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sur 209 notes
Le livre qui a prédit l'épidémie de coronavirus ! (ou pas)

L'histoire suit le parcours de Christina Evans, Américaine au bord du gouffre depuis la mort de son jeune fils, Danny, dans un accident de bus. Les phénomènes surnaturels se multipliant autour d'elle depuis ce tragique événement, elle se refuse de sombrer dans la folie et mène sa propre enquête. le passage qui a rendu ce livre si célèbre est sa fin (spoilers) : Danny a en réalité été capturé par des scientifiques américains qui lui ont inoculé le Wuhan-400, virus mortel et incurable, élaboré artificiellement dans les laboratoires à proximité de la fameuse ville chinoise aux marchés aux poissons. S'ensuit un long descriptif du virus : symptômes se caractérisant par des vertiges, des malaises et des crises d'hystérie, poussant parfois les malades à déchirer les combinaisons d'astronaute des médecins venus les emmener de force (ça vous rappelle quelque chose ? https://youtu.be/rKek0Y30Ctw) ; mort propre et rapide, évitant au gouvernement chinois des pertes de temps et d'argent à chaque utilisation de cette "arme biologique" qu'est le Wuhan-400.

Pour mesurer l'emballement qui s'est déchaîné autour de cette oeuvre, il suffit de regarder du côté commerçant. Les ventes grimpent en flèche, au grand dam des éditeurs qui avaient rapatrié ce petit thriller inconnu loin des têtes de gondole, ce qui a aussitôt fait flamber les prix. Désormais, comptez dans les 350 euros pour acquérir une édition poche de The Eyes of Darkness, d'occasion bien sûr. Sur eBay, les heureux propriétaires s'en donnent à coeur joie, avec des reventes à près de 400 euros. Autrement dit, si vous le possédez, c'est le moment ou jamais pour le lire et le revendre ^^

Pour compliquer le schmilblick, il existe deux éditions bien particulières de ce livre :

- Une première version, vendue de 1981 à 2008 en anglais et en français, qui ne mentionne jamais Wuhan. En effet, l'action y est transposée à Gorki, en Russie.

- Une seconde version révisée, vendue depuis 2008, où toutes les allusions à Gorki et la Russie ont été gommées comme par magie, afin de les remplacer par Wuhan et la Chine (probablement suite à la fin de la guerre froide). C'est donc cette version qui nous intéresse. Note importante, elle n'a pas été traduite en français.

Bien évidemment, selon moi, ce livre n'est rien d'autre qu'un ironique enchaînement de coïncidences, qui transforme un banal thriller en bête de foire des réseaux sociaux. Il n'empêche que ça suffit à pas mal de monde pour hisser Dean Koontz au rang de prophète, venu avertir l'humanité d'un grand péril qui pourrait la mener à sa perte, couplé aux obscures prédictions de Sylvia Browne qui évoquait une "pneumonie" incurable surgissant en 2020, sans plus de précisions. J'admets que Koontz a assurément un grand talent de conteur, il ne faut toutefois pas franchir un pas aussi grand, ce que certains font pourtant allègrement. J'ai même pu lire sur Twitter que The Eyes of Darkness était "le Livre des Illuminati", c'est pour vous dire la psychose qui s'est emballée autour de ce roman d'espionnage. De plus, quelques différences subsistent entre le Wuhan-400 et le Covid-19 : leur période d'incubation (24 heures pour le premier, 14 jours pour le second), le taux de mortalité (100%, 2%), la manière dont le virus s'y prend pour tuer son hôte (attaque du système nerveux, attaque du système respiratoire), et bien sûr leur nature (artificielle et naturelle) !

Et l'histoire en elle-même ? Elle est assez sympathique, même si elle passe malgré elle au second plan dans les circonstances actuelles. Ce thriller flirtant avec l'horreur paranormale est plutôt bien réussi, tient en haleine le lecteur avec une précision toute américaine. En somme, un roman mené tambour battant réussi sur tous les plans. Les similitudes avec l'épidémie qui sévit ces temps-ci, ne peut qu'être la preuve que Koontz sait écrire des histoires aux allures crédibles et réalistes, ce qui est tout à son honneur.

Bonnes lectures ! =)

Update du 11/04 : Bonne nouvelle, la version Wuhan des Yeux des Ténèbres va être traduite en français ! Elle sera disponible sur les étagères des librairies et sur Amazon dès le 20 mai 2020, pour la modique somme de 22 euros. Avec, marketing oblige, un gros bandeau flashy faisant le parallèle avec le Covid-19 !
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Ahhh... Dean Koontz, auteur que j'apprécie de plus en plus, certainement pas autant que Stephen King mais certains de ses romans valent vraiment le détour.
"Les Yeux des Ténèbres" malgré que sur l'édition que je possède qui a un bandeau un peu racoleur disant "Le thriller qui a enflammé les réseaux sociaux", sans trop spoiler, c'est un parallèle un peu tiré par les cheveux entre le bouquin et la pandémie de 2020.

Christina Evans plus connue sous son diminutif Tina, vit tant bien que mal la mort de son fils Danny mort à l'âge de dix ans.
Femme divorcée et femme entrepreneur qui s'est fait malgré tout une place dans le monde du strass et des paillettes de Las Vegas, la vie recommence à lui sourire.
Mais petit à petit, il va se passer de plus en plus de choses étranges dans sa vie qui vont la ramener aux vieux démons de la mort de son fils...

Beaucoup de personnes qualifient Dean Koontz d'être un écrivain de série B ayant connu quelques succès.
Alors je suis loin d'avoir tout lu de Koontz, surtout qu'il y a un paquet de ses bouquins qui n'ont jamais été traduits en France, mais perso, j'apprécie ses livres pour le moment.
Il faudrait que je relise "La Cache du Diable". Premier livre de Koontz que j'ai lu quand j'étais môme et je me souviens que j'avais moyennement aimé. Pourquoi pas retenter.

En tout cas pour ce qui est de celui-ci, il est bon, ce n'est pas un chef-d'oeuvre c'est sûr mais il est vraiment pas mal.
Ce qui lui a porté préjudice peut-être c'est tout le tatouin qu'il y a eu dans les médias aux États-Unis au moment de la pandémie de coronavirus. Mais pour ça il faut lire le livre. C'est un bon thriller, un bon roman de science-fiction et d'épouvante. Il ne faut surtout pas faire de raccourcis un peu trop faciles et téléphonés dans toute cette hystérie collective qu'il y a eu pendant le covid.
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Un roman d'espionnage qui se cherche.

Un peu trop de fantastique à mon  goût pour ce genre de livre.

Et le fantastique excuse beaucoup trop de choses.

Une histoire facile qui a la chance, à mon avis, de se dérouler à l'époque de son écriture soit dans les années 80, ce qui donne un charme sympathique aux décors et situations du livre.

Amis lecteurs, passez votre chemin.
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Dean Koontz fait partie de ces auteurs que je suis depuis des décennies, et qui ont tâté un peu de tous les genres, horreur, thriller, un peu de SF, fantastique... Comme pour tout écrivain prolifique, il y a à boire et à manger dans ses écrits, et si j'ai vraiment aimé les premiers livres parus en France sous son nom, ainsi que plus récemment sa série Jane Hawk (en tout cas les trois premiers tomes), j'avoue en avoir sans doute trop attendu avec cette réédition de "Les yeux des ténèbres", que j'avais lu début des années 90, dans sa première version. Il faut dire que les médias l'ont présenté de façon très trompeuse comme le livre qui avait prédit 40 ans à l'avance l'épidémie que nous subissons actuellement.
Mais que nenni ! Oui, il y a bien une histoire d'épidémie là-dedans, mais qui n'a pas grand-chose à voir avec le covid, si ce n'est l'origine du virus (Wuhan), et encore, à l'origine il était russe. Mais l'Histoire (avec un grand H) a fait qu'il était plus pertinent de délocaliser la bestiole, la guerre froide n'étant plus très vendeuse...
L'essentiel de l'histoire est centré sur Tina, organisatrice de revues à Las Vegas, dont le fils Danny est décédé deux ans auparavant lors d'une sortie avec les scouts. Leur bus s'est écrasé dans un ravi en pleine montagne, pas de survivants, et les corps étaient trop abîmés pour qu'on puisse les montrer aux malheureux parents avant l'enterrement. Or voici que Tina est réveillée chaque nuit par des bruits en provenance de la chambre de Danny, et que de mystérieux messages lui sont adressés sur le tableau noir de son fils. Perturbée, elle convainc son nouvel amant, Michael, un riche avocat, ancien des Services Secrets, de l'aider à trouver la provenance de ces manifestations.
Une intrigue assez simpliste, mais efficace, il est juste dommage qu'elle soit diluée avec une romance sirupeuse qui n'était pas vraiment nécessaire. du coup, comme l'on noté nombre d'autres lecteurs, le dénouement est vraiment bâclé, comme si l'auteur s'était brusquement aperçu qu'il ne lui restait que 20 pages pour boucler son histoire. Il y a un gros coup d'accélérateur dans la toute dernière partie, et certains détails sont vraiment à la limite de l'invraisemblance; Je ne me souviens plus si c'était déjà le cas dans la première version...
Les aficionados de Koontz aimeront quand même, mais se diront sans doute comme moi que c'est loin d'être une de ses meilleures productions.
Vite lu, mais qui ne figurera certainement pas dans mes "lectures de l'année". Et surtout ne l'achetez pas pour l'argument marketing du "visionnaire du covid" !
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Vous avez peut-être déjà vu passer ce livre depuis le début de la crise sanitaire que nous connaissons encore aujourd'hui car il a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Pourquoi, me direz-vous? Peut-être pour le regard visionnaire que l'auteur, Dean Koontz, a eu sur la pandémie mondiale de coronavirus, sans le savoir et ce, il y a plus de quatre décennies !

En effet, la première édition de ce livre date déjà de 1981! Elle était alors parue sous le pseudonyme de Leigh Nichols. Dean Koontz l'a sortie révisée sous son vrai nom en 1996. La première traduction française date – elle – de 1990. Quarante ans avant ce que nous connaissons maintenant depuis presque deux ans, Dean Koontz avait imaginé un virus dangereux et mortel créé dans des laboratoires chinois situés près de la ville de …. Wuhan! Cela ne vous dit-il pas quelque chose ???

Petite remarque, cette présence de la Chine et en particulier de Wuhan est apparue dans la version révisée. En effet, dans la première version, le pays concerné était la Russie. Vu la fin de la Guerre Froide entre cette dernière et les États-Unis, il ne fallait peut-être plus trop froissé les anciens ennemis. Donc, ici, c'est bien la version revisitée que j'ai pu découvrir grâce à la traduction française offerte par les Editions de L'Archipel.

Toutefois, je veux attirer votre attention qu'il ne faut pas cantonner ce livre et cette histoire à ce seul virus car vous vous en trouveriez alors déçu car ce n'est qu'un détail sur la totalité du récit.

Malgré que ce livre date donc du début des années 1980, je n'ai pas trouvé qu'il avait mal vieilli dans sa substance. Parfois, c'est vrai certains dialogues peuvent sembler un brin « niais » mais l'écriture reste très actuelle même si, bien entendu, les technologies actuelles ne sont forcément pas présentes dans l'histoire. Se déroulant sur seulement 4 jours entre le 30 décembre et 2 janvier, le livre est découpé sur ces quatre journées.

Le seul grief que je pourrais trouver est que la fin arrive de façon un peu trop brusque et abrupte par rapport au reste du récit. Alors que, durant près de 300 pages, se déroule tranquillement l'intrigue, tout vient à se clore en très peu de temps et en un nombre limité de pages. Je trouve que l'équilibre entre l'intrigue et le final n'est pas très respecté pour que le lecteur n'en perde pas de la saveur. Dès lors que le début se déroule assez lentement, la fin est donc passée plus vite que ce que je n'aurais aimé.

Malgré ce petit anicroche, cela a été une assez bonne lecture qui m'a donné envie de redécouvrir les livres de Dean Koontz et notamment, ses parutions les plus récentes pour son regard un tantinet visionnaire de notre monde contemporain !
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Je n'ai pas été conquise par ce livre et n'ai pas trop apprécié la "pub" qui le présente.
Je n'ai pas accroché à l'histoire. Au début ça pouvait aller, mon attention était capté, j'ai aimé la partie sur le questionnement sur la mort ou non de son fils et l'apparition des phénomènes étranges mais l'histoire a pris un virage à 90 ° et j'ai fait une sortie de route...
#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance
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Il faut souvent écouter nos... deuxièmes intuitions. J'avais récupéré instinctivement ce livre de Dean Koontz quand les réseaux sociaux bruissaient de l'information qu'il avait prédit bien des années avant l'épidémie qui allait nous toucher. Dans un deuxième temps, je m'étais dit que lire un livre sur une pandémie en pleine pandémie n'était pas le meilleur moyen de faire fonctionner à plein régime la sensation d'évasion qu'est censé procurer une bonne lecture. Un an après.... l'épidémie est toujours là et je me suis dit que je risquais peut-être de ne jamais le lire si j'attendais la survenue du monde d'après !

Après une trentaine de pages, j'ai été vérifié que je ne m'étais pas trompé ou qu'il n'y avait pas eu de bug dans le téléchargement avec une différence entre le titre et le contenu du ebook. Parce que je ne voyais pas du tout à quel moment un virus allait intervenir et influencer cette histoire d'une mère qui ne parvient pas à se convaincre que son fils est bien mort... dans un accident d'autocar. Mais non, après vérification il s'agissait bien du livre qui avait "enflammé les réseaux sociaux", selon le bandeau promotionnel. Je commençais à sentir pointer l'arnaque éditoriale... Et quand on constate ensuite que les premiers indices sur un possible virus n'arrivent qu'alors qu'il ne reste même pas un tiers du livre... Et que la première mention d'un virus arrive alors que le compteur de pourcentage restant est à un seul chiffre.... Et qu'à part virus et Wuhan, ce qui est décrit n'a vraiment rien à voir avec ce que nous vivons... je suis très heureux de remercier NetGalley et les éditions de l'Archipel de m'avoir permis de ne pas débourser un centime pour cette lecture pour m'éviter une envie de saisir la justice !

Après cette longue introduction contextuelle, quelques mots quand même sur l'histoire en elle-même. Un style plutôt efficace, notamment sur toutes les scènes d'action pure... qui n'arrive malheureusement que vers la moitié du livre. Car si les passages concernant la mère en deuil sont plutôt réussis même si classiques, le long début de romance entre la chorégraphe et l'avocat m'a paru bien fastidieux, sans doute parce que je ne suis pas client des romances et que ce n'est pas du tout ce que je m'attendais à trouver dans un thriller. Ce temps trop long pris au début pour développer ce lien entre les personnages aboutit à une fin bâclée. On a l'impression que l'aspect un peu SF-surnaturel a été surtout exploitée pour permettre aux héros de rusher sur le final faisant fi de toutes les difficultés en travers du chemin, jusqu'à nous économiser même le face à face avec le grand méchant. Et quel dommage également que les interrogations finales de la mère ne puissent se développer qu'en une seule phrase, c'est tout ce que l'auteur lui aura accordé, il lui avait sans doute trop donné avec la belle romance avec le riche avocat.

Je pense qu'une certaine aigreur ressort de cette critique, comme quoi le buzz médiatique peut avoir des effets pervers à long terme même si elle aura forcément permis une belle augmentation illogique des ventes !
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Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un "Dean Koontz" et cela m'a fait extrêmement plaisir de retrouver son écriture et sa capacité à créer une histoire tordue mais néanmoins complètement crédible. Enfin, pour moi du moins...
J'ai tout de suite été immergée dans cette aventure avec les 2 protagonistes et j'ai avancé pas à pas avec eux. Un vrai régal.
Par contre, j'ai été déçue par la fin que j'ai trouvé trop abrupte et un peu trop facile. J'aurais aussi aimé un épilogue, mais non. Un peu comme si l'auteur avait hate d'en finir avec ce livre.
Cela reste néanmoins une très bonne lecture.

Pioche d'Avril 2023 choisie par Sflagg
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J'aime beaucoup les romans de sciences-fictions et pourtant, je n'avais encore jamais pris le temps de découvrir cet auteur. C'est maintenant chose faite avec ce livre en 1981 sous un pseudonyme. Et réédité dans une version révisée sous le nom de Dean Koontz en 2008. C'est là que le virus, le Gorki-400, originellement russe, est devenu chinois, le wuhan-400 certainement parce que la guerre froide était une histoire ancienne.
L'intrigue se déroule au début des années 80, à Las Vegas : un an après la mort de son fils, Dany, Tina essaie de se remettre de cette tragédie. Alors qu'elle pensait avoir traversé le plus dur, l'étrange s'invite à la maison, et aux confins de ses rêves.
L'horreur sert de point d'ancrage à cette histoire où le thriller rencontre l'espionnage et croise le chemin du fantastique et du paranormal.
La construction narrative alterne entre les points de vue des personnages permettant une montée en puissance du suspens tout le long du récit. La plume est très visuelle, cinématographique, rythmée surtout dans les scènes de courses-poursuites.

Il y a un côté désuet que l'on retrouve dans les dialogues, dans la manière dont Tina et Eliott se tournent autour, le tout mâtiné de respect et de sensualité. La trame suggère et laisse le lecteur s'approprier l'intrigue, grâce à son imagination. J'ai apprécié ce côté, non prémâché que l'on trouve trop souvent aujourd'hui. Ce que j'apprécie dans le cinéma des années 80, je l'ai retrouvé entre les lignes de ce roman.
Je ne reviendrais pas sur le déchaînement des passions que ce livre a suscité, prêtant à l'auteur des dons de voyance, car il y fait référence à un virus, le wuhan-400. Je trouve dommage de cantonner ce livre à ce virus qui n'est que peu développé dans le livre et n'en est pas le sujet principal.
Une coïncidence qu'il convient de considérer comme cela au regard de la situation historique de l'époque, marquée par la guerre froide et l'inquiétude sur le devenir de l'humanité. L'auteur ne fait que mettre des mots sur les préoccupations encore plus profondes aujourd'hui. La réédition de cet opus, a bénéficié de circonstances exceptionnelles qui n'ont rien de prophétiques.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Tina commence à trouver la vie plus supportable malgré le décès de son fils, son spectacle est un succès. Elle fait alors des rêves étranges.
Une nuit, elle est réveillée par des bruits dans la maison. Elle se rend dans la chambre de Danny. Un chevalet est tombé, c'est ce qui l'a sortie de son sommeil.
En relevant le chevalet, elle peut lire : PAS MORT.
Aidée par un séduisant avocat, tombé sous son charme lors de la première de son spectacle, elle cherche à comprendre les étranges phénomènes qui se produisent autour d'elle.
Même si les personnages sont un peu convenus, vous voyagerez dans le Nevada, de Las Vegas à Reno, et serez surpris par les nombreux rebondissements.

Lien : https://dequoilire.com/les-y..
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