Rester groupés

J'avais adoré le premier... donc il était normal que le second, je devais l'acheter.

Bon globalement, j'ai adoré les interactions entre les différents policiers de cette brigade de policiers déjantés avec l'arrivée des nouveaux qui apportent encore un brin de folie à l'histoire. La scène où cette brigade n'hésite pas à se battre contre les supporters de PSG / Chelsea m'a fait rire... et un grand bravo aux agents Pilou et Ratafia (le chien et le rat de la brigade ^^ ).
Le côté décalé de cette série policière est un vrai bonheur à lire. Cela nous change des crimes de sang. Les policiers pour une fois ne sont pas mis sur un piédestal mais plutôt au rang de simple humain avec des hauts et des bas. Sophie Hénaff ose tout dans ses livres ... ainsi Mr Poisse à savoir Torrez se retrouve à disputer la finale du Fer d'or !!!

Par contre, l'enquête... j'ai moins accroché. J'avais compris rapidement qui était le coupable et je me doutais de la manière dont cela allait se terminer. J'ai eu l'impression de retomber dans la même ligne d'intrigue que le premier avec encore une fois... une connaissance de Capestan accusée et condamnée et le reste de la brigade mise au pilori pour cela.

La fin du roman semble présager une naissance.... Cela promet pour le prochain livre de cette série.

Trois recrues viennent compléter la brigade du commissaire Anne Capestan :
* L'un, c'est... D'Artagnan. Il faut dire que le flic sort d'HP.
* L'autre, c'est Diament, rebelle à l'autorité, mais d'une force herculéenne.
* Et le dernier, c'est Ratafia... un rat.
Eh oui, il faut de tout pour former la brigade des moutons noirs !
De belles rigolades en perspective.

J'aime les polars. J'aime l'humour.
Alors ce livre au titre à sonorité militaire m'a évidemment fait de l'oeil.
Mais à chaque fois que je le prenais sur ma pile, sa couverture verte repoussait mon envie.
Je m'y suis finalement mise grâce aux éloges de certains amis lecteurs.

Je n'avais pas lu le premier opus de cette brigade de bras cassés.
Je suis partie de zéro. Sans à priori.
Je me voyais m'attacher rapidement à cette capitaine Capestan et ses casse-cou. Mais la magie n'a pas pris.
Je ne dois pas avoir le même humour.
Je ne dois pas être facile à émerveiller.
Je suis restée sur ma faim.
L'enquête n'a pas décollé.
Le rat policier ne m'a pas fait rire.
Et la baston contre les hooligans n'a pas fait battre mon coeur.
Je suis passée à côté. Dommage.
L'idée de la brigade dont personne ne veut, qui réunit les rebuts des policiers me plaisait pourtant.
Peut-être aurais-je dû commencer par Poulets grillés et sa couverture orange ?
Une histoire vite lue et vite oubliée ... en attendant de me plonger dans les polars plus palpitants.

Rue Gassendi, Paris 14ème. La commissaire Anne Capestan est appelé sur les lieux d'un crime : sous le panneau de rue, rebaptisé « rue Serge-Rufus, 1949-2012, commissaire aux enfoirés » git le cadavre d'un cador de la police, ligoté, le visage tuméfié. La crim et la BRI sont déjà sur place; Alors pourquoi le divisionnaire Buron l'appelle, elle, la commissaire déchue, mise au placard avec une brigade de bras cassés, poivrots et autres parias de la police ?
C'est ce que vous allez découvrir en entamant Rester groupés, second volets des aventures d'Anne Capestan et de ses ouailles aussi loufoques qu'attachantes.

On prend les mêmes et on recommence ! J'ai ri tout autant que pour le premier opus et la brigade ne m'a pas déçu, malgré une intrigue un peu compliquée à suivre. Mais l'ambiance de Noël est là pour faire scintiller les répliques de Rosière et quelques surprises croustillantes attendent le lecteur au pied du sapin... Un bon moment de lecture, anti grisaille assuré !

Deuxième opus de Sophie Hénaff, j'ai retrouvé avec plaisir la brigade de Poulets Grillés.
Une nouvelle enquête, de nouveaux partenaires, toujours des touches d'humours.
Sophie Hénaff décrit beaucoup plus chacun de ses personnages mais hélas au détriment de l'enquête.
Il y a de longues périodes de digression qui en deviennent parfois pénibles.
L'histoire prend fin à temps mais de manière trop avortée à mon goût.
Un troisième opus viendrait-il compléter la série ?
Si c'est le cas j'en serai, en espérant retrouver le plaisir de lecture du premier roman.

Un petit plongeon rafraîchissant, léger, léger comme l'été. Tout comme le premier épisode, cette suite est pleine de clins d'oeil, avec un style très visuel & une écriture agréable (le prix Nobel est loin, peu importe .... quand le Smile l'emporte).
La brigade des bras cassés est de retour, toujours à racler les fonds de tiroir des autres départements et à dénicher de petites perles dans l'auge où pataugent allègrement poulets de tous bords (chien & rat itou)
Un roman d'été, idéal pour se changer les idées, pour voir le ciel bleu, entendre les petits oiseaux chanter dans les coquillages... qu'on peut laisser traîner au bord de la plage, de la piscine, sur la pelouse ou un banc une fois la dernière page tournée.

"ça bouge au 36 Quai des Orfèvres. de nouvelles recrues rejoignent les rangs de la brigade maudite du commissaire Anne Capestan, dont Saint-Lô, sorti de l'hôpital psychiatrique dans la peau de d'Artagnan et Ratafia, rat policier.
Sale affaire pour l'équipe de bras cassés : trois assassinats éparpillés sur le territoire. Un point commun : le tueur a prévenu ses victimes. Cerise sur le gâteau : l'ex beau-père de Capestan est l'une d'elles."

Humour, dérision, suspense... après le succès de Poulets grillés, prix Polar en séries, Sophie Hénaff récidive !

Souvent quand nous entamons un nouvel opus d'une série, nous nous attendons à retrouver l'ADN du précédent. Dans le cas de « Rester groupés » la suite de « Poulets grillés », cet ADN a muté.
J'avais bien aimé le premier tome et, pour retrouver un peu de légèreté, j'ai sorti celui-ci de ma PAL et ce récit m'a vraiment surpris. En effet, même si nous retrouvons la fameuse brigade des Innocents et ces membres déjantés, cette nouvelle histoire se révèle beaucoup plus grave, intime, noire pour la commissaire Capestan et c'est tout le roman qui sera teinté de cette noirceur.
Une série de meurtres dont l'origine remonte à une vingtaine d'année en arrière. Des aller-retours entre Lyon et la capitale. Des non-informations partagées entre nos héros et les services du fameux 36. Des rebondissements à répétition. Beaucoup d'ingrédients viennent composer cette nouvelle aventure qui transforment ce que je qualifiais de série d'humour policier en vrai polar même si des moments drôles subsistent pour notre plus grand plaisir.
En plus de l'enquête en toile de fond, de nouveaux personnages, une scène hallucinante avec des hooligans anglais et un fameux concours auquel participe Torrez créent de la profondeur et rendent encore plus vivante cette équipe.

Lien : https://imaginoire.fr/2020/0..

Avec plaisir, j'ai retrouvé la fameuse équipe de « Poulets grillés », des flics au rebut pour leur administration mais qui, par leur originalité, leur travers n'en restent pas moins de bons limiers pour dénouer les fils d'une enquête. On n'a plus la surprise de découvrir cette galerie de personnages hauts en couleur mais ça se laisse lire pour connaître la fin.

C'est léger, c'est changeant mais j'ai été moins séduite que pour le premier. On passe un moment agréable, mais pour le coup, l'histoire est (presque) cousue de fil blanc.
J'ai quand même bien ris, et comment faire autrement avec des policiers qui ont comme commissariat un appartement, décoré par une des inspectrices millionnaire, avec un championnat de fer à repasser ou bien avec un chien policier, répondant au nom de Pilou.
Non c'est vraiment n'importe quoi mais c'est quand même drôle !

Une nouvelle enquête pour les poulets grillés, ces flics ayant tous des casseroles au derrière qu'on a donc regroupés et isolés dans cette brigade très spéciale...Privée de l'effet de surprise du premier tome, j'ai été un peu déçue à la lecture des premiers chapîtres. L'intrigue peine à décoller et cela ronronne quelque peu. Et puis lentement mais sûrement, j'ai avancé et apprécié de retrouver ces doux dingues, galerie de portaits improbables et extrêment sympathiques. J'ai donc refermé ce bouquin avec un sourire reconnaissant et finalement assez triste de les quitter.