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EAN : 9782874596674
Chloe des Lys (15/06/2012)
3.38/5   8 notes
Résumé :
La ville.

Ses nuits.
Sa solitude.

A peine débarqué, il en ressent une violence agressive.
Depuis des années, elle s'y est habituée. Un peu trop.
Et Sofia, qui laisse trainer sa blondeur éclatante sous les néons du métro.

Puis un détonateur.

Il va croire à l’amour, avec cette fille qui appartient à la ville.
Elle réalise qu'elle est encore affamée de vie.

Et des... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
C'est une curieuse aventure que la rencontre avec un livre voyageur! C'est lui qui vous choisit...Pas de bouche à oreilles, pas de critique alléchante, pas de battage médiatique, il croise simplement un jour votre chemin. Celui-ci m'avait été proposé par son auteur, à condition de bien vouloir jouer le jeu, c'est à dire le lire et le transmettre, quelle qu'en soit la modalité. Autre gageure, c'est facile sur la toile, presque anonymement, de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité sur nos impressions de lecture. Mais là, c'est l'auteur lui-même qui nous demande humblement «Alors vous en pensez quoi?»...Alors gros ouf de soulagement après quelques pages : je ne blesserai personne, oui j'ai aimé cette histoire, qui confronte un jeune adulte en galère, qui fait partie de cette jeunesse qui pour raisons économiques planétaires n'a pas vraiment son avenir devant elle, et la «séniorité» sous les traits de Marie qui ne sait pas si elle a envie de lutter jusqu'à l'aube.
C'est l'informatique qui va les réunir : pas Meetics, mais le souhait d'une mamy qui voudrait voir les vidéos de son petit-fils sur Internet. Alors la bande de copains de Marie se lance dans l'aventure. Et c'est notre looser qui se retrouve un peu malgré lui guide au pays de l'informatique pour les vieux nuls. Ajoutons à cela une histoire d'amour perdue d'avance et de curieux rendez-vous par le truchement de petits messages qui arrivent dans les poches on ne sait comment : voilà de quoi distraire le lecteur tout au long de ces 260 pages.

L'écriture est vive, au risque parfois d'être confuse, lorsque l'action surgit ou que notre anti-héros se perd dans ses délires arrosés. Les méditations de Marie apportent un contrepoint salutaire au désordre spirituel du jeune homme.

Seul bémol, non littéraire : la typographie : certaines lignes sont «bourrées à bloc» au point de ne constituer qu'un seul mot, sans espace, ponctuation comprise. Très inconfortable.

Merci à John Henry pour cette belle rencontre. le livre est prêt pour de nouvelles aventures
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Il y a quelques semaines, l'auteur - john.henry - me contactait pour me proposer de recevoir son titre en livre-voyageur. La littérature dite « contemporaine », les lecteurs habitués de ce blog le savent, n'est pas celle que je préfère (et pourtant j'en lis régulièrement). Pourquoi ? Parce que les sujets sont souvent les mêmes (métro, boulot, dodo…) et la plume me fait rarement rêver (disons qu'elle n'a rien de particulier). Mais je suis curieuse et j'ai parfois eu de bonnes surprises alors… why not ?
Et bien j'ai bien fait de me lancer car j'ai passé un bon moment avec Trois ombres au soleil. Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris (quelques éléments restent mystérieux) mais je me suis beaucoup attachée aux personnages - notamment la doyenne - qui m'ont émue.

Trois ombres au soleil c'est l'histoire de trois êtres qui errent dans les rues de Bruxelles, en quête de quelque chose ou quelqu'un qui les aidera à sortir la tête de l'eau.
Loïc, jeune homme désoeuvré, enchaîne les boulots alimentaires et les quitte aussi vite qu'il les a trouvés préférant s'évader dans les vapeurs d'alcool pour oublier sa situation. Les jours passent et se ressemblent : lever difficile au milieu de la journée et folles virées jusqu'au bout de la nuit. Un matin, il doit se présenter à un entretien arrangé. La gueule de bois et le look qui va avec, il parvient pourtant à obtenir un poste : enseigner l'informatique à un groupe de petits vieux.
De son côté, Marie, veuve retraitée, regarde la vie s'écouler de la fenêtre de son appartement. Elle tente d'occuper ses journées entre le coiffeur, les courses et son rendez-vous hebdomadaire avec son groupe « d'amis » eux aussi seuls et sans réelles activités. Les petits vieux arrivent à la conclusion qu'il leur faut trouver quelque chose qui les sortira de leur morne quotidien et les rapprochera du monde actuel… des cours d'informatique, en voilà une brillante idée !
Sonia, troisième et dernière figure principale de cette histoire, m'a semblé beaucoup moins « importante ». Jeune prostituée bruxelloise, elle vend son corps à de riches et bedonnants hommes affaires, de l'argent facilement gagné malgré tout ce qu'il implique…
Evidemment, les trois vies sont amenées à se croiser et à se mêler, prenant chacune appui sur les deux autres pour évoluer et trouver un sens au quotidien. Loïc rencontre donc Sonia lors d'une nuit agitée et une relation particulière s'instaure entre eux. Il se lie également d'amitié avec Marie et son groupe de petits vieux auxquels il tente, parfois difficilement, d'inculquer les bases de l'informatique…

Des personnages à la dérive dans une grande ville (plusieurs fois j'ai oublié qu'on était à Bruxelles et imaginais les héros dans Paris, mais le lieu véritable n'a pas vraiment d'importance), voilà une base scénaristique pas forcément très originale. Et pourtant, j'ai accroché. Pourquoi ? Parce que j'ai été émue par ces personnalités, par leurs peines, leurs bleus et les quelques petites joies qui ressortent de leurs rencontres mutuelles. J'ai été particulièrement touchée par l'aventure de Marie, cette veuve retraitée qui s'émancipe enfin de l'influence de son mari, pourtant mort des années plus tôt. Je suis pourtant plus proche, par mon âge, de l'histoire du héros, mais c'est vraiment cette petite mamie avide de vivre qui m'a offert les plus belles émotions lors de ma lecture. Sonia étant celle qui m'a laissée la plus indifférente, bizarrement.

L'auteur ajoute une histoire de menaces (les petits bouts de papier anonymes) et de « terrorisme » et je pense que j'ai loupé quelques explications car je n'ai pas tout compris à ce sujet. Mais ça n'a, à mon sens, pas vraiment d'importance, l'important se situant ailleurs : dans l'évolution des personnages principaux. D'ailleurs, le dénouement, bien qu'assez peu joyeux, m'a plu car il m'a semblé réaliste et dans la suite logique. Evidemment, j'aurais espéré une fin plus « happy end », mais finalement, ça n'aurait pas collé avec le reste.

Je terminerai cet avis un peu brouillon en signalant le style de john.henry : travaillé, avec un petit quelque chose… en bref, intéressant. J'ai relevé de beaux passages aussi bien sur le fond que dans la forme. C'est parfois « cru », parfois plus poétique. J'ai trouvé l'écriture immersive, en accord avec l'histoire et ses personnages et ça m'a plu.


Très agréablement surprise par ce petit roman qui a su m'émouvoir. Ses personnages - et notamment Marie la doyenne - font la force de ce texte et le portent jusqu'au dénouement loin d'être gai, mais réaliste. L'auteur a su choisir les mots qu'il fallait pour faire de Trois ombres au soleil une histoire sinon exceptionnelle, au moins marquante.
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Il y a un mois, j'ai été contacté par un auteur pour lire et critiquer sur mon blog son roman. Il m'a donc fait parvenir ce livre voyageur “Trois ombres aux soleil” (pour en savoir plus, allez voir le site de l'auteur)


Alors autant le dire rapidement, j'ai passé un moment très agréable avec ce livre : Je dois avouer que j'avais peur de ne pas aimer et de devoir faire une critique négative, mais j'ai lu ce livre en quelques heures avec plaisir!


Le livre est constitué de chapitres qui alternent le point de vue des deux personnages principaux : Loïc un jeune homme désabusé par la mort récente de ses parents qui arrive à Bruxelles et Marie, une vieille dame retraitée et veuve qui laisse passer les dernières années de sa vie sans rien faire.
Ces deux personnages sont très attachants (même si j'ai une nette préférence pour Marie).


Ce dont ce livre parle en priorité (enfin je trouve) c'est du sentiment de solitude qu'on peut éprouver quand on se retrouve seul pour la première fois dans une grande ville.
Ici personne ne connait personne, personne ne se mêle des affaires des autres, ne parle aux autres : On est seul.


Marie n'a jamais vraiment fait partie de la société. Dans l'ombre de son mari, elle ne vivait pas pour elle et selon ses principes. Une fois veuve, elle s'est retranchée dans son appartement et s'est enfermée dans une routine. Si elle sortait parfois, elle ne se mêlait plus du monde et de la « vie », se réfugiant dans l'excuse de son âge pour ne rien changer.


Loïc, lui, est un cas autrement plus grave. Jeune, seul, complètement perdu et sans attaches, il a décidé de haïr le Système avec un grand « S ». Il hait la notion de profit, de capitalisation…


Il est persuadé qu'avec un tel système les gens ne vivent plus : qu'ils n'ont plus réellement de vie, qu'ils ne sont plus que des automates qui vont de leurs maisons à leurs bureaux pour gagner de l'argent et qu'il leur manque le « petit truc en plus » pour être réellement vivants.


Quel est ce «petit truc en plus » ? C'est de « vivre » au jour le jour, de faire ce qu'on a envie de faire, sans penser à la suite, aux conséquences…

Et c'est vrai : la plus grande partie de la population ne vit pas comme si il n'y avait pas de lendemain. Et ce pour une raison très simple : Il y en a un !

Pour vivre ainsi, il faut être inconscient, ou ne rien avoir à perdre (et donc être un peu désespéré) ou savoir parfaitement qu'on a un endroit pour vivre, ainsi qu'une certaine sécurité financière pour se retourner en cas de grands problèmes. Sinon on finit SDF, voir pire.


C'est là que j'ai trouvé que les deux personnages exagéraient un peu. On peut très bien se sentir pleinement vivant tout en se souciant du lendemain.


Après il ne faut pas oublier que ces deux cas étaient spéciaux. Ils n'allaient pas bien et seule une sortie violente de leur « routine » pouvait les aider.




Bref pour revenir à notre petit idéaliste (parce que tout de même, il se rend parfaitement compte, cette philosophie de vie est sympathique mais elle ne paye pas le loyer !), il se retranche dans la solitude et essaye de faire son deuil. Il reprend lentement goût à la vie grâce à son nouveau travail, à son équipe de petits vieux et grâce à Sofia.


Là où j'ai eu du mal à le suivre, c'est sur sa « haine » de la ville. Il n'aime pas le côté très anonyme des grandes villes. Dans le métro, on ne sourit pas, on ne regarde personne, on ne crée pas de lien, on garde nos pensées pour nous et on avance. On frôle les gens et cela ne va pas plus loin. Moi, franchement j'adore l'anonymat des grandes villes (parisienne dans l'âme qui parle) et je n'arrivais vraiment pas à comprendre son malaise.


Ce qui a été vraiment très sympathique à lire, c'était l'éveil de Marie : comment elle se rend lentement compte qu'elle a raté plusieurs choses dans sa vie, comment elle commence à se bouger, lentement, puis plus sûrement, comment elle finit par se lâcher et par faire les quatre cent coups.


Et puis les cours d'internet pour le Troisième Age étaient très drôles à lire. Surtout le premier cours ! Cela devait être très difficile pour Loïc, je le comprends. Comment expliquer des choses qui sont tellement évidentes et claires pour nous à d'autres qui n'y comprennent rien ? C'était hilarant : leurs réactions face aux adresses, comment se déplacer dans un espace virtuel, les souris…


Je dois avouer que j'ai trouvé la fin un peu énigmatique, je ne suis pas sûre d'avoir compris tous les liens et les intrigues (le coup du tatouage, Joseph et Sonia, le coiffeur, l'Eglise…). mais je pense avoir saisi l'essentiel !


Une fin aussi assez triste…la vie est faite de choix, il les a fait en état de cause…C'est tout de même difficile de vivre et de se dire qu'on est passé à côté de l'essentiel, qu'on a raté sa vie de peu…


———————————–

Enfin, ce fut une lecture agréable, j'ai ris plusieurs fois, c'était un thème assez inhabituel (pour moi en tout cas) et je conseille ce livre avec plaisir. Il mérite d'être un peu plus connu qu'il ne l'est pour l'instant et d'avoir un public.

Merci à john.henry pour ce prêt!
Lien : http://writeifyouplease.word..
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Dix choses que vous devez savoir sur Trois ombres au soleil :

1. C'est le premier titre de ce jeune auteur belge. En cours avec Stromae, il s'est dit que lui aussi pouvait y arriver !

2. Il en a fait un livre voyageur car, pour lui, "un roman n'existe pas pour être publié, il existe pour être lu".

3. L'histoire se déroule à Bruxelles. Même si le narrateur décrit la capitale comme une machine à broyer les êtres, on sent que l'auteur, lui, la connait bien et l'aime, malgré tout !

4. Il y a LUI, jeune homme désabusé qui a perdu ses parents dans un crash aérien ! Incapable de s'ancrer dans la réalité du "métro-boulot-dodo", il s'enivre d'alcool et de sexe. Pour couronner le tout, il tombe amoureux d'une étudiante qui, elle, est tombée dans l'engrenage de la prositution. Pour reprendre pied dans la vie, il doit trouver un boulot...

5. Il y a ELLE qui fait partie du 3e voire du 4e âge. A défaut d'avoir réussi sa vie, elle aimerait réussir sa mort. Elle passe donc son temps à éplucher les annonces nécrologiques afin de peaufiner la sienne. Quelque part, elle est déjà morte...

6. LUI et ELLE vont se rencontrer lors d'une formation informatique... Lui en formateur malgré lui et elle, accompagnée de son groupe de petits vieux en mal d'idées pour se secouer.

7. Cette rencontre va leur rappeler que "L'union fait la force" (notre bonne vieille devise belge soit dit en passant ;-)) et qu'il n'est jamais trop tard pour VIVRE !

« L'union faisait la force. Nous l'avions tous oublié. Ou plutôt non, nous ne savions plus ce que cela signifiait, enfermés dans nos solitudes désespérées et désespérantes. »

8. Un titre délirant par moments. La formation informatique du groupe des ainés donne lieu à des moments complètement surréalistes ! Un petit extrait en bonus :

""Alors, maintenant donc, vous allez faire glisser votre souris sur le bouton "démarrer"."
Là, j'ai halluciné. Vraiment. (...)
Un vieux a attrapé la souris de sa main droite et l'a posée sur l'écran à hauteur de "démarrer". C'était comme l'histoire de la blonde qui mettait du tipex sur son écran pour effacer les mots dans Word. J'ouvrais de grands yeux. C'était donc possible ! Ca existait !"




9. Un titre un peu trash parfois, notamment lorsqu'on le suit LUI dans sa descente au bout de la nuit... Hot également lorsqu'il nous détaille par le menu ses galipettes. Plein de suspense enfin lorsque de petits billets mystérieux atterrissent dans les poches des uns et des autres.

10. En conclusion, un bouquin qui ne laisse pas indifférent et qui séduit tant par son intrigue intéressante (une rencontre intergénérationnelle déjantée) que par son style enlevé et moderne (même si parfois il faut s'accrocher pour suivre les délires éthylico-paranoïaques du personnage masculin).

A découvrir...
Avis aux amateurs...
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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Trois ombres dans la ville. Trois ombres dans la nuit. Trois ombres au soleil.

« Je ne vivais plus, j'avais, inconsciemment, pris mes quartiers dans la salle d'attente de la mort, guettant patiemment le soir où l'on m'invitera à quitter la pièce. J'étais désormais une ombre que le soleil ne venait plus éclairer. »

Un pauvre gars, une vieille déconnectée du monde et une prostituée. Une rencontre inattendue dans ce roman insolite, au coeur d'une ville violente, sombre et qui engendre solitude et frustrations. L'auteur nous y dépeint trois morceaux de vie, trois destins plus ou moins tragiques, qui vont permettre à l'un d'entre eux de s'en sortir et de retrouver le goût de la vie.

« Je préfère la folie des passions à la sagesse d'indifférence », nous dit Anatole France en exergue de ce roman. C'est tout ce que John Henry défend dans son texte : montrer que malgré l'âge, malgré la fatalité, malgré la morosité, les passions sont toujours possibles. « Lui » se lance dans la formation de personnes âgées à l'informatique, ce qui va le reconnecter au monde; « Elle » bouleverse ses habitudes de ces trente dernières années et se laisse aller à ses goûts véritables. Au delà de l'anonymat de la ville, de l'indifférence de tous envers tous, ils vont trouver l'amitié : « L'union faisait la force. Nous l'avions tous oublié. Ou plutôt non, nous ne savions plus ce que cela signifiait, enfermés dans nos solitudes désespérées et désespérantes. »

En bref un petit roman sympathique, qui touche des thèmes intéressants, traités avec un ton souvent juste. Cependant, j'ai décroché à plusieurs reprises, notamment lorsque le personnage principal semble avoir des hallucinations qui me semblaient détoner par rapport au reste du texte.

Un premier texte cependant prometteur ..
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
« L’union faisait la force. Nous l’avions tous oublié. Ou plutôt non, nous ne savions plus ce que cela signifiait, enfermés dans nos solitudes désespérées et désespérantes. »
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Voilà, c’était ça, une réponse conformiste, pour continuer à se morfondre avec aisance dans cet état d’esprit battu d’avance. Se complaindre dans sa situation et penser qu’elle est identique à celle des autres automates qui l’entourent! Putain, non, tout le monde n’a pas de petits tracas…On se les crée les tracas, on s’accommode des tracas.
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« Je ne vivais plus, j’avais, inconsciemment, pris mes quartiers dans la salle d’attente de la mort, guettant patiemment le soir où l’on m’invitera à quitter la pièce. J’étais désormais une ombre que le soleil ne venait plus éclairer. »
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« Je préfère la folie des passions à la sagesse d’indifférence »
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La hyène - teaser du deuxième roman de john.henry
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