Juliette Hochberg/5
1 notes
Résumé :
On peut mourir en France parce qu'on est juif. Après les prémices de l'assassinat d'Ilan Halimi, le massacre de l'école Ozar Hatorah à Toulouse marque le début d'une longue période d'inquiétude dans laquelle est projetée la jeunesse juive française. A tel point qu'une large partie de celle-ci est amenée à choisir l'exil volontaire. Que des juifs aient à quitter leur pays natal n'est pas une nouveauté au regard des siècles d'Histoire. Ils furent le plus souvent chass... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Juliette Hochberg est une jeune journaliste, née en 1995. Ce livre se présente sous forme d'un échange de lettres avec son père, Thierry. Juliette lui fait part de ses inquiétudes, mais peut-il la rassurer ? Formée comme médiatrice, elle intervient en collèges et lycées pour tenter de déconstruire les préjugés, les propos globalisants en tout genre, sexistes, homophones, xénophobes, « migrants-phobes ». Cet ouvrage s'adresse à tous, témoins ou non, victimes ou non des récents attentats qui gangrènent la France. Son titre funèbre « Khaddish pour la France » en dit long déjà !
Khaddish : prière des endeuillés (pour la religion juive).
Alerte ! La France perd ses valeurs ou plutôt détrônent « ses Justes » pour asseoir les Révisionnistes, Négationnistes, les Conspirationnistes !
Triste constatation : les multiples attentats ont fragilisé la France.
Les juifs de France rejoignent la Terre Promise pour fuir la France Insoumise ! On assiste à une Alya par Eviction et non plus par Conviction !
Toutes ces thèses mensongères paralysent la France qui se voit amputée de sa « jambe d'appui », celle qui maintenait ses VALEURS !
Gardons notre esprit ouvert pour fermer le clapet de la VIOLENCE ! Amalgames, clichés, mise en quarantaine, complots sont les pis ennemis de la CONSCIENCE !
Tel est le message de ce dialogue.
Un livre de réflexion à mettre entre TOUTES les mains.
Khaddish : prière des endeuillés (pour la religion juive).
Alerte ! La France perd ses valeurs ou plutôt détrônent « ses Justes » pour asseoir les Révisionnistes, Négationnistes, les Conspirationnistes !
Triste constatation : les multiples attentats ont fragilisé la France.
Les juifs de France rejoignent la Terre Promise pour fuir la France Insoumise ! On assiste à une Alya par Eviction et non plus par Conviction !
Toutes ces thèses mensongères paralysent la France qui se voit amputée de sa « jambe d'appui », celle qui maintenait ses VALEURS !
Gardons notre esprit ouvert pour fermer le clapet de la VIOLENCE ! Amalgames, clichés, mise en quarantaine, complots sont les pis ennemis de la CONSCIENCE !
Tel est le message de ce dialogue.
Un livre de réflexion à mettre entre TOUTES les mains.
Citations et extraits (1)
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Après chaque attentat, la formule « continuer à vivre » est clamée à outrance, presque machinalement, dans les éditos, sur les pancartes et par les professeurs.
Je comprends le message véhiculé par cette expression.[...]. Mais l'emploi du verbe «continuer» prouve bien qu'il y a eu, à un moment, un arrêt, un chaos. Car, dans la vie, on fait, et c'est tout. Si soudainement, on précise que l'«on continue», c'est bien que, l'espace d'un instant, le temps s'est arrêté pour que l'on s'interroge : « Alors qu'est-ce qu'on fait maintenant? ».
« Continuer » signifie faire « comme si » tout était pareil, mais sous-entend très fort que tout est différent. On ne change rien, mais rien ne sera jamais plus comme avant. Pour moi continuer veut dire « simuler ».
p. 32
Je comprends le message véhiculé par cette expression.[...]. Mais l'emploi du verbe «continuer» prouve bien qu'il y a eu, à un moment, un arrêt, un chaos. Car, dans la vie, on fait, et c'est tout. Si soudainement, on précise que l'«on continue», c'est bien que, l'espace d'un instant, le temps s'est arrêté pour que l'on s'interroge : « Alors qu'est-ce qu'on fait maintenant? ».
« Continuer » signifie faire « comme si » tout était pareil, mais sous-entend très fort que tout est différent. On ne change rien, mais rien ne sera jamais plus comme avant. Pour moi continuer veut dire « simuler ».
p. 32
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