La villa aux étoffes, tome 2 : Les filles de la villa aux étoffes

Je trouve que cette lecture est parfaitement de saison à lire sous un plaid au coeur de l'hiver en quelques soirées devant une cheminée, le genre de pavé qui se lit tout seul.

J'ai apprécié ici le fait de retrouver nos personnages principaux et le fait que les choses soient plus "mouvementées" du fait que la guerre arrive.

Cependant je dois bien avouer que lisant des romans historiques, il y a le fait ici que cela reste bien en surface du faut que la famille est également plutôt privilégié par rapport à la population lambda.

Le côté gestion de l'usine est également plutôt intéressant et le fait de vouloir changer certaines choses pour la faire tourner est également assez intéressant à lire. Celle-ci va désormais se lancer dans des productions plutôt novatrice pour l'époque.

Je trouve cependant dommage que sur un récit de presque 700 pages de resté en surface comme cela car j'aime lire des récits plus dense historiquement parlant.

Ici l'auteur semble clairement vouloir faire un récit le plus grand public possible un peu dans l'esprit des tomes des 7 soeurs qui se lisent tout seul mais dont au final il ne reste pas grand chose en mémoire pour mon cas en tout cas.

Si je trouve les autres tomes disponibles en bibliothèque je les lirai au compte goutte.

Déçue par le premier tome, je me suis lancée dans le second en espérant qu'il rattraperait le premier.
Mais je ne peux que constater que ce tome ci est aussi décevant pour moi que le premier. Je ne sais pas encore si je lirai la suite ou non.
Certains personnages deviennent agaçants par leur égoïsme.
Cependant l'autrice retranscrit avec beaucoup de vérité la pauvreté de cette époque. Mais cela ne rattrape pas l'ennuie que m'a procuré cette lecture

Second volet de cette belle saga, la première guerre mondiale continue de faire rage et la famille Melzer doit y faire face. Les hommes au front, ce sont les femmes qui vont s'occuper du quotidien, des affaires. J'ai trouvé intéressante cette description de ces femmes qui doivent prendre en main la destinée familiale et ainsi, évoluer, grandir et s'enrichir de toutes ces expériences, lot connu par de nombreuses femmes qui ont du et qui ont su remplacer les hommes pour faire vivre leur famille, l'économie de leur pays.

{LECTURE 2023-119} Les filles de la villa aux étoffes de Anna Jacob chez Charleston

1916, la guerre est là, on retrouve les Metzler et leur personnel dans cette période trouble.

Je ne vais pas vous mentir mais j'ai trouvé ce tome plutôt ennuyeux. C'est trop lent, ça manque d'émotions. Pas mal de longueurs. La psychologie des personnages devrait être intéressante mais l'auteure s'y arrêté peu au final et c'est bien dommage. le premier tiers demandé de s'accrocher.

J'avais aimé le tome 1 qui était aussi lent mais ici la période me semblait plus propice à développer les personnage et notamment l'évolution de Marie au sein de la maison Metzler. Ceci dit, j'ai aimé cette alternance de point de vue, j'ai aimé suivre leur vécu en Allemagne durant la guerre. J'ai aimé voir Marie prendre les choses en main, j'ai aussi appris à apprécier Élisabeth. Kitty reste pour moi la moins attachante. Les filles de la Villa sont le reflet de l'évolution des moeurs et de l'arrivée de la modernité des années 20.

Je lirai le tome 3 parce que j'ai quand même envie de savoir comment vont évoluer leurs relations et la maison Metzler.

Bref, une lecture en demi-teinte mais une saga intéressante sur le plan historique.

J'avais laissé la famille Melzer à l'aube de la Première guerre mondiale cet été, il était temps de continuer.
On retrouve la villa 3 ans après les événements du 1er tome, et tout a basculé puisque la guerre a éclaté.

J'ai trouvé intéressant de découvrir le conflit du côté allemand : on se doute que la suite va être compliquée avec les conséquences du traité de Versailles et le paiement des dommages de guerre.
Cette belle brique de quasi 700 pages se lit facilement, l'écriture est fluide et j'ai vu défiler les chapitres sans m'en rendre compte.

Une chose m'a gênée cependant dans ma lecture : le résumé vante une saga familiale digne de Downton Abbey et effectivement, il n'est pas difficile de repérer la source d'inspiration. Par moment c'est même un peu trop flagrant...
Je lirai quand même le 3e tome par curiosité.

Ce second tome est bien écrit, intéressant, très bien documenté... mais il m'a bien moins enthousiasmée que le premier.
On y suit toute une galerie de personnages, des directeurs de l'usine à leurs domestiques en passant par quelques membres plus lointains de la famille, de Augsbourg au front, mais j'ai trouvé que tout cela était un peu trop "éparpillé". Il m'a manqué un fil conducteur, une vraie intrigue.

Là, le sujet est "la vie pendant la guerre". Alors certes, c'est très bien fait, et j'ai aimé découvrir ce conflit du côté allemand. Mais j'ai eu l'impression que les évènements et les personnages s'enchainaient, sans vraiment d'approfondissement ni de lien d'un chapitre à l'autre.
Dans le premier tome, il y avait l'histoire de Marie qui reliait tous les évènements entre eux et apportait un peu de mystère : qui était-elle, quel était son lien avec la famille Melzer ? Cette fois, tout est survolé. Marie devient un personnage secondaire (j'aurais aimé par exemple en savoir davantage sur son nouveau rôle au sein de l'usine, qui est évoqué en quelques pages rapides).

Le fait que chaque personnage n'ait droit qu'à quelques chapitres m'a aussi empêchée de véritablement m'attacher à eux. Et même si j'ai apprécié que le sujet de la guerre soit abordé sans pathos, mais avec beaucoup de réalisme, j'aurais tout de même aimé parvenir à m'émouvoir un peu plus du sort de chacun. Moi qui suis habituellement très bon public pour ce genre de roman (sortez les mouchoirs!) ici les drames des uns et des autres m'a plutôt laissée de marbre, car trop vite survolés.

Très honnêtement, j'ai eu du mal à terminer ma lecture : au milieu du roman je l'ai laissé de côté 2 bonnes semaines, totalement désintéressée par la suite. Je me suis forcée à le finir, à la fois parce que je garde un très bon souvenir du tome 1, et parce que j'aime bien laisser leur chance aux livres, mais je ne pense pas continuer la saga.

Il s'agit du deuxième tome, après La villa aux étoffes que j'avais lu il y a déjà un an et demi...
Si au départ, j'ai eu un peu de mal à resituer les différents personnages, l'histoire m'est par contre revenue très rapidement.

Ce tome se déroule durant la première guerre mondiale, entre les années 1916 et 1920. Les hommes sont absents, appelés au front, l'usine tourne au ralenti et un hôpital de guerre a été installé dans la villa.

Le rythme de ce roman est lent voir très lent mais ça ne m'a pas dérangée, j'ai beaucoup aimé cette lecture.

Marie est plus en retrait par rapport au tome précédent mais j'ai aimé découvrir un peu plus les deux soeurs : Kitty et Elisabeth.

J'ai trouvé la fin émouvante.

Attention, ceci est un tome 2. le premier livre de la saga s'appelle « La villa aux étoffes » et je risque de spoiler un peu le tome 1 dans cette chronique.

J'ai malheureusement été déçue par ce roman.
Dans le résumé de ce deuxième tome est évoquée une possible relation entre Ernst von Klippstein et Marie alors que Paul est parti à la guerre. Si vous espérez suivre une histoire d'amour cachée, vous serez déçu.e. car Ernst n'est que très peu présent.

Nous suivons les hommes au front parfois et les femmes dans la villa des Melzer dans d'autres chapitres. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de passages qui n'apportaient rien à l'histoire, c'est pourquoi je me suis souvent ennuyée. Certes, nous sommes à la guerre et c'est tragique, évidemment, mais je n'ai malheureusement pas été touchée par ce que je lisais.
De plus, j'ai eu l'impression que l'autrice s'est attardée sur des éléments peu essentiels alors que d'autres auraient pu à mon sens être plus développés. Un événement que j'estimais être important arrivait et l'autrice décidait de ne pas l'expliquer. Elle passait à la suite directement, et je restais à chaque fois sur ma faim.
Je pense simplement que l'autrice et moi n'avons pas les mêmes attentes et que ce qu'elle estime être important pour l'histoire ne l'est pas pour moi, et inversement. Je suis complètement passée à côté de cette histoire.

Outre cela, j'aime quand même bien l'ambiance familiale avec les domestiques, les robes etc. J'ai donc quand même été contente de retrouver les personnages que j'avais aimé découvrir dans le tome 1, mais ça n'a pas suffi à me faire apprécier ce roman.
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Après avoir adoré le tome 1 de "La villa aux étoffes" je me réjouissais de retrouver toute cette ambiance avec ces personnages attachants dans ce tome 2. Ma lecture a bien commencé mais malheureusement je n'ai pas autant accroché que le premier. Des passages assez longs sur les conditions des domestiques au front pendant la guerre, l'attente des nouvelles des soldats par les membres de la villa à chaque chapitre.. Il ne s'est pas passé plus de choses que ça finalement et j'avoue m'être un peu ennuyée par moment. Les derniers chapitres ont eu le mérite de me donner envie de continuer avec le tome 3 qui j'espère sera meilleur que celui-ci. Mais c'est le jeu avec les sagas, nous avons des préférences sur certains tomes !

J'avais adoré le tome 1, en comparaison celui ci est une petite déception.
Commençons par les points positifs: la période historique est intéressante, surtout côté allemand. J'adorais Elisabeth et je ne supportais pas Kitty dans le premier tome et mon avis s'en est trouvé conforté. L'alternance de points de vue permet de se plonger dans le quotidien de tous les personnages. Les filles au premier plan - cf le titre- sont le reflet de l'évolution des moeurs et du souffle de modernité que les années 20 vont doucement apporter.

Les points négatifs ? Trop de longueurs et à côté de ça, des ellipses pour chaque moment important ! C'était très frustrant. Au lieu de profiter de ces scènes majeures pour exploiter plus profondément la psychologie des personnages et amener de l'émotion, c'est amené en trois phrases à la fin d'un chapitre et celui d'après, plusieurs semaines se sont déjà écoulées et c'est à peine mentionné. Exemple la mort de Johann Melzer, la fausse couche d'Hannah, la mort d'Alfons, Karl qui revient défiguré... Tout cela fait l'objet de quelques paragraphes dans le meilleur des cas et ensuite on passe très vite sur la façon dont les personnages vont réagir alors que c'est justement le plus important et le plus intéressant ! Avec ce choix, l'autrice rend son roman morne et sans émotions.
J'ai regretté aussi que Marie n'aie plus autant d'importance. Avoir un personnage phare à travers lequel découvrir maîtres et domestiques était un atout dans le premier tome. de plus Marie change beaucoup avec son nouveau rang social et certaines de ses décisions sont décevantes.
Sans la part de mystère du premier tome (qui est réellement Marie) on perd aussi l'ambiance de secrets de famille qui nous faisait dévorer les pages.

J'ai lu ce roman sans déplaisir grâce aux points positifs mais avec un enthousiasme qui s'est petit à petit émoussé. Je lirai cependant la suite et j'espère qu'elle sera plus à la hauteur.