Le Livre perdu des sortilèges

Habituellement, j'adore les histoires de vampires et sorcellerie! Pourtant j'ai été grandement déçue de ce roman. Je ne l'ai même pas terminé... Rendu à la moitié du livre, on dirait que l'action n'a toujours pas commencé et je ne voyais pas l'intérêt de poursuivre. Il ne se passe pas grand chose, je crois que c'est surtout un livre d'ambiance. J'écouterai la série télé à la place.

C'est long, c'est très long, c'est trop long. L'ambiance est posée : Angleterre, pluie, vieille université, une femme seule et un mystère. Un de mes styles favoris. le livre est conséquent et l'idée d'une trilogie me plaît. Pourtant, au bout de plus de 300 pages, notre héroïne en est à sa vingtième sortie en aviron et comme tout rameur qui se respecte, ça n'avance pas. C'est vraiment dommage vu la promesse du livre. Résultat des courses : je n'ai pas réussi à aller plus loin, l'ennui était trop profond bien que l'écriture soit bonne.

On ne va pas se mentir, ce livre a été très difficile à lire, même si cela s'est amélioré vers la fin.
Dans cette histoire, nous suivons Diana, historienne et sorcière, qui renie ses pouvoirs depuis la mort de ses parents lorsqu'elle était enfant. Lors de recherches, elle déclenche malgré elle un sort qui permet d'ouvrir l'Ashmole 782, un ouvrage « perdu » et recherché par de nombreuses créatures depuis un siècle. Ce faisant, elle attire donc sorcières, démons et vampires à Oxford et se retrouve au centre d'une guerre entre créatures.
Si l'intrigue de base est très intéressante, elle souffre malheureusement de l'écriture médiocre (mauvaise traduction peut-être ?) et de longueurs. Trop de chichis et quel dommage! La romance entre Diana et Matthew, le vampire vieux jeu de 1 500 ans est flagrante dès le début, en soit cela ne me gène pas, mais qu'ils sont niais ! Et qu'est -ce que c'est que cette idée de se vouvoyer jusqu'à la dernière page ? Non soyons sérieux, passé le barrage de la petite culotte, je dis que le vouvoiement n'est plus nécessaire, on est plus en 1800 ! Ce côté m'a énormément gêné et ne m'a pas permis de me plonger ni de m'attacher à cette romance et ses protagonistes.
L'autre petit point qui a biaisé ma lecture, c'est la surenchère de détails. L'autrice est historienne et on le sait, chaque fait est prétexte à un étalage historique. Alors j'adore l'histoire, mais là, ce n'est pas ce que je recherche dans ce genre de lecture donc ces digressions avaient le don de me sortir complètement de l'intrigue et je trouve cela très dommage.
Heureusement, la seconde moitié du livre a quelque peu sauvé les meubles car l'intrigue est devenue plus complexe, plus intéressante et mystérieuse, déclenchant presque un attrait pour la suite. En effet, les personnages et leur histoire se découvre peu à peu, les pouvoirs de Diana se révèlent et tout devient plus prenant mais clairement, je ne me risquerais pas à continuer, cela n'a pas du tout fonctionné avec moi.

J'ai abandonnée la lecture de ce livre à la page 292. Il n'y a pas assez d'aventures fantastiques dans cette histoire et l'histoire d'amour est ... fade à mon goût.

Une trilogie qui mêle sorciers, démons et vampires. Un manuscrit qui renferme un secret gardé jalousement depuis des siècles. Une sorcière dans le déni qui rencontre un puissant vampire. Une chasse en avant face à des créatures pas toujours bienveillantes.

Tous les ingrédients étaient là pour que je passe un bon moment. En plus, c'est le premier volume d'une trilogie, qui a été adaptée en série télé (pas encore vue). C'était plein de promesses et j'avais hâte de débuter la lecture de ce pavé.
Et bien la sauce n'a pas pris, le soufflé n'est jamais monté, je reste sur ma faim au point que je ne lirai pas les autres tomes.

Le style de Déborah Harkness n'est pas à remettre en cause; c'est fluide, pas trop plat... Par contre, pas moyen que j'accroche ni aux personnages, ni à ce qui leur arrive. J'ai trouvé Diana, l'héroïne agaçante au possible. L'autrice veut en faire une femme forte et j'ai trouvé qu'elle accumulait les jérémiades. Matthew ne m'a pas plus convaincue; je l'ai trouvé très peu crédible dans la peau d'un vampire qui tombe amoureux au premier regard et se transforme quasi en guimauve.
De plus, l'intrigue a vraiment mis beaucoup trop longtemps à décoller et donc, arrivé à la 300 pages, je baillais d'ennui car il ne se passait quasiment rien.

Bref, à oublier très vite.

Voilà un livre qui surf encore sur la mode vampires/sorcières initialisé génialement par Anne Rice. Hélas avec ce livre nous n'avons qu'une pale copie de l'original avec un romantisme dégoulinant poussé à son comble et une histoire malgré certains efforts bien plate. Bref, on s'ennui ferme. le mieux reste de relire du Anne Rice, en plus c'est mieux écrit.

Vous l'aurez compris ce n'est pas une lecture que je vous recommande. Sauf si vous recherchez un bit-lit dont l'histoire est centré sur la romance. Les personnages ne sont pas du tout attachants, c'est même plutôt l'inverse et malgré l'originalité de l'histoire et une intrigue qui aurait pu être vraiment entraînante et addictive, je passe mon tour pour la suite.
Lien : https://thecheshirebook.blog..

Je n'ai pas réussi à rentrer dans ce livre que poutant j'avais hâte de découvrir .Trop de longueur .Je m'attendais plus à découvrir l'histoire de ce livre perdu des sortilèges qu'à une histoire d'amour entre un vampire et une sorcière . Déçue , il ne m'a pas donné envie de lire la suite .

Histoire banale... je dois reconnaître que je ne me suis pas senti happé par ces vampires et sorcières et j ai décroché.... trop de lassitude de mièvrerie ...bref déçu...même si le fond m avait séduit

Diana est une sorcière d'une lignée pure et très puissante, mais suite 'un traumatisme vécu dans son enfance (la mort de ses parents) elle a décidé que la magie en était responsable et n'utilise pas ses pouvoirs, alors qu'elle est probablement l'une des plus puissante sorcière de sa génération. Elle se contente d'une routine scrupuleuse jour après jour : son métier de professeur à l'université, ses recherches et s'entraîner à l'excès. Un jour, elle tombe sur "le livre perdu des sortilèges" et le feuillette sans savoir que le livre contient un sceau inviolable et qu'elle a réussi l'ouvrir alors que ce manuscrit est recherché par toute la communauté des sorciers, sorcière, démons, vampires et autres créatures maléfiques.
Diana, en bonne innocente, se laisse approcher par Matthew, le séduisant et très contrôlant vampire qui se propose d'être son garde du corps privé, car Diana est en danger depuis qu'elle a posé le bout de ses doigts sur le livre des sorcières. S'ensuit le développement d'une histoire d'amour longue et longue (Est-ce pour symboliser l'amour éternel?) pendant laquelle Matthew couvre tant Diana, que la grande sportive qu'elle est ne peut même plus monter les marches d'une tour seule! Elle est trop épuisée pour le faire elle-même! Comble du ridicule, Matthew appelle cette femme "sa lionne" mais elle n'a rien d'une lionne, elle qui ne sait pas mettre un pied devant l'autre.
Elle ne semble plus rien décider par elle-même depuis qu'elle le rencontre. Elle est faible. Trop. Vulnérable. Trop. Elle joue la détresse malgré ses "grands" pouvoirs dont elle ne se sert jamais. Ses arguments face à la magie sont ridicules et incohérents. C'est bien écrit, mais ça manque de développement, de rebondissements, de péripéties, d'intrigues. Un Roman plat et creux, sans saveur.
Un Twilight revisité version adulte avec une Diana à la psychologie d'une adolescente.