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3,63

sur 219 notes
J'aime beaucoup la littérature post-apocalyptique même si je connais moins ce genre en BD. J'aime aussi le Canada et m'intéresse à la Louisianne. Et pour finir j'aime lire sur le thème de l'enfance et de l'adolescence. Green Class avait donc tout pour me plaire. Pourquoi ai-je donc été déçue ?

C'est d'abord cette brusque entrée en matière qui m'a surprise. On se retrouve immédiatement dans le vif du sujet sans avoir eu le temps de bien saisir où l'on se trouve et qui sont tous ces personnages. Même si l'on apprend par la suite à connaître ce groupe d'ados canadiens en classe verte en Louisiane, j'avoue ne pas avoir réussi à retenir leurs noms en refermant la BD...

Justement, les personnages sont un autre point qui m'a gênée. J'ai trouvé qu'ils manquaient de finesse, que leurs actions et leurs choix n'étaient pas assez vraisemblables. J'ai relevé plusieurs facilités narratives également, avec quelques revirements expéditifs.

Enfin, j'ai remarqué que le passage d'une vignette à l'autre manquait parfois de justesse (avec l'impression d'avoir sauté une page) et que l'illustrateur manquait de finesse dans sa représentation du mouvement.

Mais pourquoi 3 étoiles alors me direz-vous ? D'abord parce que la base de départ est fort bien trouvée (un virus transforme les êtres humains en une sorte d'êtres végétaux) et que la trame narrative se suit tout de même avec plaisir.
Et puis j'ai aimé que les auteurs amènent une réflexion sur la part de bestialité et la part d'humanité qui cohabitent en chacun de nous.
Enfin, si l'illustration manque parfois de finesse, elle est cependant très agréable à l'oeil (quant à la couverture, elle est splendide).

J'ai donc tout de même pris plaisir à découvrir Green Class et attend beaucoup de la suite pour venir à bout de ces premiers défauts.
Merci à Babelio et aux éditions Le Lombard pour m'avoir permis cette découverte.
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La couverture de « Green class » me laissait penser qu'il s'agissait d'un survival. Ce n'est pas vraiment le cas. le sous-titre aurait dû me fournir un indice. En effet, ce 1er tome s'intitule « Pandémie ». Au début de ma lecture, j'ai craint qu'il ne s'agisse d'une sorte de « Walking dead » version ados. Mais heureusement, la suite du récit prend un chemin plus original et plus intéressant.
Je passerai rapidement sur le dessin qui n'est pas vraiment ma tasse de thé et dont le découpage manque parfois d'efficacité. Je préfère évoquer le scénario qui est le point positif du récit. Comme je l'ai dit, après un début très classique, le récit prend une tournure assez inattendue. En effet, il ne s'agit pas ici d'une apocalypse zombie, la pandémie dont il est question dans « Green class » est bien plus originale et j'ai trouvé ça bien trouvé. D'autant plus que ça permet à Jérôme Hamon, le scénariste, d'aborder le thème de la contamination sous un angle presque intimiste, en tout cas où les sentiments sont très présents. C'est vrai que le côté ado est assez marqué et que les dialogues ne sont pas très bons mais j'ai été suffisamment séduite par le sujet pour avoir envie de lire la suite.

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Il est méchant, ce Groot ! Fan de récits survivalistes avec un virus mutant, j'avoue avoir directement craqué en regardant les couvertures des deux premiers opus. Je me demandais ce qu'allaient affronter ces jeunes ados : zombies, monstres, aliens, bestioles originales ? Finalement, la réponse arrive dès les premières pages… Il s'agit d'hommes-plantes ! La pandémie du virus HBV2 semble être terrible et implacable : le HBV2 se fixe sur l'ADN de ses hôtes, puis en prend totalement possession jusqu'à les changer en végétaux humanoïdes à la manière du Cordyceps (The Last of Us). Comme pour les morts-vivants, les infectés perdent le langage, leurs repères et oublient tout de leurs proches… Bien que ces éléments soient classiques, j'ai beaucoup aimé ma lecture. Tous les codes du genre Z sont réunis, notamment dans le premier tome qui pose bien les bases de l'histoire, tout en proposant de l'action, du suspense et des passages sensibles.

C'est avec plaisir que j'ai suivi Noah, sa soeur Naïa ainsi que leurs amis Linda, Beth, Sato, Lucas. Ces ados canadiens vont rapidement devoir faire face au virus, puisqu'en quelques pages, on rentre dans le vif du sujet : Noah va se faire infecter et va radicalement muter. On va alors suivre ces jeunes au quotidien que ce soit dans un petit chalet isolé, en pleine nature ou dans un camp de survivants. le moins que l'on puisse dire, c'est que le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer ! Les choses bougent tout le temps et la tension est constante. Certes, on retrouve les thématiques déjà vues/lues (amitié, amour, famille, loyauté, survie, violence, mort, écologie, etc.), mais elles sont plutôt bien creusées. de plus, les auteurs n'hésitent pas à faire une ellipse afin que l'on puisse voir les adolescents évoluer, tisser des liens et s'adapter à ce nouveau monde.

Par ailleurs, bien qu'ils soient sombres, les graphismes m'ont séduite. Les héros sont aisément reconnaissables et ont des apparences ainsi que des origines très éclectiques. Les planches sont assez chargées et énergiques, mais je n'ai pas eu la sensation d'action trop rapide ou de dialogues trop présents. Bien sûr, il y a pas mal à lire, car les personnages discutent beaucoup néanmoins, cela ne m'a pas dérangée. Ces graphismes, l'atmosphère post-apocalyptique et le dénouement surprenant m'ont donné envie de directement enchaîner avec la suite !
Lien : https://lespagesquitournent...
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J'ai essayé de sortir un peu de mes lectures habituelles avec ce premier tome de Green Class...

Un virus qui transforme progressivement les êtres humains en monstres, un groupe de jeunes canadiens qui débarque, après quelques jours d'isolement, dans un monde plongé dans le chaos... cela me change !

Et me confirme que, décidément, je ne suis pas un immense fan de ces séries post-apocalyptique. Je reconnais que l'histoire est dans un premier temps plutôt prenante (quoiqu'un peu bavarde), mais j'ai fini par décrocher face aux multiples péripéties...

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J'ai découvert cette BD par hasard et j'ai hésité à la lire car ce n'ai pas le genre d'histoire que j'affectionne d'habitude mais j'ai trouvé cette BD intéressante. J'ai apprécié suivre les aventures de ces jeunes canadiens partis en classe verte et qui suite à un virus vont se retrouver coincer dans un pays étranger.
Le graphisme est bien réalisé
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Ambiance post-apocalyptique, une bande d'amis se retrouve face à une épidémie virale faisant muter les humains en êtres végétaux sanguinaires. Parmi les amis, un est déjà contaminé et toute la bande fera tout pour le protéger des révoltes. Ça se lit vite et je comprends que ça puisse attirer les jeunes. Par contre, je trouve vraiment les personnages surfaits et aux clichés peu originaux "badass". Les dessins sont agréables et le style comics convient très bien au pitch. Allez, je pense tout de même poursuive pour la forme !
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Un virus qui se propage de façon exponentielle et qui transforme les malades en zombies, un groupe d'ados enfermés dans une zone de confinement avec sur les bras un de leur copain contaminé : voilà un pitch très prometteur.

L'histoire est sympa et se suit avec plaisir même s'il y a quelques bémols à souligner : des personnages peu étoffés, des retournements de situations faciles et une mise en place un peu trop rapide.

Malgré tout, j'ai apprécié ce premier volet et je lirai le deuxième en espérant qu'il soit plus consistant.
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Le moins qu'on puisse dire est que "Green class" démarre sur les chapeaux de roues ! Dès les premières planches, on est témoin de la terrible pandémie qui se répand et de la panique qu'elle suscite. J'avoue avoir été surprise par ce démarrage plutôt brusque. Alors qu'on découvre seulement le premier tome, on a le sentiment de lire le second, de prendre l'histoire en cours de route. Entre les personnages, le lieu de l'action, la pandémie, les dessins... cela fait beaucoup d'éléments à "assimiler" en même temps.

Pourtant, cela ne m'a pas gâché la lecture de ce tome, bien au contraire. Je trouve que les auteurs ont été malins de débuter ainsi leur série. de cette façon, le lecteur se retrouve confronté à la pandémie de la même manière que le groupe d'adolescents au coeur de la BD, c'est-à-dire soudainement et involontairement. L'immersion est donc rapide, efficace.

Pour l'instant, je ne peux pas dire que je me suis attachée aux personnages. Ces derniers manquent un peu de finesse à mon goût. Mais il faut dire qu'il y a tellement de scènes d'action que cela laisse finalement peu de place au développement même des personnages. Pour ce qui est du dessin, je l'ai tout de suite apprécié. C'est énergique, moderne. Les décors comme les personnages sont bien travaillés. J'ai énormément aimé les crayonnés qui sont rassemblés à la fin du tome.

Le dénouement de ce premier tome relance habilement l'intrigue. J'ai vraiment hâte d'en savoir plus sur cette mystérieuse pandémie et ses effets sur l'homme. Car ce qui est aussi intéressant dans cette série, c'est de voir comment l'Homme se retranche dans la violence, dès lors qu'il est confronté à quelque chose qu'il ne connaît pas et ne maîtrise pas...
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Résumé : Des jeunes ados canadiens vont retourner dans leur pays après une classe verte d'excursion aux Etats-Unis. Mais ils vont découvrir qu'un virus décime les habitants de la ville et les transforme en zombis. Impossible de quitter le territoire. Et l'un d'eux se retrouve contaminé par le virus…

Mon avis : Cette BD donne le ton dès la couverture : noir c'est noir, et parfois un peu gore ! Autant le dire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché à cette BD, même si j'aime bien les histoires apocalyptiques, mais je crois que je les préfère en romans.

J'ai eu du mal à identifier les différents personnages, notamment les garçons, jeunes ados un peu perdus et en marge, qui vivent en foyer, et ont réussi à nouer des liens entre eux. J'ai trouvé que les dessins et les situations me gênaient pour cette histoire, peut-être que je préfère faire travailler mon imagination ou que le graphisme ne m'a pas attirée.

Le scénario est plutôt intéressant : des jeunes pris au piège de l'une ville, où les survivants cherchent à fuir, à tuer les malades, ou à voler et piller dans les magasins, et où le groupe de jeunes va devoir faire des choix par rapport à leur ami contaminé, mais l'ensemble ne m'a pas du tout convaincue, loin de là. Une série dont je ne lirai probablement pas la suite.
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Encore une bande dessinée de post apocalyptique, sur le thème de la pandémie genre Walking Dead, avec au centre de l'histoire, une bande d'ados rebelles.
Le dessin est léché, mais très classique, avec des effets de mouvement faits de stries systématiques, une mise en page serrée, un réalisme froid, pas trop ma tasse de thé. ça m'agace toujours quand la bande dessinée se prend pour du cinéma. Les dialogues sont à la limite du supportables, avec l'usage des mots à la mode, relou, chelou, badass, de ouf, et surtout, les personnages sont un ramassi de têtes à claques, de frimeurs, ils passent leur temps à s'envoyer ch… en fait les stéréotypes sont tellement caricaturaux, que même l'histoire n'arrive pas à m'accrocher. C'est la mode des récits de zombies, et du post apocalyptique avec un groupe d'ados, mais là, je commence sérieusement à saturer, j'ai toujours l'impression de lire la même histoire.
J'ai pris cette bande dessinée à la médiathèque parce qu'elle fait partie de la sélection ado du prix des lecteurs “Du vent dans les BD”, organisé par les médiathèque du Finistère, il est en compétition avec “La boite de petits pois” de GiedRé et Holly R, “Dans la tête de Sherlock Holmes” tome 1 de Benoit Dahan et Cyril Liéron et “Raowl” de Tébo, autant dire, pour moi “Green Glass”l ne tient pas la comparaison.
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