Mais ne t'inquiète pas: ce n'est pas la mort qui est triste, c'est ce que nous faisons de nos vies!
"Vous vous trompez. Cest euphorisant et sécurisant pour nos enfants. IIs entretiendront une relation décomplexée avec la réalité. L'affaiblissement progressif du réel est ce qui tue les familles, comme les nations."
Les livres irréversibles résistent à leur auteur. Parfois,ils se battent bien pour ne pas naître.
On ne se délivre de la tentation qu'en y cédant...
La vie de famille est la forme normale du délire.
J'essaye de naître aussi souvent que possible et y parviens, tant bien que mal, à chaque fois que je m'évade de mes peurs.
J'ai mené la vie d'un autre. Celle d'un rieur sans joie qui s'accommodait fort bien de ses masques. J'avais décidé d'être heureux au lieux de l'être.
Brancardiers ! Bran-car-diers ! C’est bien ça ! Quand on a besoin d’eux, y a plus personne mais pour venir bouffer au coin du feu, sont toujours là...
"Je sentis alors combien nous habitons nos secrets de famille avant de les voir avec un peu de netteté [...] Chaque lignage semble posséder sa part d’"angles morts". Sans doute sont-ils même le meilleur ciment de nos clans, tout en les détruisant."
"Vivre, pour ces gens-là, c’était exagérer. Et vaincre la normalité, en concassant les habitudes."