Ni ami ni serviteur ne suis. Je suis le Chat qui va tout seul, et je souhaite entrer dans votre Grotte.
Mais le plus sauvage des animaux sauvages était le Chat qui s'en allait toujours tout seul.
(ed. du Sorbier, p. 6)
trois hommes sur cinq ne manqueront jamais de jeter des choses à un chat quand ils le rencontrent, et tous les chiens courront après et le feront grimper aux arbres.
Alors le chat avança sa patte pelote et toucha la joue du bébé, qui fit risette ; et le chat se frotta contre les petits genoux dodus et chatouilla du bout de la queue sous le petit menton gras, et le bébé riait.
— Que m’importe, dit le Chat. Pourvu que j’aie ma place dans la Grotte, près du feu et mon lait tiède et blanc trois fois le jour, je ne me soucie pas de l’Homme ni du Chien.
Mais le plus sauvage de tous les animaux sauvages, c'était le Chat.
quand la lune se lève et que la nuit vient, il est encore le Chat qui va son chemin tout seul et pour lui tous les endroits se valent. Alors il part dans les Bois Humides et Sauvages ou dans les Arbres Humides et Sauvages ou bien sur les Toits Humides et Sauvages, en agitant sa queue sauvage et en s'en allant solitaire et sauvage.
Alors le Chat […] partit dans les Bois Humides et Sauvages en agitant sa queue sauvage, s'en allant solitaire et sauvage.
Bien sûr l'Homme était sauvage lui aussi. Il était sauvage à faire peur. Il ne commença vraiment à s'apprivoiser que lorsqu'il rencontra la Femme, elle lui dit qu'elle ne voulait pas vivre comme une sauvage.
Hâtez-vous d’ouïr et d’entendre ; car ceci fut, arriva, devint et survint, ô Mieux Aimée, au temps où les bêtes Apprivoisées étaient encore sauvages. Le Chien était sauvage, et le Cheval était sauvage, et la Vache était sauvage, et le Cochon était sauvage — et ils se promenaient par les Chemins Mouillés du Bois Sauvage, tous sauvages et solitairement. Mais le plus sauvage de tous était le Chat. Il se promenait seul et tous lieux se valaient pour lui.