Les aventures de Tintin, tome 19 : Coke en stock

1958. Toujours réédité. Tintin est devenu un grand classique qui, contrairement à Astérix, n'a rien perdu de sa réputation.
Hergé traitait, avec plus ou moins de grandeur d'âme, l'actualité. Ici il s'attaque à la traite des noirs (la coke).
Pourquoi se mettre à relire Tintin lorsque l'on approche la soixantaine ? Par nostalgie d'abord parce qu'il l'une des bd qui a accompagné notre adolescence et puis aussi l'opportunité : la sortie prochaine du film de Steven Spielberg ou encore la sortie du dossier édité par 'Le Point'
Certes, le fond documentaire est riche mais est-ce suffisant pour expliquer cet engouement ? Non. Alors quoi ? le suspens ? Non, il est quasiment inexistant.
Bon, disons que si l'on savait pourquoi on lit Tintin eh bien peut-être ne le lirions nous pas et arrêtons de se chercher des raisons.

On va faire une critique globale de tout les tomes (23 si je me trompe pas). Il sont, a mon gout, mieux que la très célèbre série "Asterix", qui manque d' aventure a mon gout. Et vous ???
La série Tintin a beaucoup de sujet différents, des voyage (Tintin en Amérique, Tintin au Congo...) Des sauvetage(s?) ( Tintin au Tibet) et beaucoup d'autres encore.
Je mets donc 3,5 sur 5 sur tout les tomes de la série.

Tome a ne pas manquer :
-Tintin au pays de l'or noir
-Objectif lune-on a marchés sur la lune
-le secret de la licorne-le trésor de racham le rouge.

Les héros de bandes dessinées demeurent éternellement jeunes et n'affichent jamais leurs rides. Pourtant, l'un d'entre eux vient de fêter ses quatre-vingts balais. le capitaine Archibald Haddock, compagnon de route de Tintin, est apparu en 1941 dans les pages du Soir. Il s'agissait de la publication en feuilleton du futur album « le crabe aux pinces d'or ». Très vite, les lecteurs se sont entichés du personnage, autant pour son tempérament colérique que pour son indéfectible fidélité lorsqu'il accepte d'offrir son amitié. On l'a su par la suite, il a accompagné Tintin même sur … la lune ! Haut en couleur, il est de ceux qu'on ne peut pas oublier, servi par une flopée d'injures nées de l'imagination d'Hergé : Moule à gaufre, ectoplasme, bachi-bouzouk, etc. Les spécialistes se sont amusés à recenser les jurons dont il abreuvait quiconque tentait de lui entraver la route. Sauf erreur, la nomenclature porte sur deux cent vingt-deux insultes, toutes aussi fleuries les unes que les autres, mais jamais grossières. Quant à son patronyme, il viendrait tout simplement d'un poisson également nommé aiglefin, églefin ou ânon. Certains penchent plutôt pour une déformer de ad hoc qui signifie tombe à propos. Supputation plausible, puisque le sémillant marin ne manque jamais ses rendez-vous pour seconder, voire tirer d'une impasse, son compagnon de voyage. Au fil des aventures, son caractère s'affine, son passé se dévoile et ses phobies se manifestent avec ce qu'elles possèdent de plus tangibles. La Castafiore, cantatrice amoureuse de lui, l'insupporte à outrance, à l'eau il préfère le whisky et aux fripouilles il privilégie les honnêtes gens. Sa descendance est exhumée dans les livres « le secret de la Licorne » et « le trésor de Rackham le Rouge ». En fait, il est l'héritier d'un ancêtre baptisé François de Haddock, chevalier sous le règne de Louis XIV. Son langage fleuri et ses coups de tonnerre qui font trembler le ciel jusqu'à Brest lui ont valu une reconnaissance qui a dépassé Tintin lui-même, acclamé en 1996, comme étant le héros de bédé préféré de tous les planches d'Hergé. Sacrée consécration !

La première fois que je lisais un Tintin, mais j'avais déjà vu les adaptations en dessins animés. Je n'ai pas été super emballée mais pas non plus détesté. J'ai préféré regarder les adaptations que la lecture de la BD.

Une aventure avec énormément de péripéties et surtout de nombreux personnages des albums précédents (Alcazar, Abdallah, Allan, la Castafiore, Rastapopoulos…) ; c'est assez impressionnant ! D'autant que chacun de ces personnages participent à l'histoire (à part peut-être la Castiafore).
Cet album est non seulement dense en personnages mais aussi riche en intrigues : trafic d'avions, trafic négrier… bref, il y a pas mal de lieux d'actions et de péripéties diverses pour Tintin et le capitaine Haddock.
On reconnaît tout de la suite la patte d'Hergé dans cette histoire qui mêle enquête, action, voyage et aussi beaucoup d'humour avec ce cher capitaine Haddock (beaucoup d'humour à base d'alcool tout de même, on voit que l'on est à une toute autre époque !).
J'ai été étonné de voir Tintin - lorsqu'ils étaient naufragés sur un radeau - proposer à ses compagnons de boire l'eau de mer. C'est la plus mauvaise idée pour combler sa soif ! Étonnant que Tintin ne sache pas cela !

un bon tome, très sympa

assez bien

Cet opus est poche d'une enquête policière plus sérieuse que dans d'autres tomes de la série avec un sujet fort : l'esclavage.

Une aventure aux nombreux rebondissements intéressants, même si parfois l'histoire part un peu en tous sens.

j'adore lire ces bd