Fini les discussions interminables avec l'état-major des forces de l'empire japonais concernant les différentes visions tactiques et politiques des militaires et politiciens. Avec ce neuvième tome, on retourne sur le champ de bataille.
Le lieutenant Kadomatsu a rejoint le Mirai, qui prend route vers l'archipel des Aléoutiennes, dans une zone investie par les navires américains. le Mirai va de nouveau devoir démontrer ses capacités face à un adversaire en surnombre et aux manoeuvres intelligentes.
En se trouvant une nouvelle mission, les officiers du Mirai vont à nouveau se retrouver en situation de combat. le fait de devoir prendre des décisions sur le vif et non plus autour d'une table à la suite de longues réunions, redonne du rythme à ce récit qui commençait à stagner un peu.
En retournant auprès des hommes sur le front, on retrouve également des sentiments plus profonds et on s'éloigne de la froideur des décisions politiques.
Bref, un meilleur tome que le précédent, moins embrouillé et mieux rythmé. Par contre, toujours pas de nouvelles concernant la mission du lieutenant Tsuda en Allemagne.
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Le Mirai a décidé de sauver 4000 soldats japonais en aidant à l'évacuation de l'île avant l'attaque américaine. Mais tout ne se passe pas comme prévu, et une flotte importante de navires ennemis à décider d'en découvre avec le Mirai...
Un album passionnant pour sa bataille navale entre le Mirai et les vaisseaux américains. le Mirai est un navire surpuissant pour l'époque mais il n'est rien sans une bonne tactique de combat et le capitaine en second fait preuve d'une intelligente de combat remarquable pour endommager les navires américains sans devoir les couler...
Un récit de combat encore passionnant qui se termine par un suspense haletant... excellent.
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Les grandes puissances mondiales vont mette au point l’arme ultime et chacune d’entre elles va la posséder.
Mais plus je pense que c’est de cette manière que les attitudes belliqueuses vont être réfrénées, moins j’arrive à garder mon optimisme.
L’homme n’est pas assez fort pour parvenir à imaginer une douleur qu’il n’a jamais connue.
Il faut un précédent réel où l’homme utilise « ça » sur d’autres hommes...
Des tirs à répétition ?! Quelle vitesse de chargement...
... en moins de dix minutes, six vaisseaux... et seules les parties du pont ont été détruites...
Dans cette brume...
Et cette précision de tir...