Le cri du lièvre

Le Cri du Lièvre de Marie-Christine Horn est un roman percutant sur les violences conjugales. Ce sujet sensible est décrit avec des mots crus qui ne laisseront pas le lecteur indifférent. La violence est racontée dans ses plus sordides détails, avec des scènes de viol et des descriptions précises de blessures. Manu, le personnage principal, est traumatisée par ce qu'elle a vécu et décide de s'enfuir dans la montagne, loin des coups de son mari. Dans cette nature sauvage, elle va renaître et réapprendre à aimer ce corps trop souvent marqué par la douleur qu'on lui inflige et qu'elle a appris à cacher derrière des artifices. Vivre dans la forêt conduit à une certaine animalisation du personnage qui perd pied avec le monde civilisé. Quand elle revient dans la société humaine, elle ne parvient même pas à retrouver un comportement « humain ». Elle se terre comme un animal, se recroqueville comme si elle était prise au piège, ne rêvant que d'une chose : retourner dehors et retrouver cette liberté nouvelle à laquelle elle a vite pris goût. Manu rencontre d'autres femmes, également prises au piège d'un mari violent ou d'un système sexiste. Même si ce n'est pas une véritable amitié qui naît, elles vont quand même apprendre à se protéger jusqu'à ce que tout bascule…
Un récit frappant marqué par la dualité entre civilisation et nature mais où la violence s'immisce partout.

« Ah! Oui, Madame, mon mari aimait les féministes. Mon cul vous le confirme. » p.64

le Cri du Lièvre est un roman de Marie-Christine Horn, édité par BSN PRESS traitant des violences domestiques. Ce sujet plutôt tabou se fait abordé sans complexe dans ce livre qui casse les codes. Ce roman retrace la vie de Manu une femme violentée par son mari Christian et malmenée par son patron. le femme, pour fuir son mari va se balader dans la montagne et va y trouver refuge jusqu'au jour où elle tombe sur un lièvre la patte coincée dans un piège.
le cri du lièvre est un roman rédigé dans un vocabulaire plutôt soutenue et très riche et maîtrise. Cependant, le vocabulaire employé laisse la lecture quelque peur difficile à comprendre pour certains passages. Même si, dans sa globalité, l'oeuvre reste un roman moderne mais peut accessible à des personnes plus jeune. le roman reste assez lent en lui même, mais en accord avec le thème abordé. On se laisse bercé par le rythme modéré, et on s'abreuve des paroles parfois difficiles à avaler.
L'histoire est racontée par le personnage principal lui même, ce qui fait que l'on se sent dans sa propre peau et que l'on peut aisément se mettre à la place de la femme. On ressent toute les émotions du personnage principal, et cela pourrait servir d'électro-choc pour certaines ou certains dans cette même position. Pour le personnage principal, l'électrochoc se trouve être le lièvre qu'elle retrouve la patte pris dans un piège. Lors d'une de ses balades fréquente dans la forêt montagneuse, elle avait pris la décision de rester vivre en forêt malgré l'inconfort de celle-ci. Elle s'était trouvé une vieille cabane qui servait autrefois aux paysans et elle y vivait.
La femme, s'identifiant au lièvre, se rend compte des choses et va faire machine arrière et va retourner en ville. Ce choix de la part de l'autrice peut mener à un questionnement de la part du lecteur : était-ce le bon choix ? que va-t-il se passer après cela ? Et on se retrouve vite plongé dans l'histoire, à vouloir connaître la suite.
Manu va faire par la suite la connaissance de Manu, infirmière et Pascale, gendarme. Elles sont toutes différentes malgré cette caractéristique commune qui les unies malgré elles.Ces différences comportementales sont appréciées pour ma part car on voit la différence de chaque femme, que les réactions sont toutes liées mais différentes les unes des autres. Les trois femmes vont se soutenir mutuellement les unes aux autres, cela créé une complicité et on s'attache facilement à leurs personnages, typique d'un roman.
Ce roman, à l'allure typique, nous montre une autre face caché de la vie qu'endure certaines personnes et à quel point cela peut être horrible à vivre. le titre du roman peut être associer au cri silencieux de Manu qui cherche désespérément de l'aide. de ce roman, nous pouvons en tirer une leçon de vie.

Le Bien et le Mal, les deux faces du même visage de Janus

Le cri du lièvre et une oeuvre qui traite des violences conjugales mais aussi de l'isolement de l'ermite volontaire. Après avoir été battue, une femme nommée Manu décide de s'en aller lors d'une de ses balades, pour vivre en forêt et échapper à son bourreau. L'attachement qu'elle développera pour la nature, et la contrainte de revenir à la ville après la perception de ça propre mort tel un instinct de survie sont au coeur de ce roman que l'on peut qualifier de noir et d'engagé.

Pour commencer, l'aspect cru du livre, très bien illustré par sa couverture rouge sang, et le peu de dialogues permettent au lecteur d'être spectateur de l'histoire tout en restant impliqué dans cette dernière grâce aux descriptions visuelles, de sensation et de ressenti qui sont mises en avant. Notamment, la métaphore du lièvre qui évolue en même temps que Manu tout au long du livre aide à l'étude de l'évolution de ce personnage et éclaircit le mystère flottant autour du titre « le cri du lièvre ».

Cependant, les longues descriptions parfois huées, ici n'empêchent pas l'action d'avancer et ne le rendent pas soporifique. Justement, elles aident le lecteur à cerner au mieux le personnage de Manu et à comprendre ces choix. On y voit que l'attachement que Manu porte à la nature finit par la détacher des émotions liés aux autres humains. Elle devient presque insensible aux autres, ce qui pourrait lui donner un aspect de psychopathe, très tendance actuellement, comme lorsqu'elle énumère des instructions minutées afin de commettre un meurtre, pourtant on remarque la douceur qui émane d'elle lorsqu‘elle est dans la nature ce qui démantèle cette image effrayante et attrayante de Manu. Ce contraste est lié avec la différence entre l'urbain synonyme de prison et le rural de liberté pour Manu. Ces endroits, dans lesquels elle ressent des émotions différentes, sont très intéressants pour observer l'adaptation quelle est obligée d'y faire. Ainsi, ces grandes différences du personnage principal le rendent instiguant et imprévisible.

Aussi, le thème de la séparation entre rural et urbain, celui des violences conjugales et évaluation de l'immigration avec le personnage de Nour et son mari sont des causes encrées dans l'actualité et très médiatisées qui donnent un attrait particulier au livre.

Pars ailleurs, au cours de l'histoire, on découvre que lorsqu'une femme battue est retrouvée, elle subit souvent une hospitalisation forcée. Cette façon de retenir quelqu'un captif «pour son bien » alors qu'il vient de sortir des griffes d'un autre prédateur est révoltante, bien qu'évidente venant de la nature humaine. Nature dont Manu s'éloigne le plus possible. Cette façon de protéger quelqu'un au prix de sa liberté est aussi incarnée par le personnage de Pascale qui devient presque effrayante en voulant protéger Nour. Cette idée de dominant et de soumis est notamment mis en pratique avec le trio que forme Pascale, Nour et Manu. Cela nous mène au besoin de pouvoir de l'humain sur les autres, dénoncé par le viol particulièrement détaillé d'une jeune fille fait par Christian, le mari de Manu après la disparition de cette dernière. On peut noter le possible clin d'oeil à Christian Grey du film Cinquante nuances de Grey qui pratiquais, lui aussi, un sexe violent pour son propre plaisir.

Pour conclure, on peut dire que cette oeuvre est un véritable hommage aux femmes battues, un gage d'espoir délivrée à travers une histoire sanglante et noire plus adaptée aux adultes mais qui peut aussi faire office de témoignage pour ouvrir l'esprit des jeunes.

Le cri du lièvre est un livre qui m'a véritablement surprise. Au début, j'étais quelque peu dubitative à l'idée de le lire mais une fois l'ouvrage commencé, il est difficile de s'en détacher. Ce livre est un parfait reflet de la réalité et met en avant un sujet qui arrive à beaucoup trop de femmes. Je fus conquise par la plume de l'auteure qui était légère, pour un sujet si fort. Des descriptions crues et pourtant bien réelles, c'est ce qui a été un point fort de cet ouvrage. J'ai eu le sentiment d'immersion avec les personnages et surtout, j'ai compris les peines et difficultés qu'ils ont rencontrées.
Le cri du lièvre est le genre de lecture qui laisse une trace dans votre esprit après lecture. Je recommande sincèrement cet ouvrage pour les publics à la recherche d'émotions, de descriptions, et de sujets sensibles.

La question principale que je me pose avant, pendant la lecture et après: l'auteur a-t-il pu me transmettre son message et provoquer la chair de poule émotionnelle. Et oui, Marie-Christine Horn l'a fait sans difficulté. Cette histoire, cette tragédie, cette sorte de drame psychologique résonnera dans le coeur de chacun. L'auteur, d'une manière assez aiguë et ouverte, met en avant le problème de la violence domestique, de l'esclavage moral et de la véritable tyrannie, que vous réalisez qu'il n'est vraiment pas nécessaire de garder le silence sur de tels sujets. le monde du personnage principal s'ouvre de plus en plus large, ce qui ne fait plus sentir la ligne entre le lecteur et le héros. Vous commencez à vous mettre à la place du héros sans le remarquer et à prendre involontairement toutes ses peurs et ses déceptions. Tout est pensé dans les moindres détails, y compris le titre: le cri fatal du lièvre et sa mort physique, obligent l'héroïne à tout revoir dans sa vie et à se voir sous un jour complètement différent. Ce point culminant change toute sa vie et, dans une certaine mesure, la sauve du rôle d'otage et de victime. Cela fait croire à la force et à la résilience des femmes et à la capacité de tout changer et de survivre à la tragédie.
Sans aucun doute, c'est une oeuvre très lourde sur le plan psychologique, mais un tel sujet doit être soulevé et discuté dans un format sérieux.
Marie-Christine Horn : le Cri du Lièvre. BSN Press 2019.

Le cri du lièvre est un roman policier centré sur les violences conjugales. Il met en scène la vie d'une jeune femme qui est maltraitée par son mari. Elle est donc prête à tout pour se défaire de ce cauchemar.

Le personnage principal est Manu, la jeune femme maltraitée par son mari Christian.

J'ai bien aimé ce livre car le sujet des violences conjugales me touche énormément.

Concernant les points négatifs, j'ai trouvé quelques passages ennuyeux, vulgaires et difficiles à lire. J'aurai aimé également que l'histoire soit plus basé sur la vie de ce couple, pour que l'on assimile mieux le quotidien de cette pauvre femme.

Selon moi, le moment le plus marquant est celui où Manu rencontre le lièvre, en effet, cet événement lui fait prendre conscience qu'elle devait s'en sortir, elle devient alors plus forte que jamais et va combattre ses peurs.

Quand au moment le plus décevant, honnêtement je n'en vois aucun, car les points qui m'ont gêné étaient plus centrés sur le langage utilisé et sur des scènes superflues.

L'intrigue de ce roman est que la jeune femme doit se libérer de son terrible mari. Tout au long du récit, nous allons découvrir son quotidien, ses aventures, ses péripéties, ses nouvelles rencontres...

Le style d'écriture est plutôt le langage familier, ce qui rend la scène plus réaliste.

Les émotions ressenties par le personnage principal, sont la haine, la tristesse, la vaillance, la peur…

Je pense que le type de personnes à qui ce livre pourrait plaire serai peut-être pour d'autres femmes qui ont subi ces mêmes violences. En effet, l'histoire leurs permettrait de découvrir la vie d'une autre femme qui a vécu toutes ces horreurs, son combat pour s'en sortir, et je pense que cela serai bénéfique pour elles.

Pour conclure, je dirai que ce livre m'a plu malgré les détails ennuyeux et inutiles pour ma part car j'ai pu découvrir le quotidien d'une femme victime de violences conjugales, ce qui m'a beaucoup touché, je n'imagine même pas à quel point cela doit être horrible et destructeur de vivre ce genre de choses.

Je viens de terminer le cri du lièvre que j'ai bien aimé. Il a été écrit par Marie-Christine Horn,. Cet auteur a écrit plusieurs livres, dont «la piqûre, roman policier » en 2006 ou «School Underworld et les Ondes maléfiques »en 2008 ou encore « En Boucle(s) » une nouvelle parut dans le recueil Désirs en 2015.
Ce livre met en avant un cri silencieux qui représente la souffrance qui peut s'installer au sein d'un couple par un texte qui montre les différentes formes de brutalités . le thème des violences conjugales a été très utilisé mais peu sous cette forme.
Ce livre présente des points négatifs comme le fait qu'il soit assez lent et long malgré sa petite taille. Il est aussi assez triste et mélancolique du fait du sujet abordé.
Le cri du lièvre présent aussi des points positifs comme le fait que l'auteur met en avant tout ce qu'elle a ramassé derrière elle.
J'aime bien la manière qu'elle a de décrire les scènes en détaille .Le fait que l'auteur est écrit à la première personne nous reproche de l'auteur
Pour conclure, j'ai beaucoup apprécié «Le cri du lièvre » de Marie-Christine Horn.

Fuir ou mourir
Premièrement, "Le cri du lièvre" de Marie-Christine Horn raconte l'histoire de Manu, une jeune femme qui décide de fuir son quotidien infernal. En effet, battue et violée par son "mari" Christian, la jeune femme part en forêt, dans laquelle elle vivra durant des jours, des semaines . le moment le plus marquant de l'histoire tant pour les lecteurs que pour Manu, est lorsqu'elle est contrainte d'assommer le lièvre dont la patte arrière est prise au piège dans la forêt. Elle fera référence à ce moment de nombreuse fois tout au long du roman, elle se comparera elle et ses proches .Lors de son retour à la civilisation, prise de rage, elle voulut tuer son mari, mais celui-ci glissa de la baignoire dans laquelle il se prélassait. Elle fit par la suite la rencontre de deux autres femmes, subissant aussi d'autres formes de violences, leurs histoires vont marquer le reste de leurs vies.
Ensuite, les points positifs de ce livre sont qu'il aborde des sujet de la société actuelle tels que les violences conjugales, le renfermement sur soi-même, la dépression et le fait de se négliger à outrance...
Par ailleurs, les choses que je n'ai pas aimé sont les longues descriptions très détaillés tout au long de l'histoire.
Enfin, j'ai trouvé l'histoire moderne ,les personnages agissent et parlent en conséquences. de plus, l'écriture est formulé de manière courante, l'intrigue est prenante, et passionnante, le personnage de Manu est à la fois touchant, attachant mais aussi énervant car elle n'a aucune apathie envers qui que se soit.
Le récit m'a provoqué du stress, de la colère, à certain passage du dégoût.
Je recommande ce livre à tout le monde dès le lycée car il est facile à lire, assez rapide et nous aide à comprendre les personnes souffrant de troubles psychologiques.

le cri du lièvre, le cri de détresse



Pour échapper aux violences de son mari, une femme maltraitée, Manu, se réfugie à la montagne où elle retrouve des forces et échappe ainsi à l'enfer de son quotidien loin des coups et des blessures. Malgré cette récupération, elle appréhende l'hiver glacial qui approche, mais cela ne semble pas être un grand danger pour l'aventurière. Après avoir abrégé les souffrances d'un pauvre lièvre pris au piège, elle finit par changer d'avis et rentre chez elle. La rencontre avec cet animal l'aura marqué car au fil de l'histoire elle va vivre des situations qui lui feront beaucoup repenser à cette souffrance qui a engendré la mort de cette malheureuse bête.

Cette oeuvre présente des points positifs, comme le fait que Marie-Christine Horn a réussi à transmettre son message sans difficulté. L'histoire est intéressante et traite un sujet dont trop de femmes sont victimes. Elle met en avant la violence conjugale à travers ce récit tragique avec des descriptions réalistes. Mais celle-ci à aussi ces points négatifs, c'est assez violent, voir parfois trop violent, parfois trop réaliste, parfois trop choquant, il faut savoir se cramponner.

D'après moi, les moments marquants sont les plus dur à lire par leurs détails à caractères brutals que ce soit pour les scènes de viol très développées, une description de blessures ou encore lorsque le personnage principal va achever le fameux lièvre.

Pour les personnages, j'ai remarqué qu' ils ont tous un point commun, ils ont tous vécu un traumatisme à un moment de leur vie, Manu qui est battue, qui va aider une femme elle aussi subit des violences à s'en sortir, un passage du livre nous fait aussi comprendre que le mari du personnage principal à lui était victime de maltraitance infantile. Et bien évidement le lièvre pour qui la fin de vie n'a pas était la plus joyeuse. Par ailleurs ce pauvre lapin a fait la plus courte apparition dans le livre mais malgré ça c'est mon personnage préférée celui qui m'a le plus touché. Quand il s'agit d'animaux quels qu'ils soient, je suis particulièrement sensible.

Pour le style d'écriture je dirais que l'auteure a su nous parler de ce sujet sensible avec une facilité impressionnante, avec fluidité. Rien à redire sur cela.

J'ai beaucoup à dire sur les émotions que j'ai ressenti en lisant cette oeuvre. Tout d'abord , j'ai éprouvé du dégoût et j'ai particulièrement été choquée par les scènes de violence. Et puis, lorsque Manu est dans la forêt j'ai pris conscience du vide en moi car elle est seule dans cette nature. Pour finir la mort du lièvre donne des frissons et m'a donné un fort pincement au coeur, si fort que je n'ai même pas pu lire cette horrible scène, je l'ai donc fait lire par ma mère qui m'a fait comprendre que les souffrances de cet être avaient été abrégées.

Ce roman est réservé à un public à la recherche d'émotions, de descriptions et de sujets sensibles, le type de personne qui sait s'accrocher.

Ce qui me mène à conclure que je ne peux pas dire que j'ai apprécié cette lecture en raison de ces moments forts qui me rendaient mal à l'aise. le registre violent n'est pas fait pour moi ce qui est dommage car cet ouvrage est très intéressant et touchant.

LES MÂCHOIRES DU PIÈGE
Ce roman raconte l'histoire de Manu, une femme qui renonce de continuer à vivre un quotidien devenu trop lourd à porter. Entre son travail et sa vie de « couple » avec Christian, un homme lui faisant vivre un enfer, elle lâche prise et décide de tout quitter pour aller vivre librement dans les montagnes. Malgré le manque de confort et parfois de nourriture, Manu commence à prendre goût à cet environnement, dans lequel elle va faire la rencontre d'un lièvre.

Ce livre est compréhensible car le fait que l'auteure utilise la 1ère personne du singulier nous fait se mettre à sa place et mieux la comprendre. La présence de description détaillée nous aide à imaginer ce qu'elle dit, même si des fois les mots employés sont assez « forts » et « crus ». On peut aussi voir que ce roman veut faire passer un message pour dénoncer les violences conjugales, je trouve cela très important.

Les moments qui m'ont le plus marqués sont assez tristes. Il s'agit du passage avec le lièvre qui est coincé dans un piège. Puis de celui avec son mari qui meurt, il m'a marqué car on voyait que Manu en avait marre et qu'elle était prête à tout pour se « venger » et arrêter de souffrir. le dernier moment qui m'a un peu « choqué » c'est quand elle parle des blessures qu'avait Nour sur le corps, cela nous fait prendre conscience de l'ampleur des violences que Nour ou d'autres pouvaient subir.

Cette oeuvre est très bien écrite et pas trop longue, les chapitres sont assez courts. Parfois j'ai pu ressentir de la peine pour Manu ou Nour parce que tout est très bien détaillé et même des fois un peu trop donc on peut comprendre à quel point elles souffraient.
D'après moi ce roman peut plaire en particulier aux adultes car cela les concerne plus. Mais je pense aussi qu'il peut aider les jeunes à mieux comprendre ce qu'il se passe en société.

Pour conclure, dès que j'ai lu le titre je ne m'attendais pas du tout à une histoire comme ça. J'ai un avis assez mitigé sur cette oeuvre puisque d'un côté je n'ai pas trop aimé quand ils parlaient de la nature, mais d'un autre je trouve que ce livre est un exemple car il veut faire passer un message de soutient et de compréhension aux femmes battues.