de la société et les fait affronter une violence qui n'est pas habituelle.
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Extrait :
J'ai découvert cette série par pur hasard lors du premier confinement, BD Fugue proposait des premiers tomes en lectures gratuite pendant un certains temps, celui-ci en fait parti. Et on peut dire qu'il était un peu dans le thème ! Il y a également d'autres titres qui m'ont bien attiré, mais pour le moment, c'est la seule série que je suis (d'ailleurs, le tome 4 vient de sortir…). Vous vous en doutez donc un peu, mais j'ai grandement appréciée ce premier tome, au point d'avoir déjà trois tomes dans ma collection. J'attendais d'avoir réalisé la chronique du premier tome pour me lire le suivant. J'en profite également pour agrandir le nombre de chronique BD qui sont vraiment pas nombreuses, c'est donc d'une pierre, deux coups ! ^^

L'intrigue nous place autours d'un groupe d'adolescent canadien ayant fait une sortie scolaire dans un trou paumé quelque part en Amérique. Coupé de tout, ils n'apprendront l'existence de l'épidémie qu'au moment de retourner chez eux. Manque de chance, Noah semble avoir contracté le virus… Celui-ci n'ayant aucun remède à l'heure actuelle, le gouvernement met en place des murs pour isoler les zones touchées. Notre groupe fini inévitablement coincé derrière celui-ci car ils ne voulaient pas l'abandonner. Il y aura plusieurs saut dans le temps (de quelques jours), pour faire évoluer l'état de Noah ainsi que de l'équipe en général. L'histoire commence à vraiment devenir intéressante à la fin du tome, où la transformation de Noah est assez avancée !

Tous les membres du groupe ne sont pas resté, beaucoup sont partis est c'est compréhensible, tant d'un point de vue humain, que scénaristique. le groupe de Noah, se demande si la maladie va se propager jusqu'à chez eux au Canada, vu le bestiau à la fin, je doutes que des murs soient suffisant pour retenir tous les malades… si on peut encore les nommer ainsi. Il est plusieurs fois évoqué qu'ils font parti d'un foyer, j'imagine donc qu'ils ont tous des soucis familiaux, seul l'histoire de Linda a été (rapidement) évoquée. Pour l'instant, ils ne sont donc pas encore entièrement développé, mais c'est normal, le format BD est très court à côté du manga, j'attends donc le reste patiemment.

[...]
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Alors que des jeunes Canadiens sont en classe verte en Louisiane, ils découvrent, alors qu'ils retrouvent la civilisation, qu'un mystérieux virus ravagent l'humanité. Et quand l'un d'entre eux est contaminé, ils doivent faire un choix…

Cette bande dessinée post-apocalyptique est prenante car menée à tambour battant. Mais je suis une lectrice assez pragmatique, du coup quand on me parle virus, je veux en savoir plus sur son origine et ses caractéristiques. Ici, on nous donne quelques éléments pour renforcer l'aspect dramatique du récit-le virus modifie l'ADN humain et transforme ces êtres en zombies végétaux ultra-violents- mais rien de concret concernant la propagation de celui-ci. Ainsi, on nous dit que le virus est ultra contagieux mais des ados côtoient de près l'un des leurs contaminé sans jamais être inquiétés. de plus, ce membre de leur groupe a été contaminé alors qu'ils vivaient éloignés de toute civilisation durant plus de deux semaines, ce qui pose la question de l'origine de sa contamination. Et c'est souvent là que le bât blesse avec moi quand je suis face à ce type de récit. Mon esprit rationnel ne peut s'empêcher de se poser des questions sur des détails de crédibilité alors même que je sais que ce n'est pas ce qui intéresse les auteurs dans ce type d'histoire. En effet ces derniers, et c'est le cas ici aussi, se penchent plus sur les comportements humains face à une pandémie : doit-on éliminer les contaminés pour protéger le reste de la population ? Est-ce moral d'abandonner un proche alors qu'on le sait voué à disparaître ?... Des questions très intéressantes en soi -et assez bien menées ici- mais qui, pour moi, ne suffisent pas à colmater les brèches de la crédibilité qui est mise à mal dans ce récit.
D'un point de vue graphique, je n'ai pas été spécialement séduite mais le coups de crayon n'en restent pas moins efficaces.

Malgré quelques bémols, je ne doute pas que ce récit efficace saura plaire à des lecteurs qui se posent moins de questions que moi et qui ont surtout envie de lire une histoire survivaliste accordant une grande place à l'importance de liens familiaux et amicaux.
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Encore une pandémie et encore un scénario façon apocalypse zombies ? Pas vraiment.
Green Class c'est l'histoire de jeunes Canadiens qui essaient de rentrer d'un voyage scolaire en Louisiane. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une maladie inconnue s'est propagée pendant qu'ils étaient paumés au milieu des marais.

Si le début de la BD est très classique et pourrait faire penser à n'importe quelle autre histoire de virus zombies, j'ai été très contente de constater que ce virus là a une petite originalité : il transforme peu à peu les personnes infectées en des espèce de monstres plantes/arbres. Voyez Groot dans Marvel ? Même apparence, mais avec en plus la perte de langage, de conscience ou de souvenirs de leur vie d'avant.
Le groupe de jeunes que l'on suit va bien évidemment être très rapidement plongé dans ce monde fou et tout se corse quand l'un des leurs est contaminé. Mais pas question de baisser les bras et d'achever leur ami, une solution doit bien exister.

Le tome 1 est certes court mais il explique bien les bases de l'univers et l'action ne manque pas, les choses bougent tout le temps, pas le temps de s'ennuyer !
Grâce aux ellipses, les adolescents grandissent et tissent des liens, permettant d'aborder les thèmes récurrents de la famille, de l'amitié et l'amour, de la loyauté dans l'adversité, de l'écologie, de la survie et de la mort.
J'ai particulièrement aimé la fin que je n'avais pas vraiment vu venir. Elle amène plein de questions et promet une suite intense que j'ai hâte de lire !

Radar à diversité : personnages racisés
TW : hôpitaux, blessures, violences physiques et verbales, tentatives de meurtres
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Un groupe d'ados canadiens rentre de classe verte quand il découvre qu'un virus terrifiant a frappé les Etats-Unis, infectant des milliers de personnes qu'il transforme en êtres végétaux dépourvus de volonté. La zone où ils se trouvent est murée. L'un d'eux, Noah, est infecté. Ses cinq amis, dont sa soeur Naïa, refusent de suivre les autres en dehors de la zone et de rester auprès de lui. le petit groupe trouve refuge dans une maison abandonnée et découvre, en allant chercher des provisions, que les infectés peuvent se montrer très violents. Pendant ce temps, Noah change et ne communique plus du tout avec ses amis...

Un avis pour les trois tomes :
Les amis vivent de nombreuses aventures dans une région dévastée, parviennent à échapper à l'attaque d'infectés, puis découvrent que Noah n'est rien moins que leur Alpha. Ces êtres ne sont pas le résultat d'une métamorphose d'humains contaminés par un étrange virus, mais des créatures venues d'un monde parallèle dont les portes ont été ouvertes par un scientifique ivre de pouvoir qui oeuvre aux côtés de l'armée. le scénario, plutôt cohérent dans le premier tome, devient de plus en plus délirant et parfois difficile à suivre. La difficulté est accrue par le choix du graphisme, inspiré du manga pour les bruits ou les mouvements, voire pour les visages qui se ressemblent beaucoup. Enfin, outre la confusion entre les personnages, les phylactères sont parfois difficilement lisibles. L'idée de départ s'essouffle, dans un scénario qui n'exclut pas quelques inspirations complotistes.

Lien : http://usine-a-paroles.fr/le..
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Le HBV2 se répand comme une traînée de poudre. Avec la particularité de se fixer sur les gènes, il transforme rapidement son hôte en une sorte d'humanoïde végétal ! clairement cela m'a fait pensé à Groot. Seul bémol, la personne infectée perd peu à peu la mémoire et devient un « monstre »

C'est dans cet univers post-apocalyptique, ou plutôt en pleine pandémie, qu'on fait la connaissance d'une bande d'adolescents placés en foyer qui rentre de classe verte. mais l'un des leur est contaminé et bien que québécois on ne leur laisse pas franchir la ligne jusqu'à l'aéroport. un choix titanesque les attend : Fuir au Canada par le dernier avion ou rester avec leur pote Noah qui est infecté !

Green class, le titre me faisait pensé à un titre sur l'écologie mais on tombe plus sur une version « adolescente » de Walking dead si les humanoïdes sont comparés à des zombies. le graphisme est très sympa, l'enchaînement plutôt logique et embarquant. L'évolution des infectés est rapide et leur transformation colle à l'idée qu'on se fait de ce nouveau virus. Pour un premier tome, me voilà plutôt emballée et curieuse de voir la suite !
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Alors qu'ils sont en sortis, un groupe de jeunes et leur professeur découvre qu'une terrible épidémie sévit dans le pays. le virus se propage vite et transforme ses victimes en monstres qui perdent peu à peu pied avec le monde réel. Alors qu'ils s'apprêtent à quitter cet enfer pour retourner chez eux, l'un des élèves est déclaré contaminé par le virus. Pour limiter la propagation de l'épidémie, les autorités militaires décident d'enfermer les contaminés et leurs proches derrière une mur immense…
En ces temps de pandémie mondiale, les sujets à base de virus tueurs ou d'épidémie mondiale ont un petit écho en plus par rapport à l'actualité. Pour cette série, on s'éloigne tout de même du sujet car le virus mute vers un genre plus horrifique science-fiction que réalisme. C'est peut-être cette orientation de l'histoire qui m'a un peu déçu malgré un début prometteur.
Le rythme du récit est plutôt soutenu, l'histoire est plutôt sympathique mais les personnages manquent de charisme ou du moins de personnalité. Je ne sais pas si c'est le côté « ado » clairement assumé qui donne cette impression mais j'ai du mal à faire preuve d'empathie pour les personnages qui sont fades voire stéréotypés.
J'attends de voir quelle direction va prendre l'histoire pour me faire un avis de cette série qui a un potentiel intéressant mais dont le récit a du mal à décoller.
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