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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Premier tome d'une désormais longue série (24 tomes à l'heure actuelle) les aventures d'Élisabeth princesse à Versailles fascinent toutes les petites filles, à commencer par la mienne qui a la série complète et se jette sur chaque nouvelle parution, même à 15 ans passés.
Dans cette première aventure (à suivre dans les tomes 2 et 3), nous faisons connaissance avec Élisabeth, ses proches, et son caractère entêté. Et il en faut quand on est la petite-fille du roi Louis XV et la petite soeur du futur Louis XVI. Avec elle, nous sommes aux première loges de cette monarchie et de ses coutumes. La langue est à la fois simple et riche, le contexte est bien documenté et donne même envie aux adultes d'en savoir plus et d'approfondir les connaissances sur la période et la généalogie royale. Les illustrations sont nombreuses et colorées, même si le chevaux au galop ne sont pas exactement réalistes.
Dans sa fougue et pour dissimuler une première désobéissance, Élisabeth casse malencontreusement une petite boite à musique finement ouvragée. A l'intérieur, se trouve un message codé, et c'est le début d'une première quête, celle des origines de la figurine, puis de celles du jeune Théo qui s'occupe de la jument d'Élisabeth ainsi que des autres pièces qui composent ce petit ensemble de musique de chambre. On dirait un peu les bateaux du Secret de la Licorne, mais sans le capitaine Haddock.
Une première découverte qui donne envie de lire la suite. Ca tombe bien, j'ai accès à toute la série.
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Elisabeth, petite soeur de Louis XVI, princesse hautaine, insupportable, peste va faire la rencontre de la fille de sa nouvelle gouvernante, la gentille et attentionnée Angélique.
Une toute nouvelle amitié va naître entre les deux fillettes.
Tout cela va se construire autour d'un mystérieux indice trouvé par hasard par la maladroite princesse...
De l'amitié, du mystère, tout cela au coeur des jeunes années du futur roi Louis XVI.
C'est bien construit, et ça se lit facilement.
Une jolie lecture pour nos plus jeunes (8-11 ans) !
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Je découvre Annie Jay et je ne m'attendais pas à apprécier la lecture de "Elisabeth, princesse à Versailles, tome 1 : le secret de l'automate" emprunté à la bibliothèque pour le Challenge Plumes féminines. le titre m'a indiqué tout de suite que l'histoire se passait à la cour du roi, plus précisément celle de Louis XV grand-père de la petite Élisabeth, soeur du futur Louis XVI.
Ils ont vraiment existé ce qui facilite la connaissance de l'histoire de France ou du moins le repérage des dates puisque ce premier volume de la série se déroule en 1774.

Princesse orpheline, Élisabeth fait preuve d'un mauvais caractère refusant toute autorité à l'exception peut-être de celle de son grand-père et déteste sa gouvernante psychorigide. Alors, elle collectionne les punitions, ne sait toujours pas lire et n'en fait qu'à sa tête.
Je ne vais pas m'apitoyer sur son sors mais on a vite de l'empathie pour cette petite fille qui est heureuse de trouver sa première amie, Angélique, la fille de sa nouvelle gouvernante. Miracle, cette dernière, Madame de Machau, est une vraie pédagogue, adepte d'une méthode ressemblant à celle de Freinet, inscrite dans le mouvement de l'éducation nouvelle de la fin du 19ème siècle et selon laquelle l'enfant apprend mieux par tâtonnement expérimental.

Les deux fillettes vont s'entendre à jouer les détectives en tentant de comprendre le texte codé trouvé dans l'automate d'Élisabeth, une belle musicienne offerte par son grand-père. Et quand l'apprentissage est un jeu, tout devient facile même pour les princesses.
La suite au prochain épisode.


Challenge Riquiqui 2023
Challenge Plumes féminines 2023
Challenge Temps modernes 2023
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Annie Jay, nous la connaissons.

Sa passion et son talent pour le récit jeunesse historique également.

Là où l'auteure peut surprendre, c'est sur une envie d'écrire pour un public plus jeune qu'habituellement tout en réussissant à servir, à notre sens, une qualité d'intérêt quasi égale.

Oui, nous, lecteurs plus mûrs nous amuseront des facéties d'Elisabeth au même titre que sur ces autres romans plus ados.

Ici les caractères sont plus larges, le texte moins serré et le volume est joliment illustrée, il s'agit bien d'un titre pour les 8-9 ans.

Avec tous ces titres sur Versailles, les jeunes lecteurs finiront bien par connaître, de Louis XIV à Louis XVI, la période et ses protagonistes comme des territoires plus que familiers.


Elisabeth, 10 ans, est la petite dernière, la petite soeur de Louis XVI.

L'histoire commence avant même que Louis et Marie-Antoinette ne soit unis.

Louis XV, leur grand-père, est encore roi de France et Elisabeth souffre de ne pas avoir d'amie de son jeune âge.

Aussi fait-elle tourner en bourrique la gouvernante de la famille qui craque et s'alloue les services d'une sous-gouvernante, Madame de Mackau, afin de se décharger du terrible fardeau et de mater l'enfant "capricieuse".

"Babet" déteste les leçons, surtout les mathématiques, et préférerait jouer ou galoper à cheval à tout va.

Dans une tentative désespérée de s'octroyer un peu de bon temps, Elisabeth casse un automate boite à musique, l'effigie d'une musicienne, puis évidement cache sa bêtise.


Angélique, fille de Madame de Mackau, sera l'amie attendue, le "jimini criquet" qui l'aidera à réparer ses bévues.

Angélique est aussi blonde de Babet est brune et si pour Babet tout lui est du, elle réalise et finit par entendre la motivation bien différente de son amie à développer une bonne éducation et améliorer sa condition.

Elles auront à apprendre l'une de l'autre.

Le tome offre une intrigue propre, l'automate cachera un billet secret que le duo cherchera alors à décrypter.

Peut-être que l'oeuvre fait partie d'un tout qui mettrait à jour une injustice passée.

Voici de quoi galvaniser les journées d'une princesse précocement blasée de sa vie dorée et capter doublement l'attention des jeunes lecteurs.

Les jeunes lectrices seront ravies de trouver une proposition qui entre

tienne les rêves de princesse réservées à l'album illustré ou au roman historique plus sérieux.
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1774, la princesse Élisabeth, soeur du futur Louis XVI, est une jeune fille un brin rebelle qui s'ennuie au château de Versailles et fait des siennes. Sa gouvernante, Madame de Marsan, fait donc venir une nouvelle, Madame de Mackau et Élisabeth va très vite se lier d'amitié avec sa fille Angélique. Ensemble, elles vont enquêter sur une énigme : celle de la disparition depuis plus de trente ans d'un précieux tableau : La Dame à la rose. Heureusement pour elles, elles peuvent compter sur l'aide du page Théo, qui est imbriqué dans l'affaire…


J'aime beaucoup les livres jeunesse historiques et si Odile Weulersse est une de mes auteures favorites depuis toujours (vous pouvez retrouver mes chroniques sur ses ouvrages, ici et là), je ne connaissais pas ceux d'Annie Jay qui est pourtant très célèbre en la matière. Encore une fois, le hasard de la déambulation en bibliothèque m'a permis d'y remédier et je suis ravie de cette découverte !

On retrouve dans ce récit tous les ingrédients qui fondent à mon sens l'attraction que l'on peut avoir enfant et adolescent pour ce type d'ouvrages : une intrigue qui tient le lecteur en haleine, des descriptions efficaces permettant de bien comprendre l'époque, de s'immerger, notamment de par l'usage d'anecdotes et des dialogues venant apporter le peps nécessaire pour créer une proximité avec le lecteur. Ainsi que des personnages forts auxquels on s'attache.

Élisabeth est en effet une pré ado avec un sale caractère mais son bon coeur, sa curiosité et son enthousiasme permettent au lecteur de ne pas la considérer comme une peste finie. Elle se dévoile, évolue au fil des événements et des rencontres et quand on achève le tome, on sait que l'on n'est pas au bout de nos surprises avec elle. Car il y a en effet une suite ! On termine ce livre avec tout le suspens des balbutiements de l'enquête et personnellement, j'ai bien envie de continuer la série.

Pédagogique, l'ouvrage propose au début un récapitulatif des personnages et à la fin, l'opportunité de poursuivre l'aventure avec une double page dédiée aux coiffures sous Louis XVI, ainsi qu'une autre présentant le plan du château de Versailles. À consulter avant ou après la lecture, elles favorisent une plus grande compréhension de certains aspects de cette période historique et permettent d'éveiller l'intérêt des lecteurs qui pourront chercher à en savoir davantage.

Mon seul regret : j'aurais aimé un récit plus dense et long, mais j'ai parfaitement conscience que le calibrage est pensé avant tout pour un public jeune qui peut avoir des degrés de passion plus ou moins élevés envers la lecture. Mieux vaut donc faire plus court, retenir l'attention et donner envie d'en savoir plus !

Roman historique jeunesse comme je les aime, Élisabeth, princesse à Versailles est une jolie découverte, mettant en scène la vie à la cour de Versailles sous la fin du règne de Louis XV avec finesse grâce à la force d'une intrigue qui donne envie page après page d'en savoir plus. Instructif et divertissant, il se parcourt rapidement, et ses jolies illustrations viennent donner davantage vie aux personnages et aux lieux. Vivement la suite !
Lien : http://wp.me/p12Kl4-Jq
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La princesse Élisabeth est tout juste âgée de 10 ans en cette année 1774. Elle vit à Versailles près de Grand-Papa roi (Louis XV) et de ses frères et soeurs. Orpheline depuis ses un an, Elisabeth donne du fil à retordre à Madame de Marsan, la gouvernante des enfants de France.

Impuissante face au caractère rebelle de l'enfant qui refuse toute autorité et contrainte, elle la confie à Madame de Mackau, réputée pour ses qualités éducatives, ce qui lui permettra de se consacrer exclusivement à Madame Clothilde, la soeur aînée d'Elisabeth qui a tout juste 14 ans, prépare déjà son mariage avec le duc de Piémont-Savoie.

Loin d'utiliser la force, la sous gouvernante conquiert Élisabeth, et l'amène au fur et à mesure avec patience, fermeté et doigté à lui faire reprendre le chemin des études. Sa propre fille Angélique devient vite la meilleure amie de la jeune princesse qui se sent fort esseulée à Versailles, entourée de domestiques et d'adultes qui n'en ont cure d'elle.

Toutes deux vont malgré elles découvrir un message secret dans une poupée automate. Ce billet concerne Théophile, un palefrenier charmant dont la famille a subi des revers de fortune. Et peut-être aussi une grave injustice…

Cela fait quelques temps déjà que je souhaitais découvrir la plume d'Annie Jay, j'ai son tout premier roman dans ma pal mais j'ai finalement jeté mon dévolu sur sa dernière série actuellement en cours, quatre tomes sont déjà parus, Elisabeth princesse à Versailles qui a pour héroïne la princesse Elisabeth, jeune soeur de Louis XVI qui va connaître le même destin que son illustre frère.

Elle est ici encore une petite fille et sa première aventure permet aux jeunes lecteurs et lectrices de plonger au coeur du XVIIIè siècle, au moment où Louis XV tire sa révérence.

Avec Elisabeth, nous sommes entrainés au sein du château de Versailles, de ses jardins et de sa forêt car la demoiselle a la bougeotte, adore monter à cheval et ce caractère affirmé et rebelle m'a fait penser à Eulalie de Potimaron toute proportion gardée bien sûr puisque les conditions des deux jeunes filles et les époques diffèrent.

Lire la suite...
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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Un très bon livre jeunesse|historique que j'ai pris plaisir à découvrir. Élisabeth est attachante, j'aime beaucoup l'histoire de France donc même si elle est survolée j'ai trouvé ça intéressant à suivre. Je me procurerai le tome 2 avec grand plaisir !
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Vraiment très bien écrit, ce petit roman nous plonge au château de Versailles en compagnie de son frère le futur Louis XVI (personnage très très secondaire). On y découvre la vie d'une jeune princesse à la cour et c'est loin d'être rigolo ! Heureusement, Elisabeth va rencontrer une jeune amie, Angélique, et découvrir un secret... (bon, ce n'est pas terminé, il faut acheter la suite pour savoir !!!)
Ce qui est intéressant aussi, hormis le contexte historique, c'est la thématique de l'enfant qui refuse d'apprendre (sa gouvernante n'est pas franchement pédagogue !) et les moyens dont la nouvelle gouvernante use pour faire comprendre à la jeune fille que travailler et apprendre, c'est aussi un plaisir !
J'ai vraiment bien aimé ! Je pense que l'on peut le lire dès 10 ans ;-)
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Je découvre la plume d'Annie Jay dont j'ai beaucoup entendu parler, avec ce titre.
Dans ce premier volume, on découvre Elisabeth, fillette de 10 ans, intrépide et espiègle mais très attachante. Petite dernière d'une fratrie de quatre enfants dont le futur roi Louis XVI. Elisabeth a beau être pourvu d'un coeur d'or, elle en a pas moins un caractère de chien. Mais par-dessus tout, elle déteste étudier.

“De nos jours, les princesses doivent être instruites, afin d'aider leur époux à diriger leur royaume!Vous devez apprendre vos leçons!”


Voilà le ton est donné, Mme de Marsan ne veut pas faire d'Elisabeth une princesse, mais une princesse parfaite ! Hors à 10 ans Elisabeth a d'autres préoccupations que celles de se marier ou bien même de diriger un pays.

Je l'ai entendue dire à ma mère qu'elle souhaitait te donner un enseignement digne d'un garçon. Elle désire que, avec ta soeur, vous deveniez les princesses les plus instruites d'Europe.

Sa gouvernante à bout, croit la punir en demandant à Mme de Mackau de devenir sa sous-gouvernante. Cette veuve a la réputation d'être une éducatrice, stricte qui arrive au bout des cas les plus pénibles.
Ce qui aurait dû être une punition sera une bénédiction. Mme de Mackau arrive avec sa fille. Offrant ainsi à Elisabeth ce qui lui manquait le plus, une amie ! Et de la considération.

Angélique est l'opposée d'Elisabeth, aussi gentille et obéissante que l'autre est colérique et capricieuse. Aussi élève modèle qu'Elisabeth est indisciplinée.


— Moi aussi, Babet, j'ai perdu mon père. Ça ne m'empêche pas d'être bonne élève. Ma mère dit toujours qu'une fille doit apprendre autant qu'elle le peut, afin de ne pas dépendre des hommes. Mais les études coûtent si cher !



J'ai beaucoup apprécié ce point de vu. Qui malgré toutes ces années passées reste d'actualités. Ce n'est pas parce qu'on a les moyens financiers de pouvoir suivre des études qu'on aime ça.


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Vous, la princesse de France si orgueilleuse, vous êtes placée dans le registre de Dieu entre un fils de jardinier et une fille de servante.


Madame de Mackau est une prodigieuse pédagogue. Elle ne se contente pas de ressasser des leçons insipides qu'Elisabeth ne fera aucun effort pour retenir. Non pour cette femme, tout est prétexte à apprendre. L'éducation positive, bien avant l'heure.


D'ailleurs Elisabeth n'est pas prête d'oublier sa première leçon. Un jour où la princesse n'en faisait une fois de plus qu'à sa tête, la sous-gouvernante la traîne jusqu'à l'église afin de lui montrer le registre des naissances.



“Vous, la princesse de France si orgueilleuse, vous êtes placée dans le registre de Dieu entre un fils de jardinier et une fille de servante. Vous êtes leur égale… à la seule différence que vous vivez dans un palais et que vous êtes habillée de beaux vêtements.”



Mon passage préféré est celui où Elisabeth refuse de faire les opérations données par la sous-gouvernante.



“_Je m'en moque ! Allez-vous, vous aussi, m'assommer avec vos exercices qui ne servent à rien ?

_ Ils vous serviront un jour, Madame, répliqua calmement la gouvernante. Ne faites pas votre mauvaise tête et mettez-vous au travail.

_Autant me punir tout de suite, car je n'obéirais pas ! Savez-vous que j'écris des lignes comme personne ? Combien en voulez-vous ? Cent ? Deux cents ?

Au lieu de se mettre en colère, Mme de Mackau éclata de rire !

_Vous préférez donc subir cent lignes de punition plutôt que d'effectuer six malheureuses opérations ? Vous êtes pourtant intelligente. Je suis sûre que vous les auriez terminées en cinq petites minutes. Tandis que les lignes…



Parce qu'il montre deux points essentiels, croyant bien faire, Mme de Marsan à rebuté la fille de France. Elisabeth par dépit préfère se punir bêtement que d'obéir. Parce que cela lui donne le sentiment d'exister.

Il y aurait là matière à débattre des heures.

Car personnellement, je pense que ce genre d'éducation, et d'incompréhension est encore d'actualité.


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Angélique, Elisabeth et Théo, illustration d'Ariane Delrieux

J'ai adoré suivre l'enquête des filles essayant également de résoudre l'énigme en même temps qu'elles.

La désobéissance et la maladresse d' Elisabeth auront permis de mettre à jour le secret de l'automate.


J'ai également beaucoup aimé les valeurs véhiculées dans ce livre, bien sûr ceux sur l'éducation, mais ceux sur la famille, également. On y découvre une petite fille qui s'inquiète pour son “grand-papa roi”, nous sommes dans les années 1774, Louis XV est sur le point de mourir de la petite vérole. Elisabet a beau être une rebelle, elle n'en reste pas moins une enfant sensible et bienveillante pour le reste de sa famille.


La plume d'Annie Jay est parfaitement adaptée à son lectorat. Elle enrichit le vocabulaire de ses jeunes lecteurs, tout en expliquant les mots difficiles où ceux qu'ils pourraient rencontrer pour la première fois.


J'aurais pu commencer par n'importe quel autre livre d'Annie Jay, puisque j'en ai d'autres dans ma PAL (pile à lire.) mais j'ai choisi cette collection par rapport à ses illustrations que je trouve sublimes. Ariane Delrieu m'a vraiment subjuguée par son travail et son talent. Je n'étais plus confinée dans ma maison, en train de lire sur mon canapé. Mais à Versailles en 1774. le travail de l'auteure et de l'illustratrice m'a permis ce voyage dans le temps.



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1774 Louis XV se meurt de la petite vérole, Elisabeth et Mme de Mackau illustration d'Ariane Delrieux
BREF VOUS L'AUREZ COMPRIS.


Le secret de l'automate est le premier tome d'une excellente saga jeunesse. Je n'ai pas pour le moment de coup de coeur particulier pour un tome, mais un gros coup de coeur pour la saga prise dans son intégralité.

Je ne pense pas me tromper en vous disant de la mettre entre toutes les mains des jeunes lecteurs. Une excellente façon de découvrir, ou de redécouvrir l'histoire de France, notamment, celle qui précède la révolution.



A lire si vous aimez : Les beaux livres historiques, les héroïnes attachantes.



Fuyez si : Vous n'aimez pas le style très jeunesse.

Vous ne trouvez pas que cette couverture est attirante ?


Lien : https://grandiravecleslivres..
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Un bon début de série jeunesse, très bien documenté et très entraînant ! Parfait pour les enfants... et ceux qui le sont restés !!
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