Nous sommes sur un point de divergence historique, Mitsuhide se rebelle contre son seigneur Nobunaga : Pile il remporte le duel, Face il perd.
Dans cet univers chaque point de divergence donne lieu à la séparation physique des "châteaux-monde". Chacun continuant son histoire tranquillement de son côté.
Mais que se passerait-il si une personne essayait de passer d'un château à l'autre ?
Dans ce monde absurde tiraillé entre guerre civile et guerre de successions, où l'on pratique une torture particulièrement créative, la princesse Nô cherche coûte que coûte à venger son époux... mais à quel prix ?
Mutations physiques, déformations et mutilations seront l'instrument de sa vengeance !
Un multivers étonnant à la sauce ero-guro !
Livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique du mois d'avril : un grand merci pour cette découverte !
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Le postulat de base est intéressant. La mise en scène des cases est tout à fait originale, mais l'histoire se perd totalement dans un méli-mélo de boyaux et autres fusions, qui ne m'ont personnellement pas du tout convaincue sur le bien fondé de la chose. A vrai dire, je n'aime pas spécialement les mangas et je voulais essayer car le temps se divise dans l'espace et le temps dans cette histoire double. Mais du coup la fin est complètement emmêlée et cela ne m'a pas plu.
Les dessins sont néanmoins très agréables et le sens de lecture confortable (occidental). Dommage!
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À ne pas mettre entre toutes les mains, c'est de l'ero guro, donc si de de base on n'aime ni l'erotisme ni le gore ça va pas le faire.
Techniquement, j'adore le dessin.
En terme d'histoire, aborder les mondes parallèles à l'époque du Japon médiéval, c'est original.
Là où je trouve que ça devient lourd, c'est que le texte se répète beaucoup - trop, ce qui rend la lecture pas fluide et désagréable. Malgré tout cette répétition se justifie, mais il ne fallait peut-être pas pousser les mondes parallèles aussi loin.
Il y a 2-3 fautes de frappe dans la version française.
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Un épisode clé dans l'histoire du Japon (la confrontation mortelle entre le grand Oda Nabunaga et son vassal Akechi Mitsuhide) transposé avec maestria dans deux univers parallèles. Les personnages disparates s'entremêlent dans le labyrinthe que constitue l'intrigue. Les dessins sont époustouflants.
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Les deux ouvrages, édités chez Huber Editions, proposent de toute manière un récit somme toute classique, à base de prises de pouvoirs cycliques et d'incessantes luttes intestines afin de garder la situation sous contrôle. Mais le tout est largement compensé par la maestria graphique.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Quand le seigneur du château est tué par un traître de son clan, une réalité alternative naît, et un nouveau château pousse littéralement sur le premier, comme une branche sur un arbre : dans le premier château, le maître n’a pas été abattu et la vie continue ; dans le second, c’est l’assassin qui devient le nouveau seigneur.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Le mangaka manie la plume avec finesse. L’équilibre des masses repose principalement sur un jeu de hachures et d’aplats. [...] La princesse du château sans fin est une œuvre atypique où le médium répond au récit.
Lire la critique sur le site : BDGest
On s'amuse alors facilement face à ce trip digne de Kago, un trip qui par différents aspects se rapproche plus du délire bourré d'imagination de La Grande Invasion Mongole [...] que des oeuvres plus purement ero-guro de l'artiste (même si, ici aussi, on a notre lot de délires crus)...
Lire la critique sur le site : MangaNews