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3,45

sur 8060 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai lu ce roman par curiosité j'en entendais tellement parlé
Quelle déception cela ressemble à la collection Arlequin
Si le
Personnage n'était pas un beau et riche milliardaire il n'aurait pas fait fantasmer toutes ces lectrices
Un homme odieux qui prend sa partenaire pour un jouet mais dans un univers de luxe
Je l'ai fini mais pas lu les autres tomes
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Ce type de roman n'est pas ma tasse de thé. J'ai commencé à le lire par curiosité, au vue du succès cinéma, et surtout car c'était un prêt.
Je n'ai pas pu dépasser les trois ou quatre premières pages tant c'est insipide. Je m'explique. L'héroïne doit interviewer Mr Grey à la place de sa colocataire qui est tombé malade. Dans les 3 premières pages, elle ne cesse de se plaindre et de rabâcher à quel point ça la contrarie de devoir faire des milliers de kms à la place de sa copine. En parallèle de ces jérémiades sur ce déplacement, elle parle de ses cheveux qui rebiquent et des difficultés que cela lui pose. Doit-elle les attacher en queue de cheval ou les laisser détachés ?
Wow, qu'est-ce que c'est intéressant ! Et tout ce débat philosophique non pas sur un paragraphe mais sur trois pages !
Dans ce roman, il y a peut-être un intérêt majeur à ce qu'elle parle très longuement de ses cheveux dès la première page ? Que sais-je : peut-être fait-elle des choses terriblement sexy et sensuelle avec son indomptable crinière ? Peut-être va-t-elle fouetter Mr Grey avec sa queue de cheval et faire gonfler son désir ?
En tout cas, l'héroïne de ce roman m'a gonflé dès la première page avec ses problèmes capillaires !
Le style décidément trop neuneu m'a vite fait refermer le livre.

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J'ai acheté ce livre pour découvrir "le phénomène 50 nuances de grey". Quelle déception !

Les personnages sont creux et mis en scène dans une histoire inexistante. Je sais que les romans ne sont pas achetés pour la qualité de l'écriture, mais quand même... je suis tout même allée au bout ma lecture pour me faire un avis.

Bref, je ne comprends pas l'effervescence pour ce livre !
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Que dire ?

J'étais allée voir le film au cinéma quand il est sorti avec des amies, il y a une dizaine d'années, et à vrai dire, on avait passé une fort bonne soirée. En en reparlant, donc, l'une d'elles me propose de me prêter le livre, alors je dis oui. Hélas ! C'est bien la première fois que je trouve la version film meilleure que la version du livre !

Déjà c'est hyper mal écrit, ou mal traduit, ou les deux ! C'est bourré de clichés et de redites. Et puis c'est quand même un exploit d'avoir réussi à écrire une oeuvre aussi mièvre et gnan-gnan dans un contexte pareil !

Bref, à oublier d'urgence !!!
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Histoire longue et lente, sans surprise, bancale, sans intérêt. Je me suis ennuyée tout du long. Dans ce registre j'ai lu d'autres livres beaucoup plus attrayants mais qui malheureusement non pas eu le droit à toute cette publicité. Je suis surement passée à coté , tampis pour moi.
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Je suis parvenue à aller au bout! Mais j'ai douté. Quelques pages ont tourné un peu vite, mais j'ai presque tout lu. Un supplice pendant la première moitié. Puis, me suis-je habituée à tous ces "putain" et ces "merde", à cette fausse prude qui ne cesse de se mordiller la lèvre et de lever les yeux au ciel? La deuxième moitié a été moins fastudieuse et la fin a un peu racheté toute cette bêtise, mais malheureusement je sais qu'il y a d'autres tomes et que comme trop de femmes battues, elle va y retourner chez le taré qui prend son pied à lui faire mal. Comment un truc pareil, aussi mauvais sur la forme que sur le fond, a-t-il pu être érigé en succès?
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Cinquante nuances de Grey/El James
Eu égard au tapage médiatique dont a bénéficié ce livre je me devais d'aller y voir de plus près afin de me faire une idée plus précise.
En effet, avec plus de 6700 notes publiées sur Babelio on peut parler de phénomène de société et j'ai donc choisi de lire ce pavé de près de 700 pages (pour le tome I ; il y en a 3 autres par ailleurs : mais je m'arrêterai au premier et vous comprendrez pourquoi quand vous aurez lu la suite de mon propos !).
En fait, les cent cinquante premières pages sont plutôt soporifiques. Tout est absolument convenu et très aseptisé. C'est la mise en place des personnages marionnettes pour le grand guignol qui va suivre.
Après, on ouvre un oeil quand Christian l'adonis fait visiter son laboratoire de plaisir à la pauvre Ana. Et la suite fait ouvrir les deux yeux. Tout de même ! Mais on retombe vite dans un récit hypnagogique ou le thème ne se prête qu'à des variations limitées.
Je sais bien que les millions de personnes qui ont lu ce livre ne cherchaient pas à retrouver les mémoires de Casanova ou les écrits licencieux de Mirabeau, Sade ou Diderot, mais quand même, notre auteur aurait pu faire un effort sur le style : bâclé, il est d'une pauvreté affligeante pour ne pas dire d'une vulgarité rédhibitoire qui n'était pas indispensable je crois et ce pour des dialogues totalement inconsistants.
Le second défaut de ce livre, c'est que c'est vraiment long ! Pour deux ou trois passages érotiques pittoresques, (et encore : ils n'ont rien de révolutionnaires ! Peut faire mieux !), il faut supporter des bavardages d'une platitude consternante, sans aucune subtilité, sans aucun intérêt pour une intrigue qui n'existe pas du reste.
Inspiré de la série Twilight de S.Meyer, ce roman vendu à des millions d'exemplaires traduit bien à mon sens le désert affectif, érotique et intellectuel d'une grande partie des lectrices. Alors Messieurs ! Il va falloir se réveiller !
Abordons le thème quand même : une jeune étudiante en lettres anglaises rencontre un jeune homme d'affaires d'une beauté qui la fait littéralement chavirer : Christian Grey, directeur d'une société employant 40 000 personnes et oeuvrant sans relâche pas seulement dans le sexe mais aussi dans le caritatif.
Une liaison sulfureuse s'instaure avec ce surhomme doté de toutes les qualités et de tous les biens marques de richesse : moult voitures (Audi surtout), hélicoptère, appartements somptueux, joue du piano comme Rubinstein, écoute la Traviata en donnant la fessée à Ana…
La pauvrette, Ana, la narratrice de surcroit (ce qui explique en partie le désert littéraire), est complètement larguée, timide, rougissant au moindre mot un peu chaud, et se mord les lèvres d'inquiétude à chaque paragraphe. Mais que va-t-il donc m'arriver ? Elle doit avoir les lèvres en lambeau !
La répétitivité des situations et des atermoiements de Ana qui finalement toute volonté abolie comme un zombie, cède au désir ( le sien et celui de Christian, ce qui est quand même le minimum !) à chaque chapitre parce que Christian est beau, mystérieux et sait la faire grimper aux rideaux, - cette répétitivité donc est lassante.
Rien n'est crédible dans cette histoire mal construite et aux personnages stéréotypés.
Je crois qu'il n'y a pas de temps à perdre : lisez autre chose. Des bons romans érotiques, il y en a !
Mais me direz-vous, pourquoi l'avez-vous lu, vous ? Eh bien, pour faire ce commentaire qui peut rendre service à quelques uns et vous qui me lisez en premier lieu. Et par curiosité, je l'avoue. On en parle tellement ! Curiosité tellement déçue, je le concède.
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Grey impose ses désirs, normalise la pédocriminalité et les troubles alimentaires. Quant à Ana, elle passe son temps à insulte sa BFF dès qu'elle essaie de l'aider ou la soutenir.
Je déteste encore plus le cliché de l'héroïne qui n'a pas confiance en elle et se compare à toutes les femmes, pour les rabaisser derrière.
Une lecture compliquée.
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Je sortais d'un assez long compagnonnage littéraire avec le Lelia de G Sand quand je suis tombé sans tranisition ni phase de décompression et Dieu sait pourquoi, sur cette infamie éditoriale, ce best seller ébouriffant aux 150 millions d'ex. vendus : CINQUANTE NUANCES DE GREY.
Chute éprouvante dans le cul de basse fosse de la littérature. Livre de femme écrit, bien que l'auteur s'en défende, pour des femmes (8O% des lecteurs sont des lectrices). Vulgaire, plat, élémentaire. Dispensez vous de devenir le 150 millionnière plus 1, même l'érotisme ne vous émoustillera pas et l'ensemble vous ennuiera horriblement.
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Bon, j'ai fais le mouton. Clairement, je ne lis jamais de romance, encore moins erotique ou dark...
A force d'en entendre parler de tous les côtés, ma curiosité ma amenée à tenter l'expérience.

Et bien que dire en effet...

Une Nana neuneu, naïve et inexpérimentée tombe amoureuse d'un richissime et jeune homme à la tête d'une colossale entreprise.
Je pense que les amateurs des romances erotiques trouvent peut être leur bonheur à cette lecture et s'ils aiment le SM, ils seront ravis.

Ces deux personnages sont agaçants, elle par sa naïveté, et lui par son arrogance.
L'histoire est repetitive, sans intérêt, je t'aime moi non plus, oui mais non je ne peux pas, en fait si je vais essayer... Des scènes erotiques et sexuelles en veux tu, en voilà...mouais je comprends pas l'engouement pour le coup.
Tout ça pour ça ?


Ouais bon je préfère de loin mes polars !
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