Ceci sera une critique incomplète pour un livre dont j'ai abandonné la lecture au bout de 150 pages, durant lesquelles je me suis profondément ennuyée: personnages sans relief, histoire à l'eau de rose, aucune profondeur dans la psychologie des événements, bref, du nanar made in USA du niveau d' "amour, gloire et beauté". Et encore.
Je pense que je vais définitivement arrêter de lire la littérature dite "feel good" (sauf en ce qui concerne
Virginie Grimaldi que j'aime d'amour et dont je me suis toujours demandée pour quelle raison ses ouvrages étaient classés dans cette catégorie??) et que "Odette et le taxi jaune", plébiscité par Gérard sur SUDRADIO, sera mon ultime tentative avec la maison d'édition CHARLESTON...