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3,5

sur 407 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un petit roman de 255 pages écrit par Hugh Howey qui n'est autre que l'auteur de Silo. C'est ma deuxième rencontre avec cet écrivain à qui j'avais déjà lu et chroniqué « Une colonie ».

Au 23e siècle, les phares existent encore mais ils sont placés dans l'espace pour protéger les vaisseaux spatiaux des champs d'astéroïdes. Digger, un vétéran d'une guerre stellaire qui sévit dans toute la galaxie, est devenu suite à ses faits d'armes gardien du phare 21. Cette balise se trouve dans un coin perdu de l'univers. Notre héros qui est censé vivre la solitude de tous les gardiens de phare va se retrouver confronter à une succession d'aventures et de personnages qui vont profondément perturber le huis clos qui aurait dû s'imposer à lui. Cet ancien militaire traumatisé de la guerre, aurait pu nous être sympathique mais l'aspect loufoque de ses péripéties comme celui de sa propre folie rend le scénario difficile à suivre voire pas moment incompréhensible.

Heureusement le style de l'auteur est là pour sauver ce roman. En effet, et grâce cette fois-ci à la fluidité de son écriture, Hugh Howey arrive à nous maintenir à flot dans un livre qui avait tendance surtout à nous noyer. Les personnages sont relativement bien décrits et prennent leur place dans l'aventure, y compris le chat extraterrestre et télépathe Cricket. Pour le scénario, je le trouve un peu bancal. Les cinq parties qui le composent, ont un peu de mal à s'imbriquer les unes aux autres pour former un roman complet. On a même quelquefois des problèmes à trouver une certaine cohérence pour ce Fix-up qui peine souvent à trouver son unité.

Si ce livre avait tout pour plaire au début, il faut avouer qu'on est pourtant très loin du Phare du bout du monde de Jules Verne ou d'Ar-men le roman graphique d'Emmanuel Lepage. L'idée de cette balise perdue dans l'espace avec son gardien déjanté était super originale et aurait dû plaire aux amoureux de solitude et de grand espace. Malheureusement la magie n'était pas au rendez-vous et heureusement pour Hugh Howey, il me reste encore à lire son Silo pour me permettre enfin d'avoir un meilleur jugement pour cet auteur américain de science-fiction.

« Je pense à mes potes qui ont tiré leur révérence à cause d'une grenade et à ceux qui sont morts d'un staphylocoque doré dans un hôpital pour anciens combattants. Ces derniers passent inaperçus. Ils ne sont qu'une statistique. Mourez sans bruit et vous êtes un chiffre. Mourez de façon spectaculaire et vous êtes un nom. »
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Bien que n'ayant toujours pas lu Silo, c'est la deuxième fois que je croise Howley après Une Colonie il y a quelque mois. Lecture qui s'est révélée plutôt agréable sans être transcendante.
Avec Phare 23, l'auteur nous dépose au fin fond de la galaxie, dans une des centaines de balises considérées comme des phares spatiaux, placées ici et là pour aiguiller les vaisseaux et éviter les accidents.

Bref, l'isolement total pour un ancien héros de guerre, parfait pour une pré-retraite en compagnie de ses souvenirs et de ses démons. Mais bizarrement, on est loin du huis-clos envisagé durant les premières pages, et Howley va réussir à donner libre cours à son imagination et briser la routine de notre gardien de phare.

Après s'être approfondi sur la solitude et les tourments de notre personnage principal, l'auteur nous concocte quelques épisodes assez surprenants, avec son lot de rencontres nous laissant parfois une moue dubitative sur le visage.

Ça part un peu dans tous les sens, sans qu'une intrigue digne de ce nom parvienne à donner de la consistance à l'ensemble, et sans parler de l'aspect cliché que Howley n'a pas su éviter.
Malgré tout, on y trouve des axes de réflexions plutôt intéressants, sur la guerre, la solitude ou encore les rapports humains. Un style fluide, sans filtre, et un humour corrosif rendent la lecture agréable, sans réussir à nous faire oublier les carences de l'histoire.

J'attendais beaucoup de cet auteur au vu de l'engouement provoqué par Silo, et je reste pour l'instant sur ma faim. Il ne me reste plus qu'à m'attaquer à ce gros morceau pour espérer inverser la tendance.
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Vétéran des terribles guerres contre des aliens belliqueux (conflit qui perdure toujours), Digger a choisi son affectation qu'on lui a offert comme une récompense pour ses actes de bravoure (qui s'avéreront faux) : il veux devenir gardien de phare. Bon, en fait de phare, il s'agit d'une balise perdue au fin fond de l'espace infini. Mais cette balise (la numéro 23) est aussi importante que toutes les autres. Elle permet de jalonner la route des vaisseaux qui voyagent plus vite que la lumière. Digger vit donc dans cette solitude voulue, frôlant la folie parfois, et reçoit un jour une visite inattendue...

J'ai reçu ce roman grâce à la dernière opération Masse Critique du site Babelio. Qu'ils en soient ici remerciés, ainsi qu'Acte Sud, qui publie ce roman.

Voici quelques temps, Hugh Howey avait défrayé la chronique avec sa trilogie Silo (première parution d'exofictions, la toute récente collection SFFF des éditions Acte Sud). le revoilà donc avec un nouveau roman, très court. Un one shot qui se veut un thriller (si on en croit la quatrième de couverture, mais on m'a appris à ne pas les croire) dans l'espace.

Ce qui est marrant avec ce roman, c'est que sous ses dehors d'hard science (cette branche de la SF qui se veut très réaliste, ne jouant jamais avec les concepts connus de la science), il manque de réalisme. Et ce qui est paradoxal parce que c'est justement ce manque de réalisme qui le rend intéressant. En effet, comment croire qu'on ait besoin de mettre des gens dans des balises perdues à l'autre bout de la galaxie, comme on mettait des gardiens dans les phares d'antan pour prévenir les bateaux de la proximité d'une côte ? On ne le croit pas, tout simplement. Et on se dit, à tort ou à raison, que l'important dans ce livre n'est pas la crédibilité d'une telle situation. Si Coolridge nous a appris à suspendre notre incrédulité, ce n'est pas pour rien.

Mais alors, où doit-on placer le curseur dans cette histoire ? Tout simplement dans le fait que cet homme, ce personnage dont on ne sait pas le nom, juste un surnom qu'il se donne lui-même, est un individu qui vit la solitude. Parce que Digger (le creuseur) est seul quand le lecteur le rencontre, et comme il se demande tout le temps si ce qu'il voit et/ou ce qu'il vit est la réalité, forcément on est plutôt enclin à ne pas trop lui faire confiance. Ses aventures et ses rencontres (une pierre qui parle surnommée Rocky !) qu'il vit/fait sont forcément sujettes à caution. Où est la réalité ? Où se situe la frontière de la folie ? Au final, le plus intéressant demeure qu'aucune solution toute faite n'est donnée au lecteur. Il se fait sa propre opinion...

En revanche, j'aimerais pousser un (tout) petit coup de gueule. Pas sur le bouquin qui, comme je l'ai dit plus haut, est loin d'être un chef d'oeuvre mais est tout de même très intéressant. Non, c'est plutôt l'édition en elle-même qui me fait tiquer. Outre le fait que la quatrième de couverture est mensongère, je trouve que vendre un bouquin de moins de 250 pages presque 20€ relève presque du vol. Parce que certes Hugh Howey a fait le buzz voici quelques temps, mais cela ne justifie en rien le prix pratiqué (moi, je suis un privilégié, j'ai reçu mon exemplaire gracieusement, mais tout le monde n'a pas la chance de recevoir des services de presse).


Lien : http://les-murmures.blogspot..
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Un libraire persuasif m'a fait lire ce bref roman, sachant que "Silo" m'était tombé des mains. Il y a parfois de bons libraires ... Que dire de ce volume ? C'est de la science-fiction "Actes Sud", à bons sentiments pacifistes propres sur eux. Mais c'est aussi une excellente histoire, un huis-clos remarquable et la fable d'un ancien combattant mettant fin à une guerre meurtrière, sans lésiner sur les vies de ses camarades. Je n'évoquerai pas, pour dernier compliment, le sinistre "humour", ce mot qui, sous la plume des critiques, suffit à plomber une ambiance à quinze années-lumière à la ronde : je dirai plutôt que l'on rencontre des scènes d'une intense drôlerie, qui aide à faire passer la moraline.
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Tout comme dans les silos, les précédents livres de Hugh HOWEY, Phare 23 est une sorte de huis clos, de l'espace cette fois.
Ce phare est une balise signalant des champs d'astéroïdes aux vaisseaux de passage dont le gardien solitaire est un ancien soldat réformé. Nous sommes dans un contexte de guerre avec des aliens impliquant notre aiguilleur du ciel.
Je ne vais pas trop m'attarder à disséquer ce bouquin ni très ennuyeux ni très intéressant mais un peu poussif, pas au point de l'abandonner en cours mais pas si loin non plus. Il donne l'impression d'avoir une bonne trame de départ mais c'est comme si l'auteur s'était lassé de l'écrire tout en se faisant un devoir de le terminer quand même, il va d'ailleurs bien jusqu'au bout mais c'est une histoire parfois confuse et brouillonne qui ne laissera pas un souvenir impérissable.
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Un phare pour veiller sur les navigateurs. Un gardien pour veiller sur le phare. Sauf que la mer ici est cosmique, les récifs des morceaux d'astéroïdes ; et pour les relier, c'est le vide, interstellaire. L'univers va à sa perte, rongé par des guerres intestines, des aliens menacent la sécurité des humains. le gardien de la balise 23 assiste à tout cela, spectateur impuissant d'un monde qui lui échappe et tandis qu'il veille sur la balise, des souvenirs l'assiègent. Car la solitude est un poison qui ronge l'âme de manière autrement plus dangereuse que toutes les menaces extérieures.

« Phare 23 » est un roman de Hugh Howey, auteur de la trilogie renommée « Silo ». le roman commence par des petits bruits qui agacent la tranquillité du gardien de la balise 23. Ces petits bruits, presque anodins, sont pourtant le point de départ de sacrées avaries et de communications intenses avec la Nasa. Ce début n'est pas sans rappeler « Seul sur Mars », d'autant que le protagoniste principal n'est pas avare en matière d'autodérision.

Mais le lien s'arrête là car, très vite, il va être rejoint par une galerie d'autres personnages tout aussi atypiques qu'il l'est : des chasseurs de prime, la femme pourchassée – ancienne maîtresse du gardien, un caillou également – un dénommé Rocky doué de parole, …

Le roman est composé d'éléments qui, pris un à un, auraient tout pour plaire : de l'humour corrosif et sympathique, un gardien de phare qui ne se prend pas au sérieux, qui apprend plein de choses sur lui et les autres, mais lui surtout ; de l'amour, de la tendresse dans ce monde de brutes ; un peu de technologies, d'extra-terrestres, de guerres, vaisseaux qui explosent ; un peu d'action. Mais au final, le mélange a bien du mal à prendre, l'ensemble restant hétéroclite, une oeuvre en forme d'ébauche, incomplète.

Et puis la fin quelque peu sibylline déroute. La note conclusive de l'auteur ne parvient pas à convaincre. Bon, je le comprends maintenant : avoir voulu découvrir l'oeuvre de Hugh Howey en commençant par « Phare 23 » était tout sauf une bonne idée. Cela ne m'empêchera pas, pour autant, de me plonger dans « Silo » qui semble d'une autre trempe.
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Phare 23 est un livre que j'avais reçu pour l'achat de 2 Babel, il y a quelques années, et qui sommeillait depuis lors dans ma bibliothèque. D'instinct, je ne me serais pas dirigée vers ce genre de roman et d'ailleurs, je lis rarement de la SF…

Je dois admettre aussi que je voyage peu dans l'espace et que je ne suis pas fan des films qui s'y déroulent, bien que l'univers m'attire, j'ai souvent du mal à accrocher et je finis par passer à côté. Je me disais que ce serait pareil pour ce roman. Et pourtant. J'ai beaucoup aimé me plonger dans le cosmos et me retrouver aux côtés de notre héros sans nom.

Mais du coup, je m'attendais à en lire encore davantage sur l'environnement dans lequel évolue notre personnage principal. J'ai trouvé que cela manquait de descriptions sur le paysage interstellaire… J'ai eu l'impression de demeurer en surface… Et il m'a manqué ce sentiment d'immersion totale dans l'espace.

Malgré ça, j'ai apprécié ma lecture. C'est sans prise de tête (quoique), dépaysant et même drôle ! Quelques passages m'ont en effet fait sourire, notamment les conversations avec Rocky… Sacré Rocky !

C'est une lecture carrément loufoque par moments, l'action s'enchaîne sans qu'on ait le temps de dire “ouf” et certaines situations paraissent même improbables. Notre héros, ex-soldat traumatisé par la guerre intergalactique, s'est retrouvé dans la balise 23, perdu et isolé en pleine voie lactée afin de fuir ses démons et au final, il attire tous les ennuis. Moralité, rien ne sert de fuir, on finit toujours pas être débusqué ! En tous cas, pour quelqu'un qui aspire à la sérénité, c'est dingue tout ce qui lui arrive...

Toutes les réflexions sur la guerre et tutti quanti m'ont un peu ennuyée par moments car je ne m'attendais pas à lire un roman autour de cette thématique. Mais tout ceci est nécessaire pour appréhender les ressentis du personnage principal et comprendre sa psychologie. Comprendre pourquoi il en est là. Ce qui influe ses choix. A travers ce récit, l'auteur expose une critique construite de la guerre (quelle qu'elle soit) et de ses travers, sur la paix espérée et la notion de pardon...

C'est finalement une bonne surprise, qui m'a dépaysée, même s'il m'a manqué une bonne dose d'immersion. Une lecture agréable donc mais dont je ne garderai pas forcément un grand souvenir.

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J'ai eu du mal à rentrer dans l'univers de ce livre, mais je m'y suis finalement faite petit à petit. Ce n'est absolument pas le style de roman que j'ai l'habitude de lire et je ne suis pas une très grande fan de SF, mais j'ai voulu sortir de ma zone de confort et lire de nouvelles choses. Ce que j'en retiens ? J'ai trouvé certains points abordés par l'auteur intéressants : les effets de la solitude sur une personne qui peut parfois mener vers la folie, et bien sûr l'idiotie de la guerre, des vies détruites inutilement, ainsi que la réflexion sur le pardon et l'empathie.
Je ne me suis pas ennuyée en comparaison de certains autres lecteurs, mais je suis d'accord pour dire qu'il y a eu beaucoup de coïncidences, peut-être un peu trop. Et l'histoire d'amour était évidente, tout comme la fin. Je ne suis donc pas d'accord avec la présentation de l'éditeur qui nous le vend comme un roman "au suspense haletant".
Mais cela reste tout de même une lecture agréable, qui change, même si elle ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Après la trilogie Silo, j'attendais avec impatience le nouveau Hugh Howey. Sorti en septembre dernier, j'ai mis un peu de temps à me le procurer. Il faut dire qu'à 14,99 euros le livre numérique (et ici il ne fait que 240 pages) cela est plus qu'excessif !!! En contrepartie, il n'y a pas de DRM, un miracle, c'est même le seul auteur publié par Actes Sud dans ce cas. On marche sur la tête...

Enfin bref, revenons à Phare 23. Présenté comme un roman, c'est en fait un fix-up, c'est-à-dire la réunion de nouvelles se déroulant dans le même univers pour former un roman à part entière. Cela n'est nullement mentionné par l'éditeur sur la quatrième de couverture... un oubli malvenu d'autant plus que le passage d'une nouvelle à l'autre n'est pas fluide, il manque du liant pour que l'enchaînement se fasse naturellement... je dirais que c'est un peu bancal !!!

Déroutant sur la forme, Phare 23 l'est aussi sur le fond. Nous suivons la vie quotidienne d'un gardien de phare, un phare un peu spécial puisqu'il s'agit en fait d'une balise perdue au fin fond de l'espace qui signale aux vaisseaux de passage la présence d'une ceinture d'astéroïdes. Nous suivons la douce folie d'un homme laissé seul, oublié, qui n'a que peu de contacts avec le monde réel. C'est dans le deuxième chapitre, un long monologue, décalé, à la fois captivant et complètement barré que je me suis demandé ce que je lisais... la suite redevient beaucoup plus classique !!

On peut faire un parallèle avec Silo : une fois encore, dans Phare 23, Hugh Howey nous emmène dans un endroit clos, isolé, loin de tout avec un monde extérieur hostile, mais ici l'auteur s'intéresse plus aux émotions du gardien. Entre introspection et folie douce, ce livre ne laisse pas indifférent.

Pour conclure, ce roman / fix-up / recueil de nouvelles est assez déroutant, la transposition du gardien de phare des côtes (bretonnes) au fin fond de l'espace est assez bien vu, la solitude du gardien est vibrante de vérité. Au final, c'est un livre dont je me souviendrai, ni vraiment raté, ni vraiment réussi, juste un livre qui a quelque chose de différent... et c'est déjà pas si mal !
Lien : http://les-lectures-du-maki...
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Avis mitigé pour cette lecture. Roman court fourre-tout, avec tout de même pas mal de clichés (vétéran de la guerre abîmé, histoire d'amour, guerre intersidérale, héroïsme...) Les cent premières pages sont un peu vides, on suit juste les errements de ce type paumé dans un coin paumé de l'univers. Puis soudainement on pense que l'histoire se lance avec la découverte d'une créature extra-terrestre... Mais non, fausse piste. Puis deuxième chance de voir l'histoire commencer avec l'apparition d'une femme, mais là encore faux espoir... Elle disparaît rapidement... Ce n'est qu'à le moitié du livre qu'il commence à se passer quelque chose, mais c'est un peu "Plus belle la vie" de TF1... Tout se précipite dans les 40 dernières pages, où le roman prend de l'ampleur, et nous donne enfin de quoi réfléchir avec une belle notion d'anti-militarisme, et de pardon.
C'est tout de même bien écrit, il y a un Toutou sympa (là, j'aime bien), des erreurs bizarres comme celles où le personnage principal nous parle de la Terre où dans son enfance il y avait encore des panneaux STOP et des constructions de Feux rouges ou encore des vieux tracteurs diesel... Nous sommes pourtant en période où l'humain a conquis l'espace... Bizarre.
Je pense que la trilogie SILO du même auteur sera pour moi une plus belle surprise.
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