Une poésie rude, militante, urgente et inspirée, aux racines brumeuses comme les landes de la terre qui l'a vue naître, une plume dans la main, l'autre levée en serrant le poing. On prend la prose de Keineg comme un choc, une évidence, ou comme le dit si bien
Yves Rouquette : "la poésie, il faut la manger crue. Tant pis pour vous si celle de Keineg doit vous rester sur l'estomac : accusez votre régime habituel." Tout est dit, ou presque : il vous reste juste à découvrir et à vibrer.
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